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Mick Jones


Mick Jones, né Michael Geoffrey Jones le 26 juillet 1955 à Brixton dans la banlieue de Londres, était membre fondateur du groupe de musique The Clash en tant que guitariste et chanteur, mais sans être le chanteur principal qui était Joe Strummer. Cependant il a chanté quelques chansons telles que Should I Stay or Should I Go ou Train in Vain. Il abandonne son groupe London SS en 1976 pour fonder avec Joe Strummer The Clash. Il écrivait généralement les mélodies pendant que Joe Strummer s'occupait des paroles. Après avoir été renvoyé des Clash en 1983 car ses gouts musicaux ne coincidaient plus avec ceux du groupe, il forme son propre groupe, Big Audio Dynamite (également appelé Big Audio Dynamite II, Big Audio et B.A.D.). Il est plus tard devenu producteur de disques. Ainsi il produit, entre autres, les deux albums de The Libertines et le premier album de Babyshambles.

Biographie de Mick Jones

Site non officiel

MySpace

 

CITATIONS

 

Ça n’a jamais été mon truc de me planter une épingle à  nourrice dans le nez. (1979)


Faire de la musique vous tue les nerfs, même en studio. Vos entrailles sont en morceaux jusqu'à ce que ce soit bon ou que vous abandonniez.


Il est temps pour nous de venir ici aux États-Unis avec un manifeste en faveur du changement. On peut juste essayer. Si les gens ne se rendent pas compte de ce que nous sommes -Le Groupe de Rock des années soixante-dix c’est leur problème. (1978)


J’ai toujours pensé qu’il valait mieux avoir un look d’enfer et jouer comme une savate que le contraire. (1989)


Je crois que les américains veulent une guerre. Tous ces jeunes qui faisaient du roller-skate, buvaient des milk-shakes et se retrouvent dans l’armée avec ces magnifiques armes à  la dernière mode. A force de les fabriquer, ils vont finir pas s’en servir. On leur donne un but : le Moyen-Orient ; une raison : le pétrole ; tous les éléments sont là. C’est tellement plus facile de tuer les gens que d’essayer de les nourrir. (1981)


Je m’en souviens. Ou plutôt je n’ai pas oublié que je l’ai fait. On a enregistré ça très vite, pas plus de trois ou quatre week-ends, les prises et les mixes compris. C’est notre ingénieur du son habituel, Mickey Foote, qui l’a mixé. En ce temps-là on ne  connaissait rien à la production. C’était du genre : T’as déjà entendu parler d’une balance ? (2005)


Je me suis inscrit en école d’art parce que je voulais rencontrer d’autres musiciens et obtenir une bourse pour acheter du matériel.


Je ne me souviens pas avoir eu de vacances aussi longtemps qu’a duré The Clash. Toujours un truc à  faire. (1981)


Joe disait la vérité et c’est important. Les gens sont manifestement sensibles à ça. (2005)


Joe nous a beaucoup appris, tous autant que nous sommes. Mais la leçon la plus importante, et nous en avions conscience, c’était la façon dont il faut se comporter avec les gens. Il aimait les gens. Et j’ai bien plus d’un exemple pour vous en convaincre. Il était tout le temps comme ça. (2005)


La drogue n’est que le passage vers un ailleurs. Il s’agit de ne pas se laisser coincer dans le passage. C’est comme le tunnel sous la Manche, mieux vaut ne pas se perdre. Je prends de la drogue pour provoquer une quelconque illumination, des visions dont je me souviendrai plus tard. Mais je n’aime pas perdre le nord. L’objectif est d’être soi même, comme sous influence, mais sans user de drogue. (1990)


Le reggae était l’autre musique que les Punks écoutaient. Il n’y avait pas assez de bons disques de Punk, alors les Dj avaient pris l’habitude de compléter leurs sets avec ce qui se passait sur la scène reggae. Don Letts, qui jouerait plus tard avec moi dans Big Audio Dynamite, était l’un des plus connus. Il faisait toujours découvrir aux gens plein de nouveaux disques de Jamaïque. Et à Brixton, où nous avons grandi, il y avait déjà le bluebeat et le ska, et on avait tous grandi avec cette musique dans les oreilles. Comme les Stones, qui à leurs débuts faisaient des reprises des tubes de R&B du moment, les Clash ont fait Police And Thieves. C’était le tube de cet été là. C’est comme ça qu’on s’est retrouvés à le faire. On n’essayait pas de faire du « vrai » reggae, on voulait juste en faire à notre sauce, avec nos racines. Ça sonnait différemment. Rien à voir avec Police et son reggae mou. (1995)


L’International Socialiste nous envoie régulièrement des télégrammes de félicitations. Nous n’avons rien à  faire avec eux. Nous n’avons aucune déclaration politique. La seule ligne politique pour moi, c’est celle de la vie à  travers mes yeux. (1977)


The Clash est mon album préféré. (1977)


Toute cette histoire à propos des fans qui viennent nous voir à l’hôtel ou qui passent dans les loges est très importante pour nous. On a une responsabilité envers nos fans, pas seulement parce qu’on veut garder le contact avec eux, mais aussi parce qu’ils ne nous sont pas indifférents. Je pense que nous sommes le groupe qui se préoccupe le plus de ses fans dans ce pays. On ne veut pas vivre leurs rêves à leur place, mais plutôt leur prouver qu’ils peuvent eux-mêmes les vivre. (1978)

 

 

 

 

 

 

 

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