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CITATIONS

 

C'est une bonne chose qu'on ait gagné ce prix parce que sinon nous allions détruire cet endroit (Liam Gallagher, Oasis).


Des erreurs, j'en ai commis des tas, mais, jusqu'ici ça ne nous a pas nui. En fait je n'en vois qu'une seule qui serait irrémédiable : flinguer le chanteur. Et croyez-moi, l'envie est, parfois, très très forte. (Noel Gallagher, Oasis, 1997).


J'adore la violence contre la société, mais pas contre les individus. Les manifs, les vitrines cassées, super ! Mais des mecs qui se flinguent pour un accrochage de bagnoles, c'est lamentable. La révolte des minorités opprimées, la politique du désespoir :  fabuleux ! (Renaud, 1977).


J’ai l’impression de découvrir un des côtés de la nature humaine qui reste caché la plupart du temps. Je suis persuadée que l’instinct de meurtre existe dans chacun de nous. Surtout n’allez pas croire que je suis un assassin en puissance, j’en suis bien incapable. Mais savoir que des êtres humains peuvent tuer de façon si horrible me fascine (PJ Harvey, 1993).


J’ai une fascination morbide pour l’action violente. Des paroles du genre « Je te vide mon chargeur en pleine poire », ça me botte. Quel mal y a-t-il à  cela ? (Ice-T, 1991).


J’ai vu Johnny frapper Joey une fois. Joey avait oublié chez lui un truc sans importance, je ne me souviens même plus quoi. Mais Johnny était si enragé qu’il l’a cogné. Ce n’était qu’un coup de poing dans le bras, rien à voir avec ce qu’il mettait à Dee Dee, pourtant, j’étais choqué. Qui pouvait frapper Joey ? C’était comme de battre un infirme (Tommy Ramone, The Ramones).


J'aime bien les flingues. Malheureusement la police m'a pris le mien. Je sais qu'il m'arrive de péter les plombs mais tout ce que j'ai tué c'est un arbre (Tom Petty).


Je fais la promotion de la violence et en plus je m'en fous (Eminem).


Je sais que je suis violente, manipulatrice. Mais les gens adorent ça pas vrai ? Quand je malmène les gens, je me sens mieux. Il faut bien montrer qui est la patronne. En Amérique, les gens comprennent ce besoin de violence irraisonnée. Tout le monde aime avoir un peu mal. Parfois, je me sens coupable, j’ai le sentiment d’avoir piétiné les autres au passage. Mais c’est vrai pour quantité de personnes ambitieuses (Madonna).


Jet Black c’est la force intégrale des Stranglers. La stabilité, l’ancre… Mais c’est aussi le lion, le dragon endormi. Une fois qu’il est fâché, il emporte tout le monde avec lui. Je l’ai vu quelques fois en colère, il casse tout, rien ne peut l’arrêter. Je voudrais même pas essayer (Jean-Jacques Burnel).


La plupart des gens sont des salauds. Les gens sont ignobles. Moi, j’ai été tabassé des dizaines de fois parce que je refusé de faire semblant de pas entendre leurs conneries. J’ai perdu deux dents. Je devrais apprendre à encaisser, je suppose (Robert Smith, The Cure, 1991).


La violence, c'est un manque de vocabulaire (Gilles Vigneault).


La violence est ce qui ne parle pas (Léo Ferré).


Le film semble être un média destiné à la trahison et à la violence (Nick Cave).


Les choses se sont polarisées en 1978. On se disait, « si vous n’êtes pas avec nous, vous êtes contre nous ». Mais l’esprit de groupe était très fort. On avait surmonté l’agressivité dirigée contre nous parce qu’être dans les Stranglers a été violent dès le début. (Jean- Jacques Burnel).


Les scènes violentes passent sans problème dans les livres, mais dérangent beaucoup plus en chanson (Bertrand Louis, Longueur d’Ondes, 2009).


Les Sex Pistols m'ont sauvé d'une vie de crimes que j'allais passer en prison (Steve Jones, Sex Pistols).


Les temps actuels ne sont pas plus violents. Ils sont juste plus télévisés (Marilyn Manson).


Nos gardes du corps ? Ils servent surtout à nous tenir à l'écart l'un de l'autre, Liam et moi (Noel Gallagher, 1996).


On n’écoute pas les femmes ! Quand elles vont dans un commissariat rapporter les violences subies avec une trouille bleue des représailles de leur mec, qui pourraient être mortelles, les flics ne prennent pas la mesure du drame. Personne ne les écoute. C’est injuste. C’est insupportable. Alors j’ai écrit pour toutes celles qui subissent cela. Ce n’est pas une incitation à tuer. Mais l’expression d’une compassion pour les femmes et une supplique aux hommes, flics, voisins, amis, pour qu’ils entendent enfin et ne laissent pas repartir chez elle une femme couverte de bleus (Véronique Sanson, Le Monde, février 2017).


Où que vous soyez dans le monde, vous devez vous protéger. Pas des autres, mais de l'envahisseur. Et vous savez de quoi je parle, n'est-ce pas ? Vous devriez en être conscient. Des gens viennent ici avec l'intention de vous porter atteinte. Vous devriez être capable de vous protéger, vous et votre pays. Ça devrait être comme ça partout. Que se passe-t-il lorsque vous n'avez rien pour vous préserver d'eux ? Les gens meurent, putain ! Je suis sérieux, mec, c'est pas une foutue blague. Ça fait chier de savoir que les gens meurent, parce que vous ne pouvez pas les protéger. Ça fait vraiment chier ! (Tom Araya, Slayer, à son public Suisse lors d’un concert en juin 2016).


Pour vous montrer comme je suis radical, je veux que les voleurs de voitures meurent, je veux que les violeurs meurent, je veux que les cambrioleurs meurent, je veux que les maltraiteurs d'enfants meurent, je veux que les méchants meurent. Pas de procès. Pas de libération sur parole. Pas de libération pour bonne conduite. Je les veux morts. Procurez vous un flingue et quand ils vous attaquent, tirez leur dessus (Ted Nugent).


Stephen Stills arrive en jet privé de Los Angeles à l’été 1977, en début de la tournée française de Véronique Sanson. Dîner, et là : dispute. Stephen prend un couteau et lui plante dans la main. Elle avait la main qui tenait à la table, il a fallu arracher le couteau pour enlever la main. Urgences. Médecins. Ils lui font des points de suture. Tous les soirs elle enlevait son pansement, elle jouait du piano, elle chantait, le sang pissait sur le piano. Elle remettait le pansement et elle rechantait le lendemain (Claude Wild, manager de Véronique Sanson).

Quitter Stills était très compliqué parce qu’il ne voulait pas. Et puis ce n’était pas un type très calme non plus. Il y avait beaucoup de violence qui était générée par tous ces produits qui changent votre comportement, votre manière de vivre et votre façon de réagir aux choses (Véronique Sanson, Un jour un destin, France 2, 2016).

C’était en Amérique, et je ne savais pas comment faire. Je déteste les armes à feu. Donc l’arme blanche ? Il était tellement plus fort que moi qu’il aurait pu me l’arracher en deux secondes. Alors le pousser d’une falaise lors d’une randonnée à cheval dans le Colorado ? Ou le jeter du bateau ? J’ai tout imaginé sans penser une seconde que c’était le père de mon fils. Je n’en pouvais plus, c’est tout. Et dans mon désarroi, j’ai demandé à un de mes musiciens : « Tu crois que ça coûterait combien de mettre un contrat sur sa tête ? » Il m’a répondu : « Je peux te le dire parce que je me suis renseigné pour ma femme et figure-toi que c’est moins cher de se débarrasser d’un homme. À moi, cela me coûterait 15 000 dollars, à toi seulement 9 000. » Ce n’était rien pour en finir en deux secondes… Mais j’ai imaginé qu’on pourrait ensuite me faire chanter, que tout ça était en fait très compliqué… (Véronique Sanson, Le Monde, février 2017).


Rockers français, arrêtez de taper vos gonzesses, arrêtez ! (Kim Fowley, 2005).


Si la violence existe, c’est parce que l’on ignore que la paix est en nous (Julien Jacob, Longueur d’Ondes, 2000).


Toujours les gimmick ! J'en ai marre d'entendre ça ! Le monde est un gimmick. La guerre, les bombes au napalm. Les gens qui se font brûler à la TV, des gimmicks ! (Jimi Hendrix).


Tu peux être une personne violente, sortir et tuer des gens ou alors tu peux être dans un groupe de rock (Matthew Bellamy, Muse).
 

 

 

 

 

 

 

 

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