Bobby, tu n’es pas en train de faire le prochain
album de De Palmas... (Nicola Sirkis, à Bobby, le guitariste d’Indochine)
Ce
ne sont pas des influences mais plutôt des hommages qu’on rend à certains
groupes comme New Order ou Marilyn Manson, par exemple. (Nicola Sirkis)
Ce
qui me plait, c’est de ne pas faire l’unanimité. (Nicola Sirkis)
Et
comme le dit la chanson, la jeunesse emmerde le Front National. Moi aussi. (Stéphane
Sirkis, 1992, Ras l´front n°6)
Indochine
est un hommage à Marguerite Duras, avec un soupçon de provocation. (Nicola
Sirkis)
J’écris
toujours une chanson une fois que j’ai la musique, comme cela elle peut
véhiculer l’émotion. (Nicola Sirkis)
J’en
veux plus aux proxénètes qu’aux prostitués. (Nicola
Sirkis, à propos de la Star Academy)
Je
suis violemment romantique et joyeusement pornographique. (Nicola Sirkis)
Je
trouve plutôt intéressant d’être un vilain petit canard. (Nicola Sirkis)
Le
rock au sens large a toujours été une musique de métissage, que ce soit dans le
blues, le rap, le reggae, le raï, le funk. On voit tout de suite l’incompatibilité
avec les lepénistes franchouillards qui prônent l’exclusion. (Stéphane
Sirkis, hiver 1992, Ras
l´front n°6)
Le
rock’n’roll venant du blues, musiques des esclaves noirs, il a toujours fait
hurler les conservateurs de tous poils. Le Ku Klux Klan appelant les jeunes à
détruire les Beatles parce que John Lennon avait ironisé sur la religion.
(Stéphane
Sirkis, hiver 1992, Ras
l´front n°6)
Les
gens disent qu’ils ont l’impression que ce sont toujours des trucs
d’adolescents, et tout ça, mais moi je n’écris pas pour les ados, j’écris ce
qui me passe par la tête. (Nicola Sirkis)
On
a toujours une partie du public à surprendre ou à convertir, alors on continue
parce que ça me ferait chier d’arrêter. (Nicola Sirkis)
Pour
l’interprétation du Grand Secret, je suis parti de cette phrase de
Bataille : « Je pense comme une fille qui enlève sa robe. »
(Nicola Sirkis)
Reflet
de la révolte/rébellion de la jeunesse, même si aujourd´hui le capitalisme en
fait un produit de consommation, le rock reste fondamentalement antinazi,
antiraciste. La majorité des stars et des groupes de rock adhèrent à ces
valeurs. Je ne connais pas un groupe de rock français soutenant les lepénistes.
Au contraire, ils sont à la pointe du combat anti-FN. (Stéphane Sirkis, hiver 1992, Ras l´front n°6)
Rien
de ce qui se fait en France ne me touche vraiment. (Nicola Sirkis)
Une
chanson est vraiment excellente quand elle devient vraiment fédératrice,
qu’elle est reprise par d’autres. (Nicola Sirkis)
Voici
une chanson pour les filles qui aiment les filles, pour les garçons qui aiment
les garçons, pour les garçons qui aiment les filles, pour les filles qui aiment
les garçons... Merci
de votre tolérance ! (Nicola Sirkis, Lancement de 3ème Sexe)
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