Je
crois en la réincarnation. J’aimerais atteindre le stade final, la complète
illumination. Si ce n’est pas possible, je ne veux surtout pas revenir sous la
forme d’un autre être humain. On pense trop, on est obligé d’avoir des rapports
non naturels, crées par des putains de structures sociales, avec les autres
humains. Pourtant, je pense toujours que tout peut s’arranger. (Shane
MacGowan, 1990)
Je
ne me défonce pas pour m’empoisonner la vie. La vie m’empoisonne déjà assez
comme ça à elle seule. D’où viennent toutes ces drogues ? Des plantes qui
sortent du putain de sol, d’accord ? Si Dieu n’avait pas voulu qu’on
prenne des défonces, il ne les aurait pas créées, pour commencer… (Shane MacGowan, 1989)
La
plupart des journalistes mériterait d’être au chômage. Beaucoup de journaux
sont une perte de temps. Un gâchis d’arbres. Je préfère encore lire un arbre.
Tu risques même d’attraper le cancer du colon si tu te torches avec le papier.
(Shane Mac Gowan, 1989)
Les
gens ne m’insultent pas. Je n’attends aucun respect de personne, je m’en fous
du respect. Je me fiche bien de savoir ce que les gens pensent de moi. Je n’ai
pas un grand sens de ma propre importance. Les gens s’imaginent toujours que
j’ai quelque chose de particulier, alors que je ne suis qu’un type comme les
autres. (Shane McGowan, 1991)
Les
Pogues sont des gens intensément ennuyeux et malhonnêtes, qui prétendent être
Irlandais et affectent un accent, alors qu’ils sont de Brixton ou quelque chose
comme ça. (Sinead O’Connor, 1988)
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