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CITATIONS

 

Avec Françoise (Hardy), nous nous partageons les tâches à la maison. J'apporte la poussière, elle nettoie ! (Jacques Dutronc).


Beaucoup d’abrutis pensent qu’avec un petit cul et des gros seins, on a une bien plus jolie voix… et une bonne présence sur scène ! (Claire Diterzi, Longueur d’Ondes, 1999).


C’est vrai qu’il n’y a pas beaucoup de femmes auteurs-compositeurs et je pense que c’est parce qu’elles n’osent pas, qu’elles ne se trouvent pas assez bien et qu’elles se posent trop de questions. Et puis parce que c’est un univers extrêmement machiste (Véronique Sanson, Un jour un destin, France 2, 2016).


Disons que pour la femme, je suis un mâle nécessaire et pour moi, elle est un bien inutile (Serge Gainsbourg, Pensées, provoc et autres volutes, 2006).


En ce moment, nous sommes dans l'une des pires crises humanitaires de notre temps. Nous venons de voir un policier turc emporter le corps d'un enfant noyé de 3 ans. Ces images nous brisent le cœur, on parle de millions de gens déplacés, de familles détruites et là on chipote sur mes commentaires à propos des sous-vêtements des filles (Chrissie Hynde, à propos de ses propos sur le viol, estimant que les victimes peuvent être responsables de ce qui leur est arrivé, surtout si elles étaient « ivres, droguées ou en petite tenue » au moment des faits, Washington Post, septembre 2015).


J'ai toujours été beau gosse. Je ne me suis jamais fait planter par une minette. Et si ça merde avec une nana, je me tire. Il y en a toujours une autre au coin de la rue. (Liam Gallagher, Oasis, 1994)


J'aime bien les filles américaines. Enfin, jusqu'à ce qu'elles se mettent à parler. (Liam Gallagher, Oasis, 1996)


Je me souviens de la tête d'un responsable d'une maison de disques un jour. Il m'a dit : « Pourquoi vous ne rentrez pas à la maison vous occuper de vos gosses et faire le ménage ? » (Sharon Osbourne, 2015).


La misogynie c’est peut-être mettre celle qu’on aime sur un piédestal et puis déconsidérer toutes les autres. En même temps, les misogynes sont souvent ceux qui sont capables des plus grandes passions (Françoise Hardy).


Le soir, je travaille dans un club miteux, en douce. Le patron à qui j’ai proposé de chanter m’a dit : « Si tu veux garder ton job, tu danses et tu souris. » (Vickie Henderson, Instantané d’histoire, Une chanteuse noire en Suisse, écrit et réalisé par Claire Leisink, Arte, 2017).


Les nanas, c’est visuel surtout ; pour le rock’n’roll, ça craint un peu...Quand, en plus, elles ne savent pas jouer, tu te retrouves fissa dans les chiottes en train de sniffer comme un aspirateur. (David Lee Roth, Van Halen, interviewé par P. Garnier (Rock& Folk), à un concert des Go Go's en 1981, L.A.)

On nous a dit, à Eddie et moi, que les Go Go's, c'était le truc... On a essayé, man, je t'assure, mais, no way, elles sont moches, elles chantent faux et jouent mal... Eddie a repris un taxi après la 1ère chanson et moi, je me suis retrouvé dans les chiottes à sniffer comme un aspirateur (David Lee Roth, Van Halen, 1981).


Ma maison de disque m'aurait préférée mieux gaulée. (Chimène Badi)


Mesdames, c’est un monde d’hommes… (James Brown, 1965)


Non mais sérieux, les meufs dans le rap français ne sont pas moyennes, elles sont juste archi-nulles. Ça pourrait être bof mais c'est ignoble (Booba).


Nous sommes payés en nature. Notre public, ce sont des salopes et des putes, toutes autant qu'elles sont (Nikki Sixx, Mötley Crüe).


On aime une femme pour ce qu'elle n'est pas ; on la quitte pour ce qu'elle est (Serge Gainsbourg).


Pendant que j'enregistrais "Berlin", ma femme était un trou du cul, mais j'avais besoin d'une femme dans les environs pour me fouetter, et je la cognais, elle était impeccable dans son genre... Elle appelait ça de l'amour, ha ! ha ! Pendant que nous étions en studio, elle a essayé de se suicider dans la baignoire de notre hôtel... elle s'était tranché les veines... évidemment, elle s'en est sortie. Mais à partir de ce moment-là, on a dû laisser un roadie avec elle pour la surveiller. Et c'est marrant, mais une de mes copines lui avait dit : "Ecoute, si tu veux te suicider pour de bon, coupe-toi les veines dans ce sens-là et pas dans celui-ci !". Remarquez bien que je connais une rock-star dont  la femme s'est suicidée pendant l'enregistrement d'un album, ce sont des trucs qui arrivent... (Lou Reed, propos recueillis par Philippe Manoeuvre à l'Essex House, New York, en avril 1978.)


Quand nous avons joué à Los Angeles, les féministes américaines ont fait une manif devant le club où nous nous produisions. Elles trouvaient nos chansons abominablement sexistes. Alors, nous, en arrivant, nous sommes sortis de notre bus, et nous en avons kidnappé une, qui se tenait un peu à l'écart. Mais elle s'est mise à hurler et à rameuter ses copines... Et nous nous sommes retrouvés à trois contre deux cent filles en folie qui nous matraquaient à coup de pancartes... Je dois dire que j'ai été assommé en moins de deux...
Philippe Manoeuvre : Mais, heu... Si votre kidnapping avait réussi, qu'auriez-vous, heu...
- Ben on l'aurait violée tiens, ha ! ha ! ha ! (Jean-Jacques Burnel, The Stranglers, 1978)


Qu'est ce qu'une fille doit faire pour te plaire ? Faire chauffer la putain de bouilloire. (Liam Gallagher, Oasis, 1997)


Si j'avais à choisir entre une dernière femme et une dernière cigarette, je choisirais la cigarette : on la jette plus facilement ! (Serge Gainsbourg)


Si j'avais mesuré un mètre vingt et pesé cent kilos, je n'aurais sûrement pas fait la même carrière (Françoise Hardy).

Si j'avais été blond aux yeux bleus, grand et élégant avec une voix pure, je n'aurais pas fait la même carrière (Charles Aznavour).


Si un rocker ne veut plus d'une fille, il la chasse purement et simplement; et si elle pleure, il lui répond : "Tais toi et souffre". (Vince Taylor)


Toutes les femmes sont à prendre. Enfin, y’en a qui peuvent attendre (Serge Gainsbourg, Pensées, provoc et autres volutes, 2006).


Un artiste, c’est une meuf qu’on laisse chanter à la télé parce qu’elle est bonne (Didier Super).

 

 

 

 

 

 

 

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