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Placebo


Placebo, originellement appelé Ashtray Heart, est un groupe de rock alternatif créé en 1994 à Londres par Brian Molko et Stefan Olsdal dorénavant accompagnés de Steve Forrest. La musique et les textes de Placebo se distinguent par une inclination romantique exacerbée. Autrefois allié à une imagerie provocante et excessive, ce romantisme exubérant s'inscrit désormais dans une attitude bien plus introvertie.

Biographie de Placebo

Site officiel

MySpace

 

CITATIONS

 

50% de Placebo est gay, et nous sommes trois, donc faites le calcul. (Steve Hewitt)


Avec Special K, la jeunesse garde la ligne ! (Steve Hewitt)


Bonjour nous sommes Placebo et vous êtes le public ! (Brian Molko)


Bowie est le plus grand artiste de ces trente dernières années. (Brian Molko)


Brian est probablement la plus confuse des femmes que je n'ai jamais rencontrées dans ma vie entière. (Steve Hewitt)


Brian est une gomme génitale. Effaçant les barrières. (Steve Hewitt)


C'est la dure vie de rock stars ! On fait un album, on fait une cinquantaine de shows par an. C'est fatiguant de trimbaler son cul aux quatre coins du monde. Ça doit être ça la vie de rock star, être fatigué ! (Steve Hewitt)


C'est le genre de type qui, en marchant dans la rue, peut te dire sur quelles notes sonnent les différents klaxons des voitures. (Brian Molko, à propos de Stefan Olsdal)


C'est un échange, un échange d'émotions, une connexion qui va au-delà, qui est presque magique, qui va au-delà du physique, c'est vraiment quelque chose où. un petit peu comme faire l'amour, un petit peu, des fois si le concert est vraiment bien on se sent en train de faire l'amour avec 4000 personnes. (Brian Molko)


C'était la seule chance pour Brian de s'introduire à l'intérieur de moi. (Steve Hewitt, à propos du clip Special K)


Ceci est pour tous les gens qui ont dû demander à leurs parents s'ils pouvaient venir nous voir ce soir. (Brian Molko, avant de jouer Teenage Angst)


Cette chanson est dédiée à Eros Ramazzotti parce que j'espère qu'il sera capable, un jour, de faire quelque chose comme ça. (Brian Molko, en introduction de Teenage Angst)


Dans notre groupe, il y en a pour tous les goûts. Steve est hétéro, Stefan est gay et moi je suis bi (Brian Molko).


Dans un certain sens, la mentalité des gens existe pour faire chier. (Brian Molko)


Dans vingt ans j'aurais 48 ans je serais probablement chauve et gros. Pas comme Louis Chédid j'espère ! (Brian Molko)


En concert, je pose parfois ma guitare et je fais des danses idiotes pour que le public reste intéressé. (Brian Molko)


En France Placebo est comme à la maison. Si on avait enregistré le concert en Angleterre, je crois que l'ambiance aurait été. un peu plus froide ! (Stefan Olsdal)


Et maintenant une reprise de Pascal Obispo....Non j'déconne ! (Brian Molko)


Excusez-moi, j'ai du sperme dans le nez. (Brian Molko)


Faire partie d'un groupe rock vous donne une grande liberté d'expression qui vous permet d'explorer chaque facette de votre personnalité. (Brian Molko)


Faut toujours vomir avant de dormir. (Brian Molko)


Il a bien fallu que les Beatles soient complètement stone pour laisser Ringo Starr chanter ! (Brian Molko)


Il est dit que l'on est tous égaux, est-ce que ça veut dire qu'on a aussi des petites bites ? (Brian Molko)


Il faut pas chier où on habite. (Brian Molko)


Il y a de la merde dans le rock, il y a de la merde dans la pop, il y a de la merde partout ! (Brian Molko)


Il y a 200 millions de flingues en circulation aux États-Unis, c'est une pensée effrayante. (Brian Molko)


J'adore The Police mais Sting...............NON !! (Brian Molko)


J'ai beaucoup de plaisir à embrouiller les gens. Pour les premières parties de nos concerts, il y a normalement des gars persuadés que je suis une fille et plutôt mignonne d'ailleurs. Alors que le concert continue, ils commencent à comprendre que je suis un mec, et là ils doivent se poser beaucoup de questions ! (Brian Molko)


J'ai été entouré de beaucoup de personnes qui prenaient de l'héroïne et ce tellement de fois. J'ai été prêt à le faire aussi mais sans savoir pourquoi ça n'est jamais arrivé. C'est probablement la seule drogue sur cette planète que je n'ai pas essayée. (Brian Molko)


J'ai toujours voulu être une star du rock. Quand j'étais plus jeune, quand j'allais chier, je m'imaginais en train d'être interviewé. Mes parents pensaient que j'étais un peu bizarre de me parler à moi-même pendant que je chiais. (Brian Molko)


J'ai 23 ans mais parfois quand l'apathie se pointe, j'ai l'impression d'avoir 100 ans. Parfois, j'ai l'idée que je suis déjà venu sur Terre - une pute parisienne ou quelque chose comme ça, je ne sais pas. Les choses ne me surprennent pas autant que je pensais qu'elles le feraient. Peut-être est-ce seulement parce que j'apprends vite. (Brian Molko)


Je dois juste arranger mon pénis... C'est un pantalon pour fille, ça serre un peu trop mon truc d'homme. (Brian Molko)


Je me sens très confortable dans mon look, et je me sens très confortable avec la sorte de confusion que ça crée dans l'esprit des gens. (Brian Molko)


Je n'ai pas de portefeuille, mes pantalons sont trop moulants. (Stefan Olsdal)


Je n'ai pas grandi en écoutant Dexy's, Midnight Runners ou The Jam...et j'en suis très content. (Brian Molko)


Je ne connais pas le secret, comment des gars dans la trentaine, qui jouent une musique naturelle pour eux, entrent en connexion avec ces jeunes gens de 13-15 ans qu'on voit dans les premiers rangs. Et je ne veux pas savoir pourquoi, ça risquerait de tout casser. (Brian Molko)


Je ne connais aucun autre job sur la terre que celui de musicien où tu es obligé de t'analyser à ce point. Même un homme politique n'est pas obligé de se poser autant de questions sur lui-même. Généralement, il doit seulement se poser la question de savoir comment se défiler ! A la fin de dix heures d'interview, tu ne sais plus qui tu es. (Brian Molko)


Je ne veux pas être Dieu, je veux être Satan ! (Brian Molko)


Je ne voulais pas être gay mais maintenant je ne voudrais être rien d'autre. (Stefan Olsdal)


Je porte des slips. Avec le caleçon en fait sur scène, ça bouge un petit peu trop... et ça déconcentre ! (Brian Molko)


Je suis deux fois plus homme que tu ne l'as jamais été, et deux fois plus femme que tu ne le seras jamais. (Brian Molko)


Je suppose que la ligne entre être paranoïaque et être une star du rock est plus petite qu'on voudrait le croire. (Brian Molko)


Je trouve que la musique est plus intéressante que ma gueule. (Brian Molko)


Jouer avec David Bowie figure parmi les expériences les plus marquantes dans la carrière du groupe. A New York, il nous avait présenté Lou Reed et je m'étais mis à bégayer comme un idiot devant Sonic Youth. J'avais l'impression de redevenir un môme, un fan qui rencontre ses idoles pour la première fois. (Brian Molko)


La mélancolie est quelque chose qui a toujours fait partie de notre musique. C'est certainement quelque chose qui est présent dans nos vies, et la musique reflète, à un certain degré, ce qui affecte ta vie. Quand je me penche sur nos anciens albums, je vois chaque morceau comme une petite histoire. C'est comme une succession de petits films. (Brian Molko)


La musique, c'est le langage international de l'émotion. (Brian Molko)


Le live, ce sont des instants presque plus forts que le cul ou la came. Le plus fort plaisir que l'on puisse ressentir en gardant ses vêtements ! C'est très primal. (Brian Molko)


Le vrai rock'n roll c'est le langage de la rébellion, c'est la contre-culture, je ne pense pas du tout qu'elle participe à cet impérialisme culturel et politique américain, peut-être que c'est la seule chose qui pourrait lutter contre. (Brian Molko)


Les artistes devraient se la fermer et ne s'exprimer que par leur art. (Brian Molko)


Les choses ne sont pas blanches ou noires, il y a plusieurs nuances de gris. (Brian Molko)


Les critiques, ça fait partie du jeu. Parfois on a l'impression que le journaliste a écouté le disque de quelqu'un d'autre ! Ne croyez pas tout ce que vous lisez, les gamins ! (Stefan Olsdal)


Les gens qui disent que la politique et la musique ne peuvent se mélanger devraient juste rentrer chez eux regarder Dawson. Le simple fait de s'exprimer par l'art est politique. Tu montres une certaine vision du monde. (Brian Molko)


Les gens veulent que je sois dans la merde, mais ils arrivent trop tard ; je le suis déjà. (Brian Molko)


Les rock stars ont une tendance à mourir très jeune et à vieillir très lentement. (Brian Molko)


L'herbe est toujours plus verte ailleurs mais il faut y être pour le constater. Tu piges ? (Stefan Olsdal)


Ma guitare c'est ma maîtresse, s'il y a un con ou un enculé qui balance un truc ou qui touche à ma guitare, je le tue ! (Brian Molko, en réaction à des gens qui balancent des canettes sur scène)


Mon problème c'est que pour quelqu'un de petit ma gueule est trop grande. (Brian Molko)


N'hésitez pas à me jeter du shit sur scène ! (Brian Molko, au public)


Nos premières tournées, on les appelait les Toilet Tours, à cause de l'odeur de merde et de pisse qu'il y avait sur scène, c'était super. Mais on se foutait des conditions, on voulait juste s'améliorer. Il fallait impressionner les gens, faire ce qu'on pouvait de mieux. (Brian Molko)


Nous avons découvert que nous plaisions aux adolescents qui essaient d'affirmer leur liberté. Sans fausse modestie, je pense que nous répondons tout à fait à leurs attentes. (Brian Molko)


Nous avons toujours voulu jouer une musique chargée d'émotions, avec une énergie naïve, libidineuse. (Brian Molko)


Nous ne vomirions jamais les uns dans les bouches des autres, nous posons certaines limites. (Steve Hewitt)


Nous sommes intersexuels. (Stefan Olsdal)


Nous sommes les Boyzone du rock indépendant. (Stefan Olsdal)


Nous sommes sans aucun doute prêts pour la domination mondiale. (Steve Hewitt)


Oasis, ils arrivent sur scène comme s'ils sortaient du pub. C'est très insipide, très ennuyeux. (Brian Molko)


On essaie de faire notre propre révolution à chaque album. On essaie toujours de se redéfinir. (Brian Molko)


On l'a beaucoup fait souffrir avec sa banquette arrière ! (Steve Hewitt, à propos de la nouvelle coupe de cheveux de Brian Molko)


On ma donné des merdes, ainsi j'ai deux cd d'Alanis Morissette que je cache dès que quelqu'un qui a du goût m'interpelle. (Brian Molko)


On n'a jamais trouvé Marilyn Manson choquant. Pour nous c'est juste un mec cool pour la fête, un type très intelligent, très rusé, presque machiavélique, c'est ce qui est marrant. (Brian Molko)


On peut même plus pêter en public sans que ça soit sur Internet une demi heure plus tard ! (Brian Molko)


Pour continuer à survivre dans cette bulle hystérique qu'est le rock'n'roll, on peut pas tout donner, sinon t'es foutu, complètement vidé par ton public. (Brian Molko)


Protect Me est une chanson assez sombre et douloureuse qui relate les souffrances d'une séparation éprouvante. Quand on a eu l'idée d'en faire une adaptation en français, notre choix s'est porté tout de suite sur Virginie Despentes. J'adore son style d'écriture. J'avais déjà beaucoup apprécié Les Jolies Choses et Baise-Moi, donc tout s'est déroulé spontanément. Je trouve d'ailleurs que son adaptation adhère parfaitement à l'univers de Placebo. (Brian Molko)


Quand j'étais adolescent, en Suède, j'écoutais Metallica. Je pompais les riffs et les adaptais sur mon jeu de basse. J'ai toujours eu un jeu sec et tranchant. Pour moi, la guitare, ce n'est pas uniquement une pratique discontinue, c'est aussi une passion masturbatoire ! (Stefan Olsdal)


Retire le doigt de ton cul, et prends ta guitare ! (Brian Molko, aux téléspectateurs lors d'une interview pour Europe2 TV)


Robbie Williams a un côté un peu cheesy, un côté un peu fromage. On lui en veut beaucoup. Rafler 80 millions de livres à EMI, et déclarer ensuite que le piratage de la musique est un truc fantastique donne juste envie de lui filer un pain dans la tronche ! (Brian Molko)


Sans maquillage, je suis très laid. Surtout les jours de gueule de bois. C'est une liberté que les femmes ont, alors pourquoi pas les hommes ? (Brian Molko).


Salut je suis Brian Molko et je suis alcoolique !


Sex, drugs and Rock'n roll ? Oui, mais plus les trois en même temps ! Par contre, quand tu as la vingtaine dans un groupe de rock, tu essaies tout ! C'est comme être dans un magasin de bonbons quand t'es gamin. Tu sais plus où donner de la tête ! (Brian Molko)


Si les fans n'aiment pas le changement, alors dites-leur d'aller écouter Muse, ils font la même chose depuis 5 ans ! (Brian Molko)


Steve est un gars du Nord, de Manchester, il ne faut pas lui en conter. C'est lui qui détient les clés de la réalité dans Placebo, qui me ramène sur terre. (Brian Molko)


Trop de bon temps, et tu finis mal. (Stefan Olsdal)


Tu as payé 10 dollars pour ce show ?? Tu dois avoir plus de fric que de cerveau ! (Brian Molko)


Tu ressembles à un vampire aux têtons clignotants ! (Steve Hewitt, à Brian Molko)


Une chanson comme Pure Morning, je trouve ça super au niveau musical, mais les textes... c'est de la merde. C'est pas possible d'écrire un truc comme ça ! Du coup, sur scène, je me concentre sur la guitare et j'essaie d'oublier les mots. (Brian Molko)


Une tournée, c'est comme une course de chevaux. Au bout d'un an sur la route, il est indispensable de mettre des oeillères pour continuer pendant les six mois suivants car on perd tout contact avec l'humanité. La vie devient tellement organisée. C'en est au point qu'on me dirait presque à quelle heure chier ! Mais cette fois, on essaie de boire moins, ce qui rend les concerts meilleurs. (Brian Molko)

 

 

 

 

 

 

 

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