— Are you a
mod or a rocker ? — I'm a
mocker. (Ringo Starr dans Hard day's night)
Vous êtes un mod ou un
rocker ? Je suis un mocker (Ringo Starr).
C'est
aux toilettes que j'ai composé mes meilleures chansons. (Paul McCartney)
—
Comment avez-vous trouvé l'Amérique ? —
En tournant à gauche au Groenland !
Hier,
l'amour était un jeu tellement facile à jouer.
Il
était une fois trois petits garçons nommés John, George et Paul, de leur nom de
baptême. Ils décidèrent de se mettre ensemble parce qu’ils étaient du genre à
se mettre ensemble. Quand ils furent ensemble, ils se demandèrent pour quoi
faire, après tout. Alors il leur poussa tout-à-coup des guitares et ils
formèrent du bruit. (John Lennon)
Il n'y a que quatre personnes qui
savent de quoi les Beatles parlaient de toute façon (Paul McCartney).
Il n'y a rien de plus glamour pour moi qu'un magasin de disques. - Paul Mc Cartney
J’ai
fondé les Beatles et je les ai dissous, c’est aussi simple que cela. (John
Lennon)
J’essaie
de vivre comme le Christ, et c’est dur, je peux vous le dire. (John Lennon,
1967)
Je déteste cette chanson des
Beatles qui s'appelle Helter Skelter et
qui est complètement ridicule. On l'a composée comme ça parce que j'aime le
bruit (Paul McCartney).
Je
me souviens un jour, je me suis regardé dans un miroir et je me suis dit : Il
est pas si gros que ça ? On pourrait dire qu'aujourd' hui, j'ai enfin accepté
mon nez. Quand les gens parlent de moi, c'est leur grand sujet de conversation.
Il faut bien que j'en rie – ça rentre par une narine et ça ressort par l'autre
! (Ringo Starr)
Je
ne vais rien dire. Personne ne me croit quand je parle. (Ringo Starr, 1969)
Je
regrette parfois d’avoir appris la musique. Je ne peux plus entendre un morceau
sans l’analyser en dièses à la clé, majeure septième, ligne de basse. J’ai une
grande nostalgie de l’époque où je goûtais le pur plaisir de la musique sans me
poser de questions. (Paul McCartney)
Je
suis lui comme tu es lui comme tu es moi et nous sommes un.
L’argent
ne pourra pas m’acheter d’amour. (John Lennon)
La
Femme est le Nègre du Monde. (John Lennon)
La première fois que nous avons pris du LSD, c’était un
accident. Nous étions les victimes innocentes d’un dentiste sournois avec qui
nous étions sortis manger quelquefois (George Harrison, à propos de John Riley,
le dentiste qui a versé secrètement la drogue dans leurs cafés en 1965).
Le
christianisme passera. Il s’éclipsera et se ratatinera. Je n’ai pas besoin de
discuter de cela. J’ai raison et il sera prouvé que j’ai raison. Maintenant,
nous sommes plus populaires que le Christ. Je ne sais pas qui partira le
premier, le rock’n’roll ou le christianisme. Jésus était très bien mais ses
disciples étaient épais et ordinaires. (John Lennon, Evening
Standard du 4 mars 1966)
Cela
aurait été pareil si j’avais dit que la télévision est plus populaire que
Jésus. Je suis désolé de l’avoir ouverte. Je ne suis pas anti-Dieu, anti-Christ
ou anti-religion. Je n’étais pas en train de taper dessus ou de la déprécier.
J’exposais juste un fait, et c’est plus vrai pour l’Angleterre qu’ici (aux
États-Unis). Je ne dis pas que nous sommes meilleurs, ou plus grands, je ne
nous compare pas à Jésus Christ en tant que personne, ou à Dieu en tant
qu’entité ou quoiqu’il soit. J’ai juste dit ce que j’ai dit et j’ai eu tort. Ou
cela a été pris à tort. Et maintenant, il y a tout ça. (John Lennon, Conférence de presse à Chicago, le 11 août
1966 en réponse et en excuses aux réactions outrées et violentes à travers les
États-Unis suite à l’interview de l’Evening Standard)
Le levé du soleil ne dure pas toute la matinée (George
Harrison).
Le
vieux gag sur le fric, le pouvoir et la gloire... les Beatles avaient tout
cela, et ils ont réalisé qu'ils n'avaient rien du tout. (John Lennon)
Les
Beatles ont sauvé le monde de l’ennui. (George Harrison)
Les
Beatles sont plus connus que Jésus-Christ. (John Lennon)
Les
excès de la période Beatlemania auraient pu nous réduire tous les quatre en
cendres. Grâce à je ne sais trop quoi qui tient à notre enfance, à notre éducation en milieu
ouvrier, peut-être à notre humour un peu
particulier de rockers liverpudliens, on y a survécu. Plutôt pas mal,
finalement quand on songe à tellement
d’autres figures des années soixante. (Paul McCartney, 1993)
Ma première fois c’était à Hambourg, et Paul, John et Pete Best
étaient tous en train de regarder. On était dans des lits superposés. Ils ne
pouvaient vraiment rien voir car j’étais sous la couverture mais quand j’ai eu
fini ma petite affaire, ils ont tous applaudi et m’ont encouragé. Au moins, ils
sont restés discrets pendant que je le faisais (George Harrison).
Nous étions des gosses sauvages de Liverpool, pas pacifistes ou
végétariens. Mais je sens que j’ai dépassé cela et que j’étais immature de
croire à tous ces stéréotypes (Paul McCartney).
Nous
étions tous dans ce bateau des « sixties », notre génération, dans un bateau
parti pour découvrir un monde nouveau, et les Beatles étaient à la proue de ce
bateau. (John Lennon)
Nous
ne nous foutons ni de la musique, ni de la vie, ni de la mort.
Nous
nous méfions de la cuisine française, à cause de l’ail… (John Lennon, 1964)
On
en a eu marre d'être les sidemen de Paul. (John Lennon)
Oui,
j’ai été un Beatle. Oui, nous avons fait de bons disques. Oui, j’aime bien ces
jeunes gens. Sauf que ça s’arrête là. (Ringo Starr, 1990)
Parler
de musique, c’est comme parler de sexe... Pourquoi en parler ? (John Lennon)
Parmi
tout ce qu'on peut essayer dans cette vie, rien n'égale ni ne surpasse l'art de
mourir. (George Harrison, Art
of Dying)
Pour
notre prochain titre, est-ce que les gens installés dans les places les moins
chères peuvent taper dans leurs mains ? Et tous les autres, agitez vos bijoux !
(John Lennon, devant la famille royale britannique au Prince of
Wales Theatre de Londres)
—
Pourquoi mettez-vous autant de bagues aux doigts ? —
Parce que je ne peux pas les mettre ailleurs. (Ringo Starr)
—
Pouvez-vous nous chanter quelque chose ? —
L’argent d’abord ! (Conférence de presse à New-York)
Quand
j’étais en Inde, je méditais sur cet album de Yoko et sur la manière de la
présenter. Un jour, j’ai pensé subitement que le meilleur moyen était de la
photographier nue pour la couverture... Elle n’était pas enthousiaste.
Finalement, je l’ai convaincue, et à mon retour en Angleterre, c’est arrivé
tout naturellement, je me suis retrouvé nu sur la même photo... Quand je l’ai
vu, j’ai trouvé cela un peu choquant... que dire de ce qu’allaient en penser
les autres ! (John Lennon, 1968)
Quand
on se trouve face à la mort, alors être M. Smith, ou un ancien Beatle, ou le
sultan du Brunei, ne fait plus la moindre différence, et l’on est obligé de se
poser les vraies questions.
—
Que craignez-vous le plus ? La bombe atomique ou les pellicules ? —
La bombe atomique, puisque nous avons déjà des pellicules.
Quelqu'un m'a dit : « mais
les Beatles était anti-matérialistes ». C'est un énorme mythe. John et moi
nous avions l'habitude de nous asseoir et de nous dire « allez, on écrit
une piscine » (Paul McCartney).
Qui aurait pu imaginer ? On ne sait jamais comment la vie
va se dérouler et la mienne a été formidable. Je suis très fier de la musique
que nous avons faite. Je suis béni d’avoir eu 3 amis aussi extraordinaires et
d’en avoir toujours un à mes côtés. Peace & Love ! (Ringo Starr, Alcaline, 2017).
—
Répétez-vous beaucoup ? —
Pour quoi faire ? Nous jouons déjà en concert tous les soirs, vous savez.
Si
vous écoutez cette chanson, vous pouvez penser que les accords sont faux. Mais
ils ne le sont pas, je l'ai juste écrite comme ça. (George Harrison, Only A Northern Song, 1969)
— Un de vos compatriotes a déclaré que les américaines étaient démodées car elles ne portaient pas de minijupes et avaient de vilaines jambes. Qu’en pensez vous ? — Si elles ne portent pas de mini-jupes, comment peut-on savoir si leurs jambes ne sont pas belles ? - Ringo Starr, août 1966.
—
Vous jouiez autrefois des standards. Pourquoi ne le faites vous plus ? —
Parce que maintenant, nous en créons.
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