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CITATIONS

 

Au fond, si les Beatles ont bougé tant de trucs, c’est sans doute d’abord parce qu’ils donnaient aussi du bonheur. Comme John dans « You’ve Got To Hide Your Love Away », qui est un exorcisme de douleur dans un impérieux désir de beauté (Ray Davies, The Kinks, 1981).


Aucun de ces groupes n'arrive à la cheville de Siouxsie and the Banshees. Ce n'est pas de la nostalgie mal placée. C'est un fait. (Morrissey, magazine Q, avril 1994)


Aucun groupe n'a modifié mon approche de la musique autant que The Melvins. Sans blague. Je crois qu'ils sont l'avenir de la musique (Dave Grohl, Nirvana, 1992).


Bon (Scott) était comme un père pour nous. Il avait dix ans de plus que moi et il possédait l'expérience et le savoir. S'il y avait un problème de salaire dans le groupe, Bon prenait tout de suite l'affaire en main. S'il y avait un problème personnel, Bon était le premier sur le coup. Il était le type qui était là au bon moment. Quelqu'un d'unique (Angus Young, AC/DC).


C'est drôle mais j'aime vraiment bien ces types. Ils sont honnêtes, ils ne renient pas leurs influences : Beatles et Sex Pistols. C'est très curieux d'arriver à faire quelque chose en juxtaposant ces 2 groupes. Je trouve ça assez intelligent. La musique, c'est la musique, aussi simple que ça. Seuls les idiots s'interdisent d'aimer des choses différentes sous prétexte que ça ne correspond pas à une étiquette (John Lydon, PiL).


C'est une chanson d'amour pour une femme obèse, et les femmes obèses elles aussi ont besoin d'amour. C'est un de leurs riffs le plus frappant. Ils sont impeccables dans leur approche du Rock n' Roll. S'ils étaient plus sophistiqués ils perdraient de leur tranchant. (Alice Cooper,  à propos de Whole Lotta Rosie d’AC/DC).


Ce groupe était d'une violence meurtrière. En cinq images lubriques, j'avais mon orgasme dans mes petites culottes vierges. Mon cerveau se gelait, je ne pensais plus qu'entre mes jambes. La secousse. Ils étaient partis et, moi, je me retrouvais dans le vide, comme accrochée à une falaise, comme en train de me branler sans jouir. Papa avait coupé la TV. C'était trop tard. Ils m'avaient eue. J'étais rouge comme de la gelée de groseille, c'était pas de la musique pour fifilles à maman (Patti Smith, à propos des Rolling Stones, 1990).


Depuis qu'il est à Manchester, Carlitos (Carlos Tevez) me répétait sans cesse qu'il fallait que j'écoute Oasis, je ne l'ai jamais fait. Mais dans l'avion qui nous emmenait en Afrique du Sud, il m'a fait écouter les deux premiers albums. Je dois dire que je n'ai jamais entendu de la musique aussi bonne. Supersonic et Live Forever sont mes préférées. Je les écoute tout le temps : dans ma chambre d'hôtel, avant d'aller aux matchs... Je ne comprends pas comment j'ai pu ne pas les écouter plus tôt (Lionel Messi, coupe du Monde 2010).


Dionysos est le meilleur groupe live de rock du monde ! (Cali).


Graham Coxon est un musicien étonnant. Son style agité et saccadé, où tous les accords font des slides, des pull-off rapides et des minis arpèges semblent plus venir de son apprentissage du saxophone que de n'importe quel apprentissage conventionnel de la guitare (Q magazine).


Hendrix est un des personnages les plus révolutionnaires de la culture pop, musicalement et sociologiquement parlant. Le public féminin trouve Hendrix beau (peut-être un peu épouvantable), mais en tout cas sexy. Le public masculin pense qu'il est un guitariste et un chanteur phénoménal. Les types semblent aimer le fait que leurs petites amies soient sexuellement attirées par Hendrix. Très peu sont froissés par son charme ou l'envient. Ils renoncent ou alors ils se payent une Fender Stratocaster, une pédale wah wah et quatre amplis Marshall (Frank Zappa).


J'ai craqué sur les Dionysos, l'un des meilleurs groupes live en France : leur rencontre m'a fait comprendre que nous avions une approche identique de la scène. Mathias vit chaque concert comme si c'était le dernier (Kmar, No One Is Innocent, Rock & Folk n°445).


J’ai vu l’un de leurs premiers concerts. Ça donnait quelque chose comme « 1-2-3-4 BRRAAAGAWGGH ! ». Un genre de rugissement. Puis l’un d’entre eux cassait une corde et ils sortaient de scène. Ils revenaient « 1-2-3-4 » et la même chose se reproduisait. On était là à se marrer. Pourtant la musique était d’une intensité incroyable. C’était ce que j’avais vu de mieux depuis les Stooges. Ça a changé ma vie (Alan Vega, à propos des Ramones).


J'ai vu Oasis sur scène au moins douze fois. C'est intéressant de les voir dans différentes circonstances. Ils sont un tel phénomène en Angleterre que personne ne peut véritablement comprendre cet engouement ailleurs : 250 000 tickets vendus pour Knebworth en seulement une journée ! C'est à peine croyable (Lars Ulrich, Metallica, 1996).


Je me suis toujours compté au nom des plus grands adorateurs de Mozart et je le resterai jusqu'à mon dernier souffle (Ludwig van Beethoven).


Je ne vois personne d'autre avec qui j’aimerais plus jouer que Noel Gallagher en ce moment. Mais je dois bien admettre que son batteur, en tenue « Orange Mécanique » (Jeremy Stacey), fait un travail remarquable. Quand je l’ai vu à Los Angeles, en décembre, c’était fabuleux. Vous savez, même si les 37000 autres batteurs sur Terre abandonnaient Noel, je serais encore là pour essayer de jouer avec lui (Lars Ulrich, Metallica, New Musical Express, avril 2012).


Je pense que Lee Mavers (The La’s) est meilleur que moi. De notre génération, c'est le type le plus doué (Noel Gallagher, Oasis, 1994).


Je peux citer deux disques qui m’ont marqué et que j’emmènerais sur une île déserte : les Sun Sessions, d’Elvis Presley, et l’album blanc des Beatles. Ce sont des disques que je peux me mettre en boucle sans jamais me lasser (Martin L. Gore, Depeche Mode).


Je suis moi, pas Morrissey. Je suis pas Dylan. Je suis pas Brett Anderson. Ils sont meilleurs paroliers que je ne serai jamais (Noel Gallagher, 1996).


Je suis un grand fan des Cure. Je suis toujours impressionné par ce qu'ils font. Ils font de la musique comme des peintres, avec des couleurs sonores toujours originales (Calogero).


Jimmy (Page) est une légende, il n'y a rien à redire. Il a écrit de si belles chansons, de si grands albums, il a influencé tant de guitaristes... Mais le solo que tu viens de me faire écouter, particulièrement, est assez... Comment dire ? Disons qu'il aurait dû être un peu plus travaillé. Il joue constamment faux. Mais bien évidemment, le mec en lui-même est bien au dessus de ça. C'est une légende et personne ne pourra lui enlever. Dieu le bénisse. C'est un peu notre grand-père à tous (Yngwie Malmsteen, à propos de Black Dog de Led Zeppelin).


Keith Moon (The Who) est mon idole (Alan White, Oasis, 1998).


La musique met le grappin d'un coup sur les gens. Pendant ce concert j'ai senti quelque chose de dingue en moi qui ne m'a plus quitté depuis. Ian Brown m'a impressionné parce qu'il avait l'air d'un vrai mec ; il chantait un peu faux, mais ça n'avait aucune importance. Il m'a mis un vrai coup de pied au cul (Liam Gallagher, à propos des Stone Roses).


Le premier album du Floyd, avec tout le génie de Syd Barrett : je découvre pour la première fois des contrées musicales inoubliables ; je n’avais même jamais envisagé qu’elles existaient. Des sons de guitares et des harmonies vocales incroyables. La musique psychédélique à son meilleur niveau, totalement hallucinée. Une preuve supplémentaire, accablante, des bienfaits de la drogue pour la musique, du jazz au rock stoner (rires) ! (Ty Segall, à propos de l'album The Piper at the Gates of Dawn des Pink Floyd, Télérama, 2014).


Les Beatles ont une chanson pour chaque jour de votre vie, que vous vous sentiez bien, mal, dépressif, joyeux, bourré, stone, quelle que soit votre situation, les Beatles sont bons pour vous (Noel Gallagher, 2000).


Les Beatles sont l’archétype du groupe populaire. On ne peut pas améliorer ce qu’ils ont fait. Pas forcément au niveau musical, mais en termes de carrière, de charisme, de puissance symbolique. A quel point ils ont pu changer la vie de toute une génération. Nous ne sommes pas capables de ça. Aucun groupe, en fait (Sting, The Police, 1981).


Les deux albums les plus importants de la dernière décennie sont Nevermind de Nirvana et The Bends de Radiohead (Matthew Bellamy, Muse).


Les New York Dolls étaient le pire numéro de strip-tease qui soit. J’aimais leur vibration trash (Malcolm Mc Laren).


Les qualifier de punk ou de gothique n’est en vérité qu’une petite partie de l’histoire. Ils ont toujours été novateurs. Et ils ont influencé tout le monde, de Massive Attack à Björk, de PJ Harvey aux Cocteau Twins. Comme le Velvet Underground, Siouxsie And The Banshees englobent une époque tout en la transcendant (Marc Almond, Soft Cell, à propos de Siouxsie & the Banshees).


Les Sex Pistols étaient particulièrement brillants. Ils me faisaient penser à Beethoven. Ils avaient ce côté grandiose (Debbie Harry, Blondie).


Les Stones sont véritablement le plus grand Groupe de Rock de la Planète et ils le seront toujours. Ils seront aussi les derniers. Tout ce qui viendra après eux, le Metal, le Rap, le Punk, la New-Wave, le Pop-Rock, et tout ce que voudrez, vous ramènera aux Rolling Stones. Ils étaient les premiers et seront les derniers et personne ne pourra faire mieux ! (Bob Dylan, 2009).


Liverpool est dans mon âme et Lennon est probablement la personne que j’admire le plus au monde, il est incontestablement mon héros. Un musicien génial, un esprit brillant, j’adorais son humour noir. Il était tout à la fois un trou-du-cul, un pochtron, un père exceptionnel, et surtout, il était de loin, la plus humaine des pops stars (Ian Astbury, The Cult, 1994).


Mick Jagger est la rock star parfaite. Personne n'est aussi parfait. Il est grossier, moche et sexy à la fois, il est brillant (Elton John).


Mon Beatle préféré, c’est John Lennon. Un vrai caractère, un héros absolu. J’admire cette faculté qu’il avait de se moquer de tout, hormis des Beatles et des chansons. McCartney écrivait sans doute de meilleures mélodies mais, à mes yeux, il n’arrivait pas à la cheville de Lennon. Pourtant, j’aurais sans doute détesté Lennon si je l’avais rencontré, je crois que c’était un sale con (Noel Gallagher, 1995).


Mon premier choc musical, j’avais douze ans. Ce qui me fascinait le plus, c’était le chant de Kurt Cobain : il savait se faire doux comme une berceuse malgré la dureté du propos. Je n’avais jamais entendu pareil mélange de fragilité et de force (Ty Segall à propos de Nevermind de Nirvana, Télérama, 2014).


Nos fans les plus radicaux ont du mal à l'admettre, il faut pourtant qu’ils s’y fassent : je suis un admirateur des Beatles. Je ne connais rien de plus beau que leurs chansons. Il y a quelques années j'étais obsédé par l'idée d'écrire la chanson pop parfaite (Kurt Cobain, Nirvana).


On a rencontré John McEnroe après un concert et il était super, complètement allumé. Il a tiré sur un joint et a bu un verre et nous a dit qu'il nous aimait vraiment et qu'il jouait lui-même dans un groupe. Il a commencé à nous chanter une chanson qui disait « T'arrives pas à être sérieuse / Tes doubles fautes me rendent dingue » et je lui ai dit que ouais, c'était super. Il est complètement givré (Liam Gallagher, Oasis).


On n’a jamais trouvé Marilyn Manson choquant. Pour nous c’est juste un mec cool pour la fête, un type très intelligent, très rusé, presque machiavélique, c’est ce qui est marrant (Brian Molko, Placebo).


Pour tout le monde, The Wall est ringard, mais pour moi, c'est l'un des plus grands albums de tous les temps (Noel Gallagher, 1995).


Quand tu vois jouer Dionysos, tu es épaté. C'est généreux, vivant, c'est ça dont tu as envie, d'avoir ce répondant. Du coup tu te mets à douter, à te dire « Est-ce que je suis vraiment un artiste ? Est-ce que j'ai quelque chose à dire ? » (Thomas Boulard, Luke, Rock Sound 100% Français n°8).


Quoi qu'en disent certaines mauvaises langues, les Stones demeurent encore et toujours l'incarnation suprême du rock. Leur cynisme de stars milliardaires n'a d'égal que le plaisir que procure leurs shows « barnumesques », immenses moments de plaisir et de divertissement (Frédéric Peguillan, journaliste et rédacteur en chef adjoint de Télérama).


Simplement mon disque préféré de tous les temps. Un album maudit, qui fût un échec à sa sortie, mais qui emporte la pop ailleurs, haut dans le ciel. C’est de la musique qui rend heureux et en même temps, les Kinks chantent la bizarrerie du quotidien. Les paroles sont géniales, des tranches de vie qui racontent la middle class anglaise. Les paroles sont devenues de plus en plus importantes pour moi. J’essaie désormais d’y faire vraiment attention, et les Kinks y sont pour beaucoup. J’ai passé des nuits à écouter ce disque, il m’obsède : j’ai recherché pendant des semaines le micro avec lequel ils avaient enregistré tel ou tel instrument… C’est mon côté geek obsessionnel du son, je préfère ne pas m’étendre, vous allez avoir peur ! (Ty Segall, à propos de l'album The Kinks Are The Village Green Preservation Society des Kinks, Télérama, 2014).


Souvent, les gens les détestaient. Mais à chaque concert, il y en avait qui tombaient amoureux des Ramones. Si une personne était sous le charme dans l’Oklahoma, la fois suivante, ils seraient deux ou trois. C’était des pionniers et des explorateurs (Arturo Vega, directeur artistique).


Spéciale dédicace aux Dionysos et aux Wampas qui sont les meilleurs groupes de rock sur une scène en France (Mickey 3D, Victoires de la Musique 2004).


Tom Verlaine a un jeu de guitare qui ressemble au cri d’un millier d’oiseaux bleus. (Patti Smith, Rock Scene)


Tout chez eux, leur allure, leur musique, leur attitude et leurs chansons était parfait. Le concert s’est achevé en onze minutes et demie. J’étais ébloui (Danny Fields, manager, à propos des Ramones).


Un groupe comme les Clash aurait pu devenir l'équivalent des Rolling Stones (Bono Vox, U2).


- Vous attaquiez aussi les grands groupes de l'époque, les Who, les Stones. Etes-vous réconciliés ?

- C'était un jeu. J'ai toujours eu la plus grande admiration pour Pete Townshend. Quant à Mick Jagger, il a été formidable lorsque Sid Vicious s'est retrouvé impliqué dans ses terribles histoires. Il a mis à notre disposition ses avocats, alors que notre propre management paniquait sans savoir quoi faire. Je ne l'oublierai jamais. (Johnny Rotten, PIL, 2013)
 

 

 

 

 

 

 

 

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