Croyez-moi, dans le monde moderne, si vous n’êtes dans aucun classement, si vous ne faites gagner d’argent à personne, si vous ne faites perdre d’argent à personne, vous présentez alors très peu d’intérêt pour la presse. Dans cette situation, je serais un homme beaucoup plus heureux.
Évidemment je rencontre beaucoup d’homophobie, notamment dans la presse. Mais, malgré tout cela, même si on dit toutes sortes de choses, je suis quand même libre. Et personne ne va m’enfermer parce que j’aime les personnes que j’aime ou parce que je fais l’amour avec les gens avec lesquels j’aime faire l’amour. J’aime la célébration de cette liberté. C’est une façon de rappeler à tous, et surtout à la communauté gay, que cette liberté est récente.
Grâce à ma
mésaventure, je me suis rendu compte que, au fond, ma différence était ma
principale qualité (Télérama, 2004).
Il y a des
choses que je ne désire pas apprendre.
Je ne vais pas prendre ma retraite en tant que musicien. Je voudrais juste prendre mes distances vis-à-vis des médias et, grâce à internet, essayer d’avoir un rapport plus direct avec mes fans, sans avoir justement à recourir à ces médias. L’idée serait de livrer mes nouveaux morceaux sur un site internet où il serait facultatif de payer.
Les gens,
vous ne pouvez jamais changer leur opinion. Autant les laisser faire ce qu'ils
veulent.
Regardez ces vidéos de rap, avec toutes ces danseuses décoratives ? C’est de la pornographie !
Si j’avais bu autant que j’ai fumé, mon Dieu, je serais comme Keith Richards.
A PROPOS DE GEORGE MICHAEL |
Je trouve George Michael obscène. Il est supposé être un sex-symbol, mais je n’ai pas encore rencontré une femme qui l’aurait trouvé à son goût. (Robert Smith, The Cure, 1990)
Une
pissotière n’est pas le meilleur endroit pour faire son coming out (Elton John).
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