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Mick Jagger


Sir Michael Philip Jagger, plus connu sous le nom de Mick Jagger, né le 26 juillet 1943 à Dartford (Kent), est un chanteur britannique qui évolue au sein du groupe The Rolling Stones depuis le début des années 1960. Avec Keith Richards, il est le leader et le compositeur de la plupart des titres du groupe. Il est l'un des chanteurs les plus célèbres du rock en raison de la popularité des Stones. Véritable star depuis le milieu des années 1960, il est par son jeu de scène démonstratif, son attitude et son charisme, considéré comme l'archétype du chanteur de rock, souvent cité comme référence par de nombreux musiciens.

Biographie de Mick Jagger

Site officiel

MySpace

 

CITATIONS

 

A un certain moment, sur scène, vous lâchez prise. Vous devez alors vous laisser aller, je veux dire, atteindre ce moment où vous sentez que vous quittez votre cerveau.


Brian Jones était une personne extrêmement complexe, presque misérable sur la fin de sa vie. Kurt Cobain, je pense, a été atteint du même syndrome. Vous ne pouvez rien reprocher à une personne qui a connu autant de difficultés de vie, de mal-être et de déprime. Il était malheureux avec sa vie, mais aussi frustré. Il était très talentueux, mais était totalement paranoïaque. Il ne pouvait donc survivre dans le show-business.


C’est parfait si vous vous laissez aller dans la mesure où vous savez quand revenir.


Certains artistes  peuvent attirer l’attention sur des problèmes sociaux, d’autres seulement faire ce qu’ils font (leur art est éloigné des préoccupations principales de la vie). Je pense que je fais partie des deux. Ma présence au Live Aid était donc justifiée. (1985)


Certains prennent leur vie de chanteur trop au sérieux, ils veulent continuer d’être dans la vie de tous les jours comme à la scène. Au bout du compte, soit ils sont tout le temps soûls soit ils sont cinglés, en tout cas complètement détruits. A une époque, moi aussi je jouais à  la rock star vingt quatre heures sur vingt quatre. Je crois que je n’étais pas quelqu’un de très sympathique. Ça a duré pendant toutes les années 60 et 70.  C’est incroyable de voir le temps qu’il faut à  certains hommes pour devenir adultes. (1995)


D’une certaine façon c’est la messe. (2006)


En 1998, Keith Richards, guitariste culte et nihiliste des Stones, se casse un bras en tentant d'attraper un bouquin de sa bibliothèque. A un journaliste qui demande son sentiment sur l'accident à Mick Jagger, ce dernier répond laconiquement : "J'ignorais que Keith savait lire".


— Est-ce vrai que votre femme Jerry vous a surpris au lit avec David Bowie ?
— Si ça ne l'était pas, vous croyez que ce serait dans son livre ?!


Évidemment, je ne pourrai pas faire ça ad aeternam ! (novembre 1969).


J’adore la scène, je pense qu’être sur scène représente une aide. Cela m’aide, en tant qu’individu, à dépasser mon ego. C’est l’un des meilleurs processus pour y arriver. Si j’arrive à annihiler mon ego sur scène, alors je me sens mieux quand je redescends sur la terre ferme.


J'ai beaucoup d'enfants, sept, mais Keith (Richards) est le pire de tous !


J’ai essayé de voler tout ce que j’ai pu à James Brown.


J’ai eu tellement de mauvaises critiques, si je les prenais au sérieux, je serais incapable de refaire une chanson ! (1993)


J’ai juste choisi le rock en tant que carrière dans le show-business. Si j’étais né en 1915, j’aurais été un batteur de jazz, un chanteur dans un big band ou un acteur.


J'ai vécu des moments magiques avec les Rolling Stones. Lorsque j'interprète une nouvelle chanson avec eux et que je perçois un éclat dans leurs yeux, je sais que ce groupe existera toujours.


J’avais des problèmes avec les filles avant de chanter. Peut-être étais-je trop timide…


Je continuerai jusqu’à ce que mon corps commence à tomber de lui-même, et ça se produira dans pas mal de temps je pense.


Je crois que je suis un bon père. J’ai une certaine affinité avec les enfants, pas seulement les miens. J’aime sortir avec des enfants en week-end, par exemple. Ils vous aident à rester jeune, à rire aussi.


Je crois que Sympathy For the Devil a pour origine un poème de Baudelaire. C’était en tout cas tiré d’un écrit français. J’ai juste pris un couple de vers pour écrire des paroles, comme si j’écrivais une chanson de Bob Dylan.


Je devais avoir 13 ans quand j’ai vu des chanteurs de blues pour la première fois à la télé. Des gens comme Leadbelly et Big Bill Broonzy qui venaient des États-Unis. La pop de l’époque, c’était quelque chose de très sirupeux, avec beaucoup de sentimentalisme : de la musique pour ado. Dans le blues il y avait une sorte d’urgence. On abordait les choses autrement, plus en profondeur (London Beat - La bande-son de la révolte, Arte, 2017).


Je n’ai pas de vices. Je me concentre sur mon travail. Je bois un peu mais jamais pendant une tournée. Même chose en ce qui concerne les drogues. Quand je travaille, j’ai besoin d’être lucide. Autrement, je ne déteste pas m’amuser.


Je ne comprends par pourquoi les punks s'évertuent tant à être punks. Le punk ultime, c'est quand même bien Keith (Richards), non ? (1978)


Je ne ressens aucune inhibition. J’ai vu Elvis et Gene Vincent sur scène, et je me suis dit : « Eh bien, je peux faire ça. » Et j’ai aimé faire ça. C’est un vrai plaisir, même devant vingt personnes, de s’éclater de cette manière.


Je ne sortirai jamais avec d’autres femmes que la mienne. Je ne l’ai jamais fait, et ne le ferai jamais.


Je ne voudrais jamais inciter de jeunes gens à prendre de l’héroïne et de la cocaïne. Je ne pense pas que ce soit bon. Surtout quand tu es jeune. Je pense qu’une personne plus âgée devrait pouvoir prendre les drogues qu’elles veulent… et se planter bourrées ! Alors… Enfin, c’est un problème, je pense que les jeunes ne devraient pas pousser l’alcool trop fort, et pour le reste, il y a des restrictions, mais elles ne comptent pas vraiment, et ces drogues sont vraiment débilitantes. Je crois qu’on ne devrait pas encourager les jeunes à  prendre quelque drogue que ce soit. (1982)


Je n’y connais rien en vin ! Y’a le rouge et le blanc. Et le rosé. Si t’en bois, t’es bourré. Point final. (1992)


Je ressens un sentiment étrange sur scène. Je sens beaucoup d’énergie qui vient du public. Je ressens même parfois de la violence, comme si j’avais envie de frapper mon micro ou autre chose. Je ne me considère pas du tout comme « normal » sur une scène.


Je suis sans doute avec la reine, ce que l’Angleterre a eu de mieux. Moi et la reine !


Le mot nostalgie est lié au regret du passé. Le passé est une notion essentielle, et je ne veux ni l’effacer, ni le regretter. Et je ne veux surtout pas être son prisonnier.


Le rock n’entraîne pas de challenge intellectuel. On devient intellectuellement fainéant avec le rock. Donc au final, je pense que personne n’est satisfait avec le travail qu’il a pu effectuer !


Les critiques ne manquent jamais de me faire remarquer la faiblesse de l’écriture, et ils ont presque toujours raison. Ce n’est pas une excuse de dire : « Après tout, ça n’a pas d’importance, c’est du rock’n’roll. » D’accord, mais n’est-il pas possible de faire en sorte que ça sonne bien et que ça signifie quelque chose ? Et puis il y a ces terribles fautes de goût, sous prétexte qu’on s’adresse à des personnes jeunes et pas très évoluées… (1981)


Les Rolling Stones n’ont jamais recours au play-back sur scène, à l’exception d’une séquence de percussions sur le titre Sympathy for the Devil. Nous l’interprétons ainsi depuis neuf ans parce que nous n’avons pas trente congas brésiliennes sous la main. Je ne chante pas en play-back, cela s’entend je crois. Nous avons dû faire face aux mêmes accusations, il y a trois ans, de la part d’un hebdomadaire allemand, et nous avons gagné le procès.


Parfois un orgasme est plus intense que de ressentir quelque chose sur scène. Parfois, être sur scène est plus fort qu’un orgasme…


Pendant longtemps, j'ai conduit ma vie comme si j'étais dans un show. Je jouais à la rock star vingt-quatre heures sur vingt-quatre, au point de devenir une caricature de moi-même. Lorsqu'on reçoit beaucoup trop d'attention, comme cela m'est arrivé, on risque de régresser à l'âge de l'enfance. C'est très dangereux, car on devient incapable d'exister sans le regard de l'autre. Et, artistiquement, on n'a plus rien à offrir. Il m'a fallu du temps pour comprendre que la plus grande escroquerie, c'est d'essayer de ressembler à sa légende.


Plutôt mourir que chanter Satisfaction à 45 ans !


Prendre de la drogue occasionnellement, en se surveillant, je ne vois pas de problème avec ça. Mais, si vous le faites tout le temps, vous ne devenez rien de bon. C’est basé sur mon expérience, sachez-le, et pas sur une simple opinion puritaine. Drogué, vous pouvez continuer à être créatif, mais alors vous prenez de plus en plus de temps, un temps interminable, pour le devenir.


Quand je vois Elvis Presley qui continue encore et toujours, ça me dégoute. Il ferait bien d'arrêter, à son âge !


Si j’avais été un chanteur français de rock, je suis sûr que le groupe aurait été très impliqué dans la récente révolution dans ce pays (1968).


Si le groupe manque d’énergie, c’est simplement qu’il a passé toute la nuit précédente à baiser !


Vers treize ou quatorze ans, j’ai commencé à m’intéresser au blues. A l’époque, c’était une musique presque inconnue. La radio ne la passait pas, sauf par accident. C’est cette musique qui m’a indirectement poussé sur le devant de la scène, alors que je ne voulais même pas être un leader.


Vingt mille dollars, Ok, pour beaucoup de gens c’est une grosse somme, mais pour moi, c’est tout ce que j’ai gagné en Europe en 1976. Et je paie des impôts dessus. (1982)


Vous faites votre truc et tout de suite ils vous jettent en prison. Accrochez-vous 30 ans et les mêmes vous donnent une médaille pour avoir persévéré. (2006)


Vous n'êtes pas vraiment un groupe si vous ne durez pas. Nous sommes un groupe et un vrai groupe reste ensemble jusqu'à la mort (Radio Times, juillet 2016).


Vous savez… le piratage… Il faut bien comprendre que les gens qui débutent seraient prêts à payer pour qu’on écoute leur musique ! (2001)

A PROPOS DE MICK JAGGER

Avant d’avoir vu Mick Jagger, nous imaginions la Star... alors qu’en fait c’est un collégien, un type vraiment quelconque qui n’a même pas de dégaine (Trust, 1977).


Ce petit con est futé. Je lui reconnais cette qualité (Keith Richards).


Est-ce que quelqu'un a vu Mick Jagger à Glastonbury l'année dernière ?  Allez Mick franchement... Ce n'est même plus une question d'âge là, le show était juste pourri... Je voulais que les Stones nous donnent la pêche, comme d'habitude. C'est ce qui leur a d'ailleurs permis d'arriver jusqu’ici. Mais non, on avait plutôt droit aux collants pour femme de Mick et ses testicules toutes moulées. Il courait partout et le reste du groupe était très gêné, d'ailleurs eux aussi portaient ces horribles couleurs style Tommy Hilfiger, comme Cliff Richard lorsqu'il s'habillait en vacancier. Si jamais je deviens comme ça... je vous invite tous à venir voir (John Lydon, université d'Oxford, 8 décembre 2014).


J’ai vu les Rolling Stones en septembre et j’avoue avoir été très déçu. Ça ne semble à aucun moment sincère, on a l’impression que Mick Jagger compte les rangées de spectateurs pour savoir combien il va toucher à la fin du concert… C’est incroyable ! (Chris Robinson, The Black Crowes, 1994)


Je connais peu de gens aussi pleins de ressources que Mick. C'est pour ça que je l'aime. Il peut discuter philosophie avec Jean-Paul Sartre en français. Il est très bon avec les autochtones (Keith Richards, Life, 2010).


Je ne veux surtout pas être Mick Jagger, continuer à faire semblant à 55 ans. (Noel Gallagher, Oasis, 1997)


Les gens sont dans l’erreur, surtout dans le rock : toute cette mythologie, une musique de durs. Mick Jagger ? Une pichenette et il tombe par terre. Les musiciens ne sont pas de durs, c’est des bobards. (Randy Newman, 1995)


Les seules choses sur lesquelles Mick et moi ne sommes pas d’accord sont le groupe, la musique, et ce que nous faisons (Keith Richards)


Marianne (Faithfull) n'a pas grimpé aux rideaux, avec Mick (Jagger) et son petit zizi. Je sais qu'il a une énorme paire de couilles. Mais on ne peut pas dire que ça compense... (Keith Richards).


Mick adore tout contrôler. C’est son côté Hitler. Ou Napoléon, si vous préférez puisque vous êtes Français. (Keith Richards).


Mick et moi on n'est peut-être pas des amis « trop de frottements et d'usure pour ça » mais on est proches comme des frères, et c'est quelque chose qui ne peut être brisé. Comment peut-on décrire une relation qui remonte si loin ? Les meilleurs amis restent des amis. Mais les frères se battent entre eux. Je me suis senti trahi, Mick le sait très bien, même s'il ne mesure pas bien la profondeur de ce sentiment. Mais c'est du passé, tout ça s'est produit il y a très longtemps. Je peux dire tout cela, parce que ça vient du cœur. En même temps, je ne laisserai jamais personne dire quoi que ce soit contre Mick en ma présence. Je lui trancherais la gorge (Keith Richards, Life, 2010).


Mick était beaucoup plus chaleureux avant. Il s’est un peu enfermé dans un frigo, avec une mentalité d’assiégé. (Keith Richards).


Mick Jagger a été formidable lorsque Sid Vicious s'est retrouvé impliqué dans ses terribles histoires. Il a mis à notre disposition ses avocats, alors que notre propre management paniquait sans savoir quoi faire. Je ne l'oublierai jamais. (Johnny Rotten, 2013)


Mick Jagger est la rock star parfaite. Personne n'est aussi parfait. Il est grossier, moche et sexy à la fois, il est brillant. (Elton John)


Mick Jagger est l’homme le plus exaltant, coquin et sexy que j’ai jamais connu. (Pamela Des Barres, groupie)


Mick Jagger ne sait pas se détendre. Il faut toujours qu’il fasse quelque chose. S’il se laisser un peu aller, il se sentirait mieux. Il est un peu comme un maniaque. Il veut en faire trop, avoir la main mise sur tout : qui fait quoi, le business, les T.Shirts… et la musique en pâtit. (Keith Richards, 1989)


Vouloir être la plus grande star du show-bizz de la planète, ce qu’il était, ça me dépasse. À un moment, on avait l’impression que c’était Sa Majesté et que nous bossions pour lui, au cacheton ! Quand il était dans la pièce, nous évoquions "cette pétasse de Brenda" pour qu’il ne comprenne pas qu’on parlait de lui. (Keith Richards).

 

 

 

 

 

 

 

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