Je continue à composer parce que cela me fatigue moins que de me reposer.
Je
mets ensemble les notes qui s'aiment.
La musique ne se trouve pas dans les notes mais dans les
silences qu’il y a entre.
Le plus nécessaire, le plus difficile et l'essentiel dans
la musique, c'est le tempo.
Entre
toutes les musiques, la musique de Mozart. Son chant réel rompt avec le réel ;
il contient les choses que nous aimons le moins de considérer et que même notre
esprit repousse ; il est tout baigné par la présence inéluctable de la mort ;
mais afin que nous puissions les reconnaître, enfin, il est le mythe brillant
et limpide de ces choses. Nous ne sommes pas compromis par ce que nous avons
touché, nous gardons intacte notre espérance. Mozart offre ainsi à l'art un
modèle absolu (Pierre-Jean Jouve).
Je me suis toujours compté au nom des plus grands adorateurs
de Mozart et je le resterai jusqu'à mon dernier souffle (Ludwig van Beethoven).
Jouez-moi de la vraie musique, jouez-moi du Mozart ! (Frédéric
Chopin).
La
joie de Mozart est faite de sérénité. Sa simplicité n'est que de la pureté.
Toutes les émotions s'y jouent mais comme déjà célestement transposées (André Gide).
Mozart
adorait la voix humaine, il était très attentif à ne jamais la couvrir avec les
instruments de l'orchestre (Cecilia Bartoli).
Mozart
c’est nul, sauf la musique (Claire
Bretécher, Agrippine, 1988-2009).
Mozart était tellement précoce qu'à 35 ans il était déjà
mort (Pierre Desproges).
Mozart
était très précoce : à 8 ans et demi, il avait déjà composé le Boléro
de Ravel (Pierre Desproges, L’indispensable
encyclopédie de Monsieur Cyclopède, 2004).
Que deviendrait-on sans la musique, sans Mozart ! (Thomas
Bernhard, Béton, 1985).
Si je
pouvais imprimer dans l'âme de chaque amateur de musique, et principalement
dans celle des grands de ce monde, ce que je ressens devant les inimitables
travaux de Mozart, les nations rivaliseraient pour posséder un tel joyau dans
leurs murs (Joseph Haydn).
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