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de Placebo est gay, et nous sommes trois, donc faites le calcul. (Steve Hewitt)
Avec
Special K, la jeunesse garde la ligne
! (Steve Hewitt)
Bonjour
nous sommes Placebo et vous êtes le public ! (Brian Molko)
Bowie
est le plus grand artiste de ces trente dernières années. (Brian Molko)
Brian
est probablement la plus confuse des femmes que je n'ai jamais rencontrées dans
ma vie entière. (Steve Hewitt)
Brian
est une gomme génitale. Effaçant les barrières. (Steve Hewitt)
C'est
la dure vie de rock stars ! On fait un album, on fait une cinquantaine de
shows par an. C'est fatiguant de trimbaler son cul aux quatre coins du monde.
Ça doit être ça la vie de rock star, être fatigué ! (Steve Hewitt)
C'est
le genre de type qui, en marchant dans la rue, peut te dire sur quelles notes
sonnent les différents klaxons des voitures. (Brian Molko, à propos de Stefan Olsdal)
C'est
un échange, un échange d'émotions, une connexion qui va au-delà, qui est
presque magique, qui va au-delà du physique, c'est vraiment quelque chose où.
un petit peu comme faire l'amour, un petit peu, des fois si le concert est
vraiment bien on se sent en train de faire l'amour avec 4000 personnes. (Brian
Molko)
C'était
la seule chance pour Brian de s'introduire à l'intérieur de moi. (Steve Hewitt,
à propos du clip Special K)
Ceci
est pour tous les gens qui ont dû demander à leurs parents s'ils pouvaient
venir nous voir ce soir. (Brian Molko, avant de jouer Teenage Angst)
Cette
chanson est dédiée à Eros Ramazzotti parce que j'espère qu'il sera capable, un
jour, de faire quelque chose comme ça. (Brian Molko, en introduction de Teenage Angst)
Dans notre groupe, il y en a pour tous les goûts. Steve est
hétéro, Stefan est gay et moi je suis bi (Brian Molko).
Dans
un certain sens, la mentalité des gens existe pour faire chier. (Brian Molko)
Dans
vingt ans j'aurais 48 ans je serais probablement chauve et gros. Pas comme Louis
Chédid j'espère ! (Brian Molko)
En
concert, je pose parfois ma guitare et je fais des danses idiotes pour que le
public reste intéressé. (Brian Molko)
En
France Placebo est comme à la maison. Si on avait enregistré le concert en
Angleterre, je crois que l'ambiance aurait été. un peu plus froide !
(Stefan Olsdal)
Et
maintenant une reprise de Pascal Obispo....Non j'déconne ! (Brian Molko)
Excusez-moi,
j'ai du sperme dans le nez. (Brian Molko)
Faire
partie d'un groupe rock vous donne une grande liberté d'expression qui vous
permet d'explorer chaque facette de votre personnalité. (Brian Molko)
Faut
toujours vomir avant de dormir. (Brian Molko)
Il
a bien fallu que les Beatles soient complètement stone pour laisser Ringo Starr
chanter ! (Brian Molko)
Il
est dit que l'on est tous égaux, est-ce que ça veut dire qu'on a aussi des
petites bites ? (Brian Molko)
Il
faut pas chier où on habite. (Brian Molko)
Il
y a de la merde dans le rock, il y a de la merde dans la pop, il y a de la
merde partout ! (Brian Molko)
Il
y a 200 millions de flingues en circulation aux États-Unis, c'est une pensée
effrayante. (Brian Molko)
J'adore
The Police mais Sting...............NON !! (Brian Molko)
J'ai
beaucoup de plaisir à embrouiller les gens. Pour les premières parties de nos
concerts, il y a normalement des gars persuadés que je suis une fille et plutôt
mignonne d'ailleurs. Alors que le concert continue, ils commencent à comprendre
que je suis un mec, et là ils doivent se poser beaucoup de questions ! (Brian
Molko)
J'ai
été entouré de beaucoup de personnes qui prenaient de l'héroïne et ce tellement
de fois. J'ai été prêt à le faire aussi mais sans savoir pourquoi ça n'est
jamais arrivé. C'est probablement la seule drogue sur cette planète que je n'ai
pas essayée. (Brian Molko)
J'ai
toujours voulu être une star du rock. Quand j'étais plus jeune, quand j'allais
chier, je m'imaginais en train d'être interviewé. Mes parents pensaient que
j'étais un peu bizarre de me parler à moi-même pendant que je chiais.
(Brian
Molko)
J'ai
23 ans mais parfois quand l'apathie se pointe, j'ai l'impression d'avoir 100
ans. Parfois, j'ai l'idée que je suis déjà venu sur Terre - une pute parisienne
ou quelque chose comme ça, je ne sais pas. Les choses ne me surprennent pas
autant que je pensais qu'elles le feraient. Peut-être est-ce seulement parce
que j'apprends vite. (Brian Molko)
Je
dois juste arranger mon pénis... C'est un pantalon pour fille, ça serre un peu
trop mon truc d'homme. (Brian Molko)
Je
me sens très confortable dans mon look, et je me sens très confortable avec la
sorte de confusion que ça crée dans l'esprit des gens. (Brian
Molko)
Je
n'ai pas de portefeuille, mes pantalons sont trop moulants. (Stefan Olsdal)
Je
n'ai pas grandi en écoutant Dexy's, Midnight Runners ou The Jam...et j'en suis
très content. (Brian Molko)
Je
ne connais pas le secret, comment des gars dans la trentaine, qui jouent une
musique naturelle pour eux, entrent en connexion avec ces jeunes gens de 13-15
ans qu'on voit dans les premiers rangs. Et je ne veux pas savoir pourquoi, ça
risquerait de tout casser. (Brian Molko)
Je
ne connais aucun autre job sur la terre que celui de musicien où tu es obligé
de t'analyser à ce point. Même un homme politique n'est pas obligé de se poser
autant de questions sur lui-même. Généralement, il doit seulement se poser la
question de savoir comment se défiler ! A la fin de dix heures
d'interview, tu ne sais plus qui tu es. (Brian Molko)
Je
ne veux pas être Dieu, je veux être Satan ! (Brian Molko)
Je
ne voulais pas être gay mais maintenant je ne voudrais être rien d'autre. (Stefan
Olsdal)
Je
porte des slips. Avec le caleçon en fait sur scène, ça bouge un petit peu
trop... et ça déconcentre ! (Brian Molko)
Je
suis deux fois plus homme que tu ne l'as jamais été, et deux fois plus femme
que tu ne le seras jamais. (Brian Molko)
Je
suppose que la ligne entre être paranoïaque et être une star du rock est plus
petite qu'on voudrait le croire. (Brian
Molko)
Je
trouve que la musique est plus intéressante que ma gueule. (Brian Molko)
Jouer
avec David Bowie figure parmi les expériences les plus marquantes dans la
carrière du groupe. A New York, il nous avait présenté Lou Reed et je m'étais
mis à bégayer comme un idiot devant Sonic Youth. J'avais l'impression de
redevenir un môme, un fan qui rencontre ses idoles pour la première fois.
(Brian Molko)
La
mélancolie est quelque chose qui a toujours fait partie de notre musique. C'est
certainement quelque chose qui est présent dans nos vies, et la musique
reflète, à un certain degré, ce qui affecte ta vie. Quand je me penche sur nos
anciens albums, je vois chaque morceau comme une petite histoire. C'est comme
une succession de petits films. (Brian Molko)
La
musique, c'est le langage international de l'émotion. (Brian Molko)
Le
live, ce sont des instants presque plus forts que le cul ou la came. Le plus
fort plaisir que l'on puisse ressentir en gardant ses vêtements ! C'est très
primal. (Brian Molko)
Le
vrai rock'n roll c'est le langage de la rébellion, c'est la contre-culture, je
ne pense pas du tout qu'elle participe à cet impérialisme culturel et politique
américain, peut-être que c'est la seule chose qui pourrait lutter contre.
(Brian Molko)
Les
artistes devraient se la fermer et ne s'exprimer que par leur art. (Brian
Molko)
Les
choses ne sont pas blanches ou noires, il y a plusieurs nuances de gris. (Brian
Molko)
Les
critiques, ça fait partie du jeu. Parfois on a l'impression que le journaliste
a écouté le disque de quelqu'un d'autre ! Ne croyez pas tout ce que vous
lisez, les gamins ! (Stefan Olsdal)
Les
gens qui disent que la politique et la musique ne peuvent se mélanger devraient
juste rentrer chez eux regarder Dawson. Le simple fait de s'exprimer par l'art
est politique. Tu montres une certaine vision du monde. (Brian Molko)
Les
gens veulent que je sois dans la merde, mais ils arrivent trop tard ; je le
suis déjà. (Brian Molko)
Les
rock stars ont une tendance à mourir très jeune et à vieillir très lentement.
(Brian Molko)
L'herbe
est toujours plus verte ailleurs mais il faut y être pour le constater. Tu
piges ? (Stefan Olsdal)
Ma
guitare c'est ma maîtresse, s'il y a un con ou un enculé qui balance un truc ou
qui touche à ma guitare, je le tue ! (Brian Molko, en réaction à des gens qui balancent des canettes sur scène)
Mon
problème c'est que pour quelqu'un de petit ma gueule est trop grande. (Brian
Molko)
N'hésitez
pas à me jeter du shit sur scène ! (Brian Molko, au public)
Nos
premières tournées, on les appelait les Toilet Tours, à cause de l'odeur de
merde et de pisse qu'il y avait sur scène, c'était super. Mais on se foutait
des conditions, on voulait juste s'améliorer. Il fallait impressionner les
gens, faire ce qu'on pouvait de mieux. (Brian Molko)
Nous
avons découvert que nous plaisions aux adolescents qui essaient d'affirmer leur
liberté. Sans fausse modestie, je pense que nous répondons tout à fait à leurs
attentes. (Brian Molko)
Nous
avons toujours voulu jouer une musique chargée d'émotions, avec une énergie
naïve, libidineuse. (Brian Molko)
Nous
ne vomirions jamais les uns dans les bouches des autres, nous posons certaines
limites. (Steve Hewitt)
Nous
sommes intersexuels. (Stefan Olsdal)
Nous
sommes les Boyzone du rock indépendant. (Stefan Olsdal)
Nous
sommes sans aucun doute prêts pour la domination mondiale. (Steve Hewitt)
Oasis,
ils arrivent sur scène comme s'ils sortaient du pub. C'est très insipide, très
ennuyeux. (Brian Molko)
On
essaie de faire notre propre révolution à chaque album. On essaie toujours de
se redéfinir. (Brian Molko)
On
l'a beaucoup fait souffrir avec sa banquette arrière ! (Steve Hewitt, à propos de la nouvelle coupe de cheveux de
Brian Molko)
On
ma donné des merdes, ainsi j'ai deux cd d'Alanis Morissette que je cache dès
que quelqu'un qui a du goût m'interpelle. (Brian Molko)
On
n'a jamais trouvé Marilyn Manson choquant. Pour nous c'est juste un mec cool
pour la fête, un type très intelligent, très rusé, presque machiavélique, c'est
ce qui est marrant. (Brian Molko)
On
peut même plus pêter en public sans que ça soit sur Internet une demi heure
plus tard ! (Brian Molko)
Pour
continuer à survivre dans cette bulle hystérique qu'est le rock'n'roll, on peut
pas tout donner, sinon t'es foutu, complètement vidé par ton public. (Brian
Molko)
Protect Me est une chanson assez sombre et douloureuse qui
relate les souffrances d'une séparation éprouvante. Quand on a eu l'idée d'en
faire une adaptation en français, notre choix s'est porté tout de suite sur
Virginie Despentes. J'adore son style d'écriture. J'avais déjà beaucoup
apprécié Les Jolies Choses et Baise-Moi, donc tout s'est déroulé
spontanément. Je trouve d'ailleurs que son adaptation adhère parfaitement à
l'univers de Placebo. (Brian Molko)
Quand
j'étais adolescent, en Suède, j'écoutais Metallica. Je pompais les riffs et les
adaptais sur mon jeu de basse. J'ai toujours eu un jeu sec et tranchant. Pour
moi, la guitare, ce n'est pas uniquement une pratique discontinue, c'est aussi
une passion masturbatoire ! (Stefan Olsdal)
Retire
le doigt de ton cul, et prends ta guitare ! (Brian Molko, aux téléspectateurs lors d'une interview
pour Europe2 TV)
Robbie
Williams a un côté un peu cheesy, un côté un peu fromage. On lui en veut
beaucoup. Rafler 80 millions de livres à EMI, et déclarer ensuite que le
piratage de la musique est un truc fantastique donne juste envie de lui filer
un pain dans la tronche ! (Brian Molko)
Sans maquillage, je suis très laid. Surtout les jours de
gueule de bois. C'est une liberté que les femmes ont, alors pourquoi pas les
hommes ? (Brian Molko).
Salut
je suis Brian Molko et je suis alcoolique !
Sex, drugs and Rock'n
roll ? Oui, mais plus les trois en
même temps ! Par contre, quand tu as la vingtaine dans un groupe de rock,
tu essaies tout ! C'est comme être dans un magasin de bonbons quand t'es
gamin. Tu sais plus où donner de la tête ! (Brian Molko)
Si
les fans n'aiment pas le changement, alors dites-leur d'aller écouter Muse, ils
font la même chose depuis 5 ans ! (Brian Molko)
Steve
est un gars du Nord, de Manchester, il ne faut pas lui en conter. C'est lui qui
détient les clés de la réalité dans Placebo, qui me ramène sur terre. (Brian
Molko)
Trop
de bon temps, et tu finis mal. (Stefan Olsdal)
Tu
as payé 10 dollars pour ce show ?? Tu dois avoir plus de fric que de cerveau !
(Brian Molko)
Tu
ressembles à un vampire aux têtons clignotants ! (Steve Hewitt, à Brian Molko)
Une
chanson comme Pure Morning, je trouve
ça super au niveau musical, mais les textes... c'est de la merde. C'est pas
possible d'écrire un truc comme ça ! Du coup, sur scène, je me concentre sur la
guitare et j'essaie d'oublier les mots. (Brian Molko)
Une
tournée, c'est comme une course de chevaux. Au bout d'un an sur la route, il
est indispensable de mettre des oeillères pour continuer pendant les six mois
suivants car on perd tout contact avec l'humanité. La vie devient tellement
organisée. C'en est au point qu'on me dirait presque à quelle heure chier !
Mais cette
fois, on essaie de boire moins, ce qui rend les concerts meilleurs. (Brian Molko)
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