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CITATIONS

 

À mes yeux, l’opium n'était pas une drogue sale de la rue. C'était une potion magique au sujet de laquelle on avait écrit. C'était Kubla Khan, Thomas DeQuincy, Oscar Wilde (Pete Doherty, The Independent, novembre 2014).


À Woodstock, j'étais décalqué en permanence. Tout le monde demande toujours : « Woodstock, Woodstock, tu y étais ? », mais le plus marrant c'est que la moitié des gens qui y étaient ne savaient même pas où ils étaient (Steven Tyler, Aerosmith, Est-ce que ce bruit dans ma tête te dérange ?, 2011).


Allons nous taper un gros steak et baiser sans capote et prendre de l'héroïne après. (Iggy Pop)


Après trois jours de paix, d'amour, de musique et d'absorption massive en tout genre, Woodstock ressemblait à un Vietnam sous acide (Steven Tyler, Aerosmith, Est-ce que ce bruit dans ma tête te dérange ?, 2011).


Au début j’étais influencé par Patti Smith, mais après un temps, j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup trop de drogue dans sa tête (Stephan Eicher, Longueur d’Ondes, 1986).


Aujourd'hui, je me drogue plus par plaisir que par besoin. (Brian Warner, Marylin Manson)


Aujourd'hui tout est dangereux, tout est nocif. On ne peut plus fumer, on ne peut plus rouler vite. Il faut attacher sa ceinture, il faut pas dire ça, pas écouter ça, on ne prend plus aucun risque. On meurt de toute façon hein, donc autant goûter le plus possible. La première chose qui a été claire pour nous à l’époque, c’était ça : le faire d’une manière extrême. On voulait des filles ? On avait des filles. On voulait de la came ? On avait de la came. Au début, on répétait à Argenteuil dans une petite salle pourrave, on fumait un shit davantage fait avec de la terre et du pneu qu’autre chose. C’est anormal de faire ce qu’on faisait. Mais c’est pour ça qu’on le faisait. Franchement, j’ai été pissé dans des endroits où peu de gens vont… Je souhaite à tout le monde de s’égarer. C’est important de s’égarer. C’est important de goûter. On ne sait jamais, on va peut-être aimer ça ? (Bernie Bonvoisin, Trust, Marianne, 2014)


Avant le show, je prends quelques cocktails pour me décontracter. Je ne me risque à rien de chimique. Ça ne conduit pas à bien jouer. (Slash, Guns N' Roses, 1992)


Beaucoup d’artistes sont devenus des toxicomanes. Dans ce métier, on passe des heures à  dégoiser avec les musiciens dans des loges et des chambres d’hôtels et vous savez comme il est facile de se laisser entraîner à faire des bêtises lorsqu’on se trouve dans un groupe. Quelqu’un veut essayer quelque chose de différent pour s’évader et tout le monde en profite. On essaie ainsi toutes sortes de narcotiques, de la marijuana au PCP, de la poussière d’ange aux barbituriques, de l’alcool à la cocaïne, de l’héroïne au LSD. J’étais de plus en plus accro. Je ne vivais que pour deux choses : sauter les plus belles gonzesses et me shooter. (Little Richard , 1984)


Beaucoup de drogués sont persuadés que ça leur permet d’acquérir une pureté ou je ne sais quel putain de plaisir inédit, ce qui est faux. Moi, je viens à peine de me rendre compte de mon erreur, et pourtant cela fait déjà un bout de temps que je suis clean. (Iggy Pop, 1990)


Ça dure depuis des années. J’ai commencé à prendre de l’héroïne en 1985 à Aberdeen. Je ne savais pas jusqu’où cette saloperie allait m’entraîner. C’est la pire dépendance que j’ai connue. Je ne peux pas jurer que je n’en reprendrais pas. (Kurt Cobain, Nirvana, 1993)


C’est après mon overdose que j’ai réalisé que j’avais la vie que j’avais toujours rêvé d’avoir, mais que si je continuais, cette vie pourrait bien m’échapper, dans tous les sens du terme. Nous devons avoir un ange gardien, sinon je crois que nous serions tous morts depuis longtemps. Nous avons décidé de nous désintoxiquer parce que tout le fun avait disparu. (Nikki Sixx, Mötley Crüe, 1989)


C’est comme la coke, c’était un truc de la jet set. Par exemple, Hallyday, ça lui coûtait 12 000 balles par mois en 72. Mais bon, t’es pas obligé d’en parler (Christian Décamps, Ange, Vapeur Mauve n°1, 2007).


C’est facile de dire « J’arrête quand je veux » : c’est le truc le plus difficile que j’ai jamais fait ! Et nous sommes toujours des drogués. Je suis toujours un alcoolo. La différence, c’est qu’aujourd’hui, je ne pratique plus. (Steven Tyler, Aerosmith, 1989)


C’est la CIA et l’armée qui ont lancé le LSD pour contrôler les gens et en fait, ils ont réussi à  nous donner la liberté. Il ne faudrait pas oublier de les remercier. Le LSD  a des façons mystérieuses de faire des merveilles, en tout cas ça marche foutrement bien. Si on lit le rapport du gouvernement sur l’acide, les seuls qui sont passés par la fenêtre étaient des militaires. Je n’ai jamais connu quelqu’un qui s’est jeté par une fenêtre ou qui s’est suicidé à cause du LSD. (John Lennon, 1980)


C’est mon manager américain qui a compris le rôle que MTV allait jouer. Avec Madonna et Prince, j’étais devenu une des stars de cette chaîne. Mais le poids de la célébrité est devenu ingérable. Pour résister, je me suis réfugié dans la drogue. L’héroïne pendant dix ans, puis la cocaïne. J’ai eu beaucoup de chance de m’en sortir (Billy Idol, 2014).


C’est plus facile de crever d’overdose dans les chiottes que de réussir sa vie (Henry Rollins).


Cela fait cinq ans que je ne prends plus aucune drogue. Et mon cerveau s’en porte d’autant mieux. Les dopes sont une impasse, le problème c’est qu’on ne s’en aperçoit pas pendant qu’on en prend. De toute façon, il n’y a pas de secret, tout le monde finit par arrêter. Arrêter de crever. (Hugh Cornwelle, The Stranglers, 1988)


Cela me fait vraiment rigoler de voir ces stars du rock qui viennent faire leur sermon anti-drogue à la télévision américaine ou anglaise, en prétendant qu’ils n’y touchent plus. Bullshit ! Ils font tout cela pour éviter la prison et en fait, ils continuent à  se défoncer comme avant. Je crois même que de ce point de vue les choses sont vraiment pire que du temps où j’étais moi-même là-dedans. La situation à Los Angeles est vraiment inimaginable du point de vue de la drogue. Tu peux t’acheter n’importe quoi avec une facilité dérisoire, et toutes ces campagnes anti-drogue, c’est vraiment de la foutaise ou de l’hypocrisie. (Ozzy Osbourne, ex, Black Sabbath, 1989)


Chanter devant 60 000 personnes, ce n’est pas normal. Comment voulez-vous ne pas vous droguer ? (Robbie Williams, 2010)


Chez Oasis, on ne prend jamais rien avant de monter sur scène. Le concert c'est sacré : on ne peut pas se permettre d'être défoncés. (Liam Gallagher, Oasis, 1994)


Dans les années 60 les gens prenaient de l'acide pour rendre le monde bizarre, maintenant le monde est bizarre et ils prennent du Prosac pour le rendre normal (Damon Albarn, Blur).


Dans les seventies, le succès vous amenait trop de choses malsaines : des femmes qui apportent de l’alcool, de la drogue et l’on est tellement grisé que l’on ne dit jamais non. Mais tous ces abus vous coupent des réalités, vous endorment. On ne s’occupe plus de ses affaires, de sa musique, on vit hors de tout. Les gens vous considèrent alors comme une épave, et le dise autour d’eux. Et c’est ainsi que j’ai connu cette longue période noire. Au lieu de vivre, il m’a fallu survivre. En plus j’étais victime du fameux « Trop jeune pour mourir, trop vieux pour faire du rock ».
- Joe Cocker, 1990.


Dans ma vie de jeune musicien, une vie de bohème que m'imposaient les circonstances, il n'y avait, comme je l'ai dit, ni drogue ni alcool. J'avais trop vu de gens mentalement délabrés, à la ramasse, et qui ne reviendraient jamais à une vie normale. Alors m'empoisonner l'organisme avec des saloperies, même pas en rêve.
Bruce Springsteen, Born to Run, 2016.


De toute évidence, ils n'aiment pas ce qu'ils font, et c'est comme ça qu'on se tourne vers la drogue.
John Lydon, PIL, à propos d'Amy Winehouse et Pete Doherty.


Depuis une dizaine d’années, l’usage des drogues  s’est démocratisé en Angleterre. Réservée à  une élite (Pop-stars, acteurs, hommes politiques…) dans les sixties et les seventies, elle s’est popularisée à la faveur du punk et des raves. Les lois sont maintenant complètement désuètes face à cette montée en puissance. Plutôt que de réprimer, le gouvernement ferait mieux de veiller à la pureté des ecstasy ou du shit que les gamins s’envoient.
Mathew Priest, Dodgy, 1995.


Des fois j'me dope comme un coureur cycliste. Quand se réveillent mes cicatrices, j'me sens si seul et si triste.
Booba, Pitbull.


Dès que nous avons cessé de prendre des drogues, Izzy a perdu de l'intérêt pour le groupe. Slash, Guns N' Roses, 1993.


Donner des concerts était devenu un cauchemar, tous mes morceaux étaient si sombres. Comment étais-je supposé les jouer si je n'étais pas défoncé ? C'est là que j'ai su que j'avais besoin d'aide. Je suis allé aussi loin que je le pouvais. La prochaine étape, si je ne me faisais pas aider, c'était de me suicider (Pete Doherty, The Independent, novembre 2014).


D’une certaine façon, la marijuana aide mieux à  vous concentrer sur la musique. On l’entend plus clairement, du moins c’est l’impression qu’on a. C’était comme ça pour les gens qui faisaient de la musique. On voit les choses vraiment différemment. Le LSD, c’était autre chose. Alors que la marijuana revenait à  boire quelques bières, le LSD vous envoyait carrément sur une autre planète. (George Harrison, ex, Beatles, 1991)


Écoute, t'es là pour me voir, et je ne peux pas partir tant que mon dealer est là, et il attend d'être payé, alors donne moi un peu de thune pour que je me fixe, et alors tu auras ton concert. (Iggy Pop)


En fait, j'ai perdu du poids parce que j'ai arrêté de fumer de l'herbe.
Amy Winehouse, Entrevue, n°180.


En habitant à Paris je prouve que je veux m'en sortir. Parce que c'est dur de trouver de la bonne came ici.
Pete Doherty


Grâce à mes chansons, j'aurai les drogues et les filles. Pour pouvoir tirer un coup, il faut écrire de bonnes chansons.
Noel Gallagher, Oasis, 1994.


Heureusement des kilos d'shit' viennent de la côte Chez nous on dort plus, chez nous le marchand d'sable sniffe de la coke.
Booba, Tallac.


I need a fix…
Sid Vicious, The Sex Pistols.


Il m'arrivait d'être à court de drogue. On devait donc se rendre du côté Est de Manathan armés. Juste au cas où...
Keith Richards, novembre 2015.


Il n’y a aucune drogue au monde qui puisse être comparée à la musique (Pete Doherty).


Il n'y a rien d'héroïque à prendre de la dope, mais tu peux devenir un héros en arrivant à décrocher. J'adorais cette merde mais à un moment j'ai dit basta. Ça rétrécit terriblement ton horizon, tu ne fréquentes que des junkies comme toi. J'avais besoin d'élargir mon espace, mes intérêts. Tout ça, évidemment, tu n'en prends conscience qu'une fois sorti du trou. Parce que c'est comme ça qu'elle agit, la came: je l'ai dit, c'est la salope la plus séductrice qui existe (Keith Richards, Life, 2010).


Il n’y a rien de mieux que l’héroïne : c’est le meilleur moyen de grimper au plafond que je connaisse. (Kim Deal, The Breeders, ex, Pixies, 1995)


Il y a quinze ans, personne n’avait la moindre idée de l’importance énorme qu’allait prendre la drogue. On ne se rendait pas compte que tant de gens allaient prendre pour paroles d’évangile ces positions absurdes, infantiles, immatures, sur le LSD et la marijuana, et on ne savait pas à l’époque à  quel point il est facile de se passer des drogues non additives aux drogues additives. (Marianne Faithfull, 1982)


Il y avait chez lui un terrible instinct d'autodestruction. Ce n'était pas tellement parce qu'il prenait de l'acide. C'était plutôt qu'il avait le chic pour s'entourer en permanence de mauvaises personnes, et se fourrer dans des situations malsaines (Tony Asher à propos de Brian Wilson des Beach Boys dans L’'envers du rock de Nick Kent, 1996).


Ils prenaient de l’héroïne, ce qui les rendait ingérables. Toutes ces histoires de poisse et d’hommes en noir, la malchance, ce n’était que de la bêtise. Ils auraient pu conquérir le monde et s’ils n’y sont pas parvenus, c’est parce qu’ils ont tout gâché. (Ian Grant, comanager des Stranglers entre 1976 et 1980)


Incroyables pertes de mémoire. Des pans entiers de ma vie. Je ne peux pas me souvenir, par exemple, de quoi que ce soit – quoi que ce soit - de 1975. Pas une seule minute ! (David Bowie, Rolling Stone, 1983)


J’ai arrêté de fumer. Quand j’ai arrêté de fumer, ma voix a changé… de manière si drastique. Je ne pouvais pas y croire moi-même (Bob Dylan).


J’ai arrêté l’école vers 14 ans parce que je voulais jouer de la guitare, mais aussi parce qu’il y avait trop de gens qui prenaient de la drogue dans mon lycée. A 12 ans, tu les vois prendre de la coke. Incroyable ! Je n’ai jamais voulu avoir à  faire quoi que ce soit avec la drogue ou l’alcool. Mon père non plus. Moi je suis le type le plus clean de la terre : je ne prends même pas d’aspirine ou de  café. La route de la drogue ne mène nulle part. Moi, je sais où je vais. (Dweezil Zappa, 1988)


J’ai arrêté les drogues quand j’avais 20 ans. Je n’ai jamais pris d’héroïne et de pilules. J’ai pris beaucoup d’acide, fumé beaucoup de weed, je me suis bien amusé  (Dave Grohl, Foo Fighters).


J'ai commencé à bouffer des champignons hallucinogènes vers 12 ans. Attention : pas vingt champignons à la fois. Plutôt dans les cent cinquante. (Noel Gallagher, Oasis, 1996)


J’ai commencé à me produire avec mon propre groupe. J’avais une limousine à ma disposition, des jolies filles. Et à la fin des années 1980, j’étais fauché. Je me suis fait rouler. Je n’ai jamais rien fait de vraiment dangereux : je ne me suis pas piqué, mais j’ai essayé tout ce qui traînait. Les gens te filent des petits sachets de poudre pour que tu les distraies. Tout ça n’est pas bon pour la santé, donc j’ai dû me faire soigner. Mais je me suis bien éclaté. (Captain Sensible, The Stranglers)


J’ai commencé à prendre de la cocaïne en 1975, j’en ai pris jusqu’en 1990. Au  fond de moi, je savais bien que j’allais trop loin, que j’étais excessif, ridicule et dépressif, mais j’étais auréolé de gloire et d’argent. Je me croyais fort. J’étais persuadé que je pouvais m’en sortir seul. D’ailleurs parfois, je m’arrêtais, deux, trois mois, et puis … je replongeais. La drogue avait fait de moi quelqu’un de détestable. (Elton John, 1995)


J’ai cru longtemps à  la magie des drogues. J’en ai toujours pris en grande quantité, afin d’avoir la pêche et d’entretenir l’aura Billy Idol, sans remarquer que tous mes amis petit à petit s’écartaient de moi. Je n’écoutais plus personne. Je n’ai fini que par ne plus supporter que les lèche-culs, jusqu’au jour où j’ai réalisé que c’était moi-même que je trompais. (Billy Idol, 1990)


J’ai dû fumer dix cigarettes de marijuana dans ma vie. Tout ce que cela m’a fait, c’est me donner mal à  la tête, la gorge sèche et envie de dormir. Je n’arrive pas à comprendre que tous les gens se précipitent sur ce truc. Cela me paraît être un passe-temps peu pratique, dans la mesure où ça peut vous envoyer en taule. (Frank Zappa, 1976)


J'ai entendu dire que ton cerveau arrête de grandir quand tu commences à te droguer. Voyons, je suppose que ça me fait avoir 19 ans. (Steven Tyler, Aerosmith)


J’ai enterré mon mari, ma bassiste est morte et c’est la même vache diabolique qui leur a vendu de la drogue. Elle habite entre la 15ème et Madison, elle ne vend que du « speedball » et uniquement aux musiciens qui jouent dans des groupes. Elle profite de leur côté dépressif et s’empare de leur talent, de leur motivation, de leur génie. Je voudrais que la police l’arrête. (Courtney Love, 1994)


J'ai été entouré de beaucoup de personnes qui prenaient de l'héroïne et ce tellement de fois. J'ai été prêt à le faire aussi mais sans savoir pourquoi ça n’est jamais arrivé. C'est probablement la seule drogue sur cette planète que je n'ai pas essayée. (Brian Molko, Placebo)


J’ai eu le malheur d’être arrêté pour possession de marijuana en 1968. À cette époque, c’était considéré comme un crime, et toute suspicion qui vous reliait à l’usage des drogues scellait votre sort pour l’industrie du disque. Ça s’est davantage libéralisé dans les années 70 et 80. Mais en 1968, je risquais d’être condamné à une peine de prison. J’ai alors compris que la seule façon d’éviter l’emprisonnement et d’obtenir plutôt une période de probation était de poursuivre mes études et de me trouver un emploi. Ce que j’ai fait. J’ai donc quitté le groupe (John Jennings, The Wildflower).


J’ai fait l’imbécile et je le regrette. J’ai été si flemmard, j’ai pris tant de drogue, elles m’ont vraiment bousillé le cerveau ; moi je me droguais parce que je voulais fuir la musique. Je suis tellement branché sur la musique que je n’arrive jamais à  l’arrêter, elle est tout le temps là, dans ma tête… Un jour, je me suis dit : je vais quitter la musique pendant quelques temps, je vais faire retraite dans ma chambre à coucher et me bourrer de drogues, ouais, j’ai été dans une phase comme ça… (Brian Wilson, ex Beach Boys, 1988)


J'ai jamais fait d'overdose dans la baignoire de quelqu'un d'autre. Je considère que c'est le comble des mauvaises manières. (Keith Richards, The Rolling Stones)


J'ai ouvert l'urne de mon père, et des cendres sont tombées à côté de la table. Je les ai regardées et je me suis dit que je ne pouvais pas profaner les restes de mon père avec un balai et les mettre dans une poubelle... Donc je m'en suis mis dans le nez avec un peu de dope, pour me shooter... Le reste, je l'ai mis au pied d'un arbre. Je suis sûr que mon père me bénit toujours ! (Keith Richards).


J'ai pris de l'acide trois fois. C'était très coloré, mais j'ai pensé que ma propre imagination était déjà plus riche. Naturellement. (…) Les seules drogues que je prends, en fait, sont celles qui permettent de travailler plus longtemps. (David Bowie, Playboy, 1976)


J’ai sniffé mon avion. J’ai sniffé ma porsche, ma maison. En quelques années, j’ai dû sniffer le produit national brut de la Colombie ! (Steven Tyler, Aerosmith, 1990)


J'ai vu des personnes tout perdre dans la drogue, les chagrins d'amour et la mort. C'est arrivé plus d'une fois dans ma vie, mais la plus évidente fut l'histoire de Kurt. (Dave Grohl, Nirvana, Foo Fighters, The Guardian, 2009)


J'aime jouer de la musique alors pourquoi mettre ça en danger avec un truc comme la drogue ? (Dave Grohl, Foo Fighters).


J'aime les drogues, mais mon corps et mon esprit ne m'autorisent pas à en prendre (Kurt Cobain).


J’aimerais peut être me tirer très loin, là-bas, pour mourir dans une orgie d’opium. En Chine. Juste me mettre à  fumer et ne plus jamais cesser de fumer. De l’opium. D’ailleurs, c’est comme ça que les vieux meurent, là-bas. Ils partent en fumée… (Alan Vega, 1982)


J'aimerais vraiment me débarrasser de ces satanées drogues. Elles détruisent toute ma créativité (Pete Doherty, Daily Star, juin 2014).


J’avais l’habitude de prendre de l’héroïne en studio et arrêter quand je rentrais à la maison (Damon Albarn, Blur).


J'en ai eu marre de me réveiller avec une balle de golf dans le nez et du coton à la place de la tête. (Noel Gallagher, Oasis, 2000)


J'espère que le mec qui a commencé avec « sexe, drogues et rock'n'roll » rôtit en enfer, j'aimerais changer le slogan afin de lui donner son vrai sens : « sexe, mort et rock'n'roll. » (Gene Simmons, Kiss, 1996).


J’étais devenu un singe laissé en liberté, imbibé d’alcool, défoncé à la coke et au speed. Une fois, pendant que Greg parlait à un mec d’une maison de disques, j’ai défait ma braguette et pissé sur la jambe du type. J’avais fait mon temps. (Keith Morris, Back Flag)


J’étais très jeune et innocent quand j’ai pris de l’héroïne pour la première fois et je pensais tout savoir. J’avais tort et je n’aurais jamais arrêté même si j’avais su. Personne ne m’a prévenu. J’ai essayé, j’ai aimé et d’une certaine façon, je n’ai pas regretté d’en avoir pris. J’aime la drogue, OK ? Je trouvais que je m’éclatais entre la drogue et le rock’n’roll. (Johnny Thunders, The New York Dolls, The Heartbreakers)


Je crois que nous avions raison au sujet de l'acide (LSD) et de la marijuana. Ils nous ont effectivement détachés du passé et apportés une nouvelle perspective, une façon de nous positionner en marge de la société rigide. Il y a une sorte de connaissance que vous donne le LSD au niveau cellulaire, à propos de ce qui se passe lors de la naissance, de la croissance, de la mort et de n'importe quoi d'autre. Que ça vous plaise ou non, c'est vrai que les substances psychédéliques sont une façon d'acquérir une énorme sagacité dans l'introspection vitale. (David Crosby, Crosby, Stills, Nash & Young)


Je fume de l’herbe depuis l’âge de neuf ans. Mais ce n’est pas un acte gratuit, ni une frivolité. Quand tu fumes de l’herbe, elle te révèle à toi-même. Tout ce que tu fais de mal, l’herbe te le révèle, t’en rend conscient, elle te fait voir clairement au fond de toi-même parce que l’herbe fait méditer. C’est une chose naturelle qui pousse comme les arbres. (Bob Marley)


Je fume de l'herbe, mais uniquement à des fins médicinales. (Lil Wayne)


Je fume un joint et la musique sort toute seule. Par contre, l’inspiration, c’est autre chose… Ça va, ça vient. Tu l’as et tu ne l’as plus. Au niveau musical, c’est un flux continu. (Manu Chao)


Je fume un peu d’herbe. Besoin de rien d’autre. J’ai déjà le cerveau assez fêlé comme ça. (Lenny Kravitz, 1995)


Je me souviens qu'après avoir signé pour notre premier album, on m'a offert une ligne de coke. Et puis j’ai rapidement commencé à me défoncer en fumant du crack (Pete Doherty, The Independent, novembre 2014).


Je me suis désintoxiqué bien que j’aime l’idée d’être accroché à  la dope, mais ça ne m’apportait plus rien et je n’avais plus assez d’argent pour en acheter. Sans intoxication, il est évident que jamais je n’aurais pu écrire ce que j’ai écrit. (Daniel Darc, ex, Taxi Girl, 1995)


Je me suis fait arrêter avec 1g de coke, et j'ai eu un avertissement. C'est la loi, la 1ère fois on vous laisse tranquille ; mais si ils m'y reprennent alors j'irai en prison. C'est pour ça que j'ai arrêté, même si des gens pensent le contraire. Je n'ai aucune envie d'être arrêté et de me retrouver enfermé avec un tas de pédés ! (Liam Gallagher, Oasis)


Je ne me défonce pas pour faire la fête. J’adore ça mais je dois me défoncer aussi pour dormir. Je ne dors jamais, je ne fais que des cauchemars, c’est invivable (Danny Brown, Les Inrockuptibles n°952, février 2014).


Je n'ai jamais eu de problème avec la drogue, seulement avec les flics. (Keith Richards, The Rolling Stones)


Je n’ai jamais touché aux drogues. J’ai bien connu quelques moments où l’autodestruction me fascinait et me tentait, mais sans pour autant être attiré par les drogues. Je n’en ai jamais fait une question de principe. Simplement, si je n’ai jamais touché à ces trucs, c’est qu’ils me foutent la trouille. Je suis incapable de m’abandonner à  des substances aussi hasardeuses parce que je ne sais pas quel genre de type je deviendrais sous l’emprise de drogues. (Bruce Springsteen, 1996)


Je n’ai pas honte de dire que, pour moi, les drogues sont une saloperie, que nous avons été dedans, qu’elles nous ont presque tués et que nous avons finalement découvert que, sans drogue et sans alcool, nous pouvions revenir à une vie saine. Mais cela reste ma propre expérience, ne comptez pas sur moi pour aller dire aux gens qu’ils ne doivent ni boire ni se droguer. (Joe Perry, Aerosmith, 1989)


Je n'aime pas la drogue, j'ai jamais aimé ça. Je ne suis pas tellement fait pour les trucs comme ça, je ne suis pas assez confiant. (Graham Coxon, Blur)


Je ne fume plus... de cigarettes ! (Florent Pagny)


Je ne me défonce pas pour m’empoisonner la vie. La vie m’empoisonne déjà assez comme ça à elle seule. D’où viennent toutes ces drogues ? Des plantes qui sortent du putain de sol, d’accord ? Si Dieu n’avait pas voulu qu’on prenne des défonces, il ne les aurait pas créées, pour commencer… (Shane MacGowan, The Pogues, 1989)


Je ne pense pas que ce soit cool d'être défoncé, je trouve ça débile, mais Oasis je leur souhaite bonne chance. (Ian Brown, The Stone Roses, 1998)


Je ne prends presque plus de drogues, parce que je pense que c’est pareil pour tout, ça peut devenir un mode de vie plus difficile que quand on n’en prend pas. La drogue change ta vie quand tu es jeune puis ça devient ennuyeux, quand tu t’orientes vers l’habitude, la dépendance, c’est horrible. (Robert Smith, The Cure, 1993)


Je ne suis pas si drogué que ça. (Pete Doherty)


Je ne suis pas stable et je ne cherche pas à l’être parce que je sais que si je le devenais, je n’aurais plus envie de faire quoi que ce soit. Je pense que je pourrais me détruire mais pas avec la drogue car je suis entièrement contre, par expérience puis par principe (Michel Polnareff, 1970).


Je ne suis pas un militant, un fou de la prise de drogues ! Je suis sensible (Josh Homme, Queens of the Stone Age).


Je ne voudrais jamais inciter de jeunes gens à prendre de l’héroïne et de la cocaïne. Je ne pense pas que ce soit bon. Surtout quand tu es jeune. Je pense qu’une personne plus âgée devrait pouvoir prendre les drogues qu’elles veulent… et se planter bourrées ! Alors… Enfin, c’est un problème, je pense que les jeunes ne devraient pas pousser l’alcool trop fort, et pour le reste, il y a des restrictions, mais elles ne comptent pas vraiment, et ces drogues sont vraiment débilitantes. Je crois qu’on ne devrait pas encourager les jeunes à  prendre quelque drogue que ce soit. (Mick Jagger, The Rolling Stones, 1982)


Je pense qu’on plonge plus facilement dans la drogue quand on est jeune, et cela a visiblement démoli pas mal de gens. Aujourd’hui cela arrive plutôt moins dans la musique et plus dans d’autres sphères. Il y a probablement plus de consommation de cocaïne et autres à  Wall Street que dans tout le music business. (Mark Knopfler, Dire straits, 1989)


Je prenais beaucoup d’acide. Everybody’s Happy Nowadays a été ma façon de dire « fuck ». Je me foutais de tout. Bien sûr, quand on avance sur cette pente, c’est l’aller direct vers l’enfer. (Pete Shelley, Les Buzzcocks)


Je suis allé trop loin dans l’extravagance. J’étais pathétique dans mes costumes de marquis ou de Donald Duck. Mais j’étais aussi accro au ridicule qu’à la coke ! (Elton John, 1995)


Je suis allergique à la drogue. J’ai connu quelques junkies et ça m’a fait chier (Serge Gainsbourg).


Je suis certain que les drogues influençaient la musique de beaucoup de gens. Mais de toute façon, il y avait du talent et de la créativité, avec ou sans drogues. Les drogues étaient une partie de la culture et de la rébellion pour les jeunes de l’époque. Elles ont pu avoir une influence sur beaucoup de bonne musique, celle de Jimi Hendrix par exemple. Mais elles sont aussi responsables de la chute de pas mal d’excellents artistes, comme Janis Joplin (Jeff Myer, The Savage Resurrection, Vapeur Mauve n°2, 2007).


Je suis contre la coke. Si les mecs qui prennent de la coke pensent faire la révolution, ce sont des cons. Dans un pays où la contestation sociale commence à monter, c’est toujours pareil, c’est justement là où les robinets à  drogues s’ouvrent. (Manu Chao, Mano Negra, 1994)


Je suis souvent seul dans la vie, mais sur scène jamais... Ma drogue à moi, c'est le public (Johnny Hallyday).


Je suis un musicien. Mais pour beaucoup de gens c’est : les drogues, les drogues, les drogues, les drogues, les drogues, les drogues, les drogues, les drogues, les drogues. Et encore plus de drogues. Je n’aime pas ça (Pete Doherty).


Je tombe malade uniquement quand j’abandonne les drogues (Keith Richards).


Je voulais fumer la dope, prendre de la dope, sucer de la dope, baiser de la dope, tout ce qui me tombait sous la main, je voulais l’essayer… Hey, mec, c’est quoi ? J’essaie ! Comment tu fais ? Tu le suces ? Non ? Tu l’avales ? Alors j’avale ! (Janis Joplin, 1970)


Jim Morrison c’était un poète du malheur, tout le temps défoncé. Il avalait des drogues comme vous mangez des Smarties, et il arrosait ça de whisky, toute la journée. Il était très nihiliste, mais dès qu’il montait sur scène, il était parfait, idem en studio. Mais les 22 heures restantes, il s’autodétruisait. Et il était impossible de l’en empêcher (Alice Cooper, Télérama, 2017).


Juste une junkie qui cherchait de la drogue sous le soleil. (Commentaire d’un journaliste à propos de la mort de Nico)


Keith Moon est complètement fou. Il est vraiment perdu. Un jour il est entré dans notre studio. Il a regardé le plafond et a compté sur ses doigts. Il était en nœud pap, smoking, petite nana avec lui. Il nous a regardé et nous a dit : « Je suis désolé, je suis très fatigué, je viens de faire 3 jours dans un avion. Avez-vous un peu de dope ? » (Trust, 1977).


L’acide avait sévèrement agi sur moi et je ne pouvais plus me défaire d’une terrible peur qui me tenaillait le ventre. J’étais absolument perdu, cherchant désespérément un endroit où je puisse me reposer de tous ces «  voyages », me sentir enfin à l’aise ; car si l’acide vous fait découvrir le paradis, il vous fourgue l’enfer en prime. Moi j’en voulais pas de l’enfer. Je me suis mis à méditer, à essayer d’admettre que la vie se trouve quelque part entre ces deux extrêmes. (Ray Manzarek, The Doors, 1979)


L'alcool, les acides et la cocaïne n'étaient que des amourettes. Quand j'ai découvert l'héroïne, ça a été le coup de foudre (Nikki Sixx, Mötley Crüe).


L'animation ce n'est pas seulement pour les enfants c'est aussi pour les adultes qui prennent de la drogue (Paul McCartney).


L'avantage d'une boite à rythme, c'est qu'elle ne peut pas faire d'overdose. (Pete Townsend, The Who)


La bagnole, la télé, le tiercé C'est l'opium du peuple de France Lui supprimer, c'est le tuer C'est une drogue à accoutumance. (Renaud, Hexagone)


La base de la culture hippie n’était pas de la drogue, mais la communication et la tolérance. Tout le monde avait un public. Le joueur de sitar comme le type qui faisait une conférence sur la pollution. Les gens s’intéressaient à  tout et respectaient les opinions et les pensées des autres. C’est l’article qui a permis tout cela. (Huey Lewis, 1988)


La chose la plus étrange que j'aie jamais sniffée ? .... Les cendres de mon père. (Keith Richards, The Rolling Stones)


La cigarette pue et ruine tes cordes vocales. Je fumais au lycée mais seulement parce que c'était interdit. J'ai arrêté il y a longtemps (Dexter Holland, The Offspring). 


La cocaïne, c'est la façon qu'a Dieu de nous montrer qu'on a trop d'argent (Sting).


La cocaïne fait dire beaucoup de conneries... (Noel Gallagher, Oasis, Rock&Folk, 2001)


La cocaïne, j’en ai pris en tombant du lit. Maintenant, c’est fini. J’en prends pour travailler, relancer la machine. Je n’en suis pas fier. C’est ainsi, c’est tout. (Johnny Hallyday)


La cocaïne, on pensait que c’était drôle, juste un cliché, qu’il n’y avait que des crétins comme John Belushi pour se foutre en l’air avec ça. (Brian Warner, Marilyn Manson)


La colle, j'en sniffe six fois par jour. Aucune drogue ne vaut la colle. Je me fous de la cocaïne, mon truc à moi c'est la colle. J'ai commencé lorsque j'avais 14 ans et depuis, chaque jour, je sniffe ma colle. (Liam Gallagher, Oasis, 1994)


La dernière fois que je l’ai croisé, il dégringolait les escaliers d’un club de San Diego au bras d’une nymphette au regard vide. Il avait le masque horrible de la déjante ultime, c’était effrayant parce que ça allait bien au-delà de l’élégance ravagée dont se régalent les vampires de la presse (moi compris) (Nick Kent, à propos d’Iggy Pop, 1975).


La drogue de Prince l'a tué. Que pensiez-vous ? Qu'il allait mourir de froid ? (Gene Simmons, Kiss, mai 2016).


La drogue n'est pas mauvaise. La drogue est de facture chimique. Le problème survient quand les gens qui prennent de la drogue s'en servent comme d'une autorisation à se conduire comme des trous du cul. (Frank Zappa)


La drogue n’est que le passage vers un ailleurs. Il s’agit de ne pas se laisser coincer dans le passage. C’est comme le tunnel sous la Manche, mieux vaut ne pas se perdre. Je prends de la drogue pour provoquer une quelconque illumination, des visions dont je me souviendrai plus tard. Mais je n’aime pas perdre le nord. L’objectif est d’être soi même, comme sous influence, mais sans user de drogue. (Mick Jones, BAD, ex, Clash, 1990)


La littérature est comme la cocaïne et la musique comme l'héroïne : la première aiguise l'esprit, la seconde rend stupide. (Iggy Pop, 2009)


La minute d'avant j'étais dans un jacuzzi à attendre Kate pour une soirée romantique. Mon premier souvenir après ça c'est moi en sevrage brutal dans une cellule remplie de vomi (Pete Doherty).


La première fois que nous avons pris du LSD, c’était un accident. Nous étions les victimes innocentes d’un dentiste sournois avec qui nous étions sortis manger quelquefois (George Harrison, à propos de John Riley, le dentiste qui a versé secrètement la drogue dans leurs cafés en 1965).


La seule connerie que je n’aie jamais faite avec les drogues c’est de passer une frontière avec.
(Hunter S. Thompson, reporter, écrivain, 1987)


La seule drogue légale, c'est la musique ! (Anonyme)


La seule drogue qui aurait pu m'intéresser est le LSD mais je n'en ai jamais pris car je ne souhaitais pas perdre le contrôle de moi-même. Je trouvais mes rêves suffisamment effrayants. (Peter Gabriel, le 13 février 2007, pour 01men.com)


La vie dans un groupe underground était définitivement un combat, et pratiquement une lutte. Les possibilités étaient immenses, la débauche sans fin. Si vous y surviviez (Mick Farren, ex-The DeviantsVapeur Mauve n°7, 2009).


L'ecsta a ouvert les gens à plein de styles de musique différents. Le mec qui n'écoutait que de l'indé se mettait à la dance, et celui qui n'aimait que la dance se mettait à aller aux soirées indé. C'est l'ecsta qui a provoqué ça (Shaun Ryder, The Happy Mondays).


L’Ecstasy est une prison. Du fascisme tribal élitiste. Du bonheur pas heureux. Apprends à  obéir. On est tous morts, mais trop défoncés pour s’en rendre compte. (Richey Edwards, Manic Street Preachers, 1993)


L’ecstasy est vraiment une drogue créative. J’ai écrit beaucoup de chansons sous ecstasy. Pas pour raconter mes visions de la nuit d’avant, mais parce que ma perception semblait s’être élargie. Par contre la coke, c’est une lobotomie temporaire, tu planes, puis tu as besoin de descendre une bouteille de whisky par-dessus. Pas recommandable ! (Brett Anderson, Suede, 1994)


Le cri primal du blues, c'est quelque chose qui convient bien aux anciens cocaïnomanes, alors que l’héroïne, apparemment ça mène plutôt à la country (Philippe Manœuvre).


Le LSD m'a rendu conscient de plusieurs niveaux d'écoute de la musique. Ça m'a rendu capable d'apprécier des degrés de plus en plus précis dans les rythmes. Quand nous jouons sous LSD, ce n'est qu'avec une petite dose, mais suffisante cependant pour monter un petit peu le niveau de la musique et de l'ambiance. Tout ce à quoi vous ne croyiez pas prend une signification et devient soudain une importante révélation. La magie, les croyances religieuses, extra-terrestres, etc... (Jerry Garcia, Grateful Dead, Best, 1971).


Le manager voulait qu’on aille en Amérique mais je ne crois pas que Tony en avait envie. La maison de disques m’a donné 1000 dollars. J’ai acheté une Gretsch et une malle bon marché et dépensé le reste en came. Je suis arrivé à Ne York couvert de boutons. (Billy Idol, Generation X)


Le truc le plus dingue dont je me souvienne sous acide, c'est un vol d'oiseaux, des nuées d'oiseaux de paradis que je regardais passer et repasser devant mes yeux, sauf qu'ils n'étaient pas là. En fait, c'était des feuilles d'un arbre agitées par le vent. On était sur un chemin de campagne, tout était très vert et je pouvais presque voir chaque battement d'ailes individuel. C'était décomposé au point que j'aurais pu dire : « Hé moi aussi je peux voler ! C'est pour ça que ça ne m'étonne pas que des gars sautent par la fenêtre de temps à autre : parce que tu as l'impression d'avoir compris d'un coup comment on fait (Keith Richards, Life, 2010).


Le tabac est mon légume préféré. (Frank Zappa)


Le truc avec la drogue et le sexe c'est que tu perds toutes tes inhibitions. J'ai fait l'amour dans des trains, avions, bars à vin... et quelques parkings ! (Robbie Williams). 


Le truc avec nous c'est qu'on n'est pas des menteurs, si quelqu'un nous demande si on prend de la drogue, on va dire oui, m'a mère ne m'a pas élevé pour que je mente. (Noel Gallagher, Oasis)


Les autres groupes s'amusent avec des putes et de la cocaïne, et nous qu'est ce qu'on fait ? Des jeux de société. (Noel Gallagher, Oasis, 2006)


Les drogues n’étaient pas notre truc au début, à aucun d’entre nous, les Ramones et Richard Hell inclus. D’abord, on était trop fauché ! Et puis, on ne voulait pas de ça, on avait ce gimmick volontariste : Hey, on est des punks, pas des effondrés, une bière ou deux… ou dix, d’accord, mais pas de ça chez nous. (Deborah Harry, ex, Blondie, 1989)


Les drogues sont une perte de temps. Elles détruisent ton amour-propre et tout ce qui va avec l’estime de soi. Elles ne sont pas bonnes du tout (Kurt Cobain).


Les drogues ont coloré nos perceptions et nous nous sommes rendu compte qu’elles coloraient tout. (Paul McCartney)


Les drogues sont un défi à l'esprit.  (Jim Morrison, Extrait du recueil de poèmes Wilderness)


Les excès de la période Beatlemania auraient pu nous réduire tous les quatre en cendres. Grâce à je ne sais trop quoi qui tient à  notre enfance, à notre éducation en milieu ouvrier, peut-être à  notre humour un peu particulier de rockers liverpudliens, on y a survécu. Plutôt pas mal, finalement quand on songe à  tellement d’autres figures des années soixante (Paul McCartney, 1993).


Les films d’animation ne sont pas que pour les enfants, ils sont aussi pour les adultes qui prennent de la drogue (Paul McCartney).


Les gens me racontent les années 60 parce que nous on était trop raides pour s'en souvenir. (Keith Richards, The Rolling Stones)


Les gens n'ont aucune idée de ce qu'on ressent quand on est en manque. C'est épouvantable, vraiment horrible. (...) Ton corps se retourne comme un sac et se fait la guerre à lui-même trois jours durant. Après ça se tasse, mais ce sont les trois jours les plus longs de ta vie, et tu n'arrêtes pas de te demander pourquoi tu t'infliges ça alors que tu pourrais être en train de vivre ta putain de vie normale de rock star bourrée de fric. Mais non, tu as choisi de vomir tes tripes et de grimper aux murs. Pourquoi tu t'infliges ça ? Je me le demandais bien. Et je me le demande toujours. Ça grouille de bêtes sous ta peau, tes intestins se révoltent, tu ne peux pas empêcher tes membres de s'agiter dans tous les sens, tu te dégueules et te chies dessus simultanément, et il y a de la merde qui s'écoule de ton nez et de tes yeux. Si tu es raisonnable, la première fois que tu vis ça, t'es bien obligé de reconnaître: « Je suis accro. » Mais ça ne t'empêchera quand même pas de replonger, aussi raisonnable sois-tu (Keith Richards, Life, 2010).


Les questions que personne ne se pose sont : « Pourquoi les gens prennent autant de drogues ? Pourquoi avons-nous besoin de ces accessoires pour vivre ? Y a-t-il quelque chose de mauvais dans notre société qui nous mette autant sous pression que nous ne pouvons pas vivre sans nous en protéger ? » (John Lennon).


L'herbe, c'est la guérison d'une nation, alors que l'alcool c’est sa destruction (Bob Marley).


L’herbe, la marijuana n’ont jamais fait de mal à personne. Par exemple, j’attends encore le jour où je verrais un fumeur de pétard braquer une station service ! Le gouvernement nous a menti à propos de l’herbe, menti à propos de la guerre du Viêtnam, on en a déduit un peu vite qu’ils mentaient à propos de tout et du reste. Sauf que personne ne nous avait dit ce que la cocaïne faisait vraiment, ni ce que l’héroïne faisait vraiment ! Aujourd’hui, je revois ça comme une incroyable perte de temps et d’énergie. (Wayne Kramer, ex, MC5, 1994)


L’héroïne vous transformera en menteur et en voleur. (Lemmy Kilmister, Motörhead, 1999)


L’intéressant avec l’herbe, c’est que quand on fume ou quand on en cherche, on rencontre des gens issus de classes, de milieux et de cultures différents. De cette façon, ces gens échangent des idées, ce qui ouvre sur plein d’autres choses. (Don Letts, ex, BAD, Screaming Target, 1994)


Lorsque John s’est mis avec Yoko Ono, il s’est nettement amélioré. Peut être que son désir de dépendance était satisfait, peut être que c’était la drogue. Ça a toujours été la théorie de John Dunbar, mon mari de l’époque : lorsque John prenait des barbituriques et de l’alcool, c’était le cauchemar. Quand il s’est mis au LSD, ça a été mieux - l’éveil spirituel. Quand il est passé à  l’héroïne, il s’est enfin contrôlé. Il est devenu complètement passif et n’a plus causé d’ennuis à  quiconque - sauf à lui-même. Ce qui me conforte dans l’idée qu’il y a une part de contrôle chimique dans chaque drogue différente : certaines vous font tel effet, d’autres tel autre - et on les prend pour ça. Lorsque j’ai rencontré John il était très méchant, et le mélange de l’alcool et du Seconal fait cet effet là. Avec Yoko, ça allait mieux. (Marianne Faithfull, 1989)


Ma première expérience de la drogue, je l'ai faite avec Terry Ork. J'ai adoré. Ouais, j'attendais avec impatience les rendez-vous qu'on s'était donnés pour se défoncer. Je n'avais aucune réticence vis-à-vis de la came. Pour ce qui me concernait, c'était tout bonnement l'état idéal. Non seulement ça te procurait le plus grand bien-être physique imaginable - après tout, c'est un antidouleur - mais cela me semblait combler tous mes fantasmes, de sorte que tu parvenais à rêver tout en dirigeant tes rêves comme un réalisateur de cinéma. (Richard Hell)


Maintenant je suis fier de dire fuck à la came (Noel Gallagher, 2000).


Même la vie sans drogue doit être meilleure que ces conneries (Pete Doherty).


Moi, je pourrais être ministre de la défonce. Chacun son truc, il vendra des missiles et moi des pétards. Pour nous distinguer, ce n'est pas difficile. Lui, c'est Léotard. Moi, c'est Monsieur Léotard (Philippe Léotard, Le Monde, 24 avril 1993).


Mon fils Jack sort de désintox, il a 17 ans et il était accro à l'Oxycontin, et je suis quand même un peu dégoûté qu'il ne m'en ait jamais filé un petit peu (Ozzy Osbourne, Black Sabbath).


Mon père s'est presque tué à cause des drogues, et il a appris la valeur de l'honnêteté à plusieurs niveaux différents – avec lui-même, et avec les autres. Je prends cela comme une leçon. (Steven Tyler, Aerosmith)


Mon problème avec la drogue, c'est d'en manquer. (Al Jourgensen, Ministry)


N’hésitez pas à me jeter du shit sur scène ! (Brian Molko, Placebo, au public)


Ne prenez jamais de l’extasie, de la bière, du Bacardi, de la weed, de l'aspirine, de la caféine, du Tagamet, du Valium et du Xanax le même jour. C'est très difficile de dormir après (Eminem).


Ne prenez pas de drogues. Elles sont très amusantes mais très mauvaises. Elles vous font vous sentir bien puis triste. Donc n'en prenez pas (Robbie Williams). 


Nos cartes de visites sont fabriquées avec du chanvre et nous les distribuons à  des tas de gens dans le milieu. Au dos, c’est écrit : « Papier à base de chanvre ». Ainsi, en touchant le chanvre, les gens l’adoptent dans leur vie quotidienne. (Leo Gibbens, The Levellers, 1994)


Notre programme, c’est rock and roll, défonce et niquer dans la rue. (MC5, White Panther Party, 1968)


Nous avons traversé une phase de coke qui confinait à  l’absurde. Tout était exagéré. La paranoïa était totale. C’est la plus idiote et la plus pathétique des drogues. Je ne sais pas pourquoi tout le monde tient absolument à en prendre. J’imagine que vous en prenez comme s’il s’agissait d’une récompense ; on a réussi, on peut prendre de la coke ! C’est une façon pour Dieu de vous rappelez que vous gagnez trop d’argent. (Sting, 1993)


Nous, on n'a jamais annulé un concert pour une affaire de dope ! (Keith Richards,  The Rolling Stones, à l'attention d'Amy Winehouse)


Nous sommes des survivants. Tous les quatre, nous avons été entraînés dans l'autodestruction dès nos deux premières années. J'ai vu des choses qui font paraître dérisoire tout ce qu'on a pu raconter sur Keith Moon ! (The Damned)


On avait fini les cinq premières chansons de l'album quand on s'est réveillé un matin pour voir qu'il y avait un champ rempli de champignons juste à côté du studio. Alors, on les a tous mangé. On a dû tout faire remixer parce qu'on était tous ensemble dans un jacuzzi en train de manger des larves (Matthew Bellamy, Muse).


On était sous acide la plupart du temps et on allait dans les parcs pour parler aux arbres. Ils gagnaient souvent la conversation. (Lemmy Kilmister , Motörhead , à propos de sa vie à Londres dans les années 60's)


On était tous à fond dans ce concept des hommes en noir, ce qui n’était probablement pas très bon pour nous. Ça nous déprimait atrocement. On lisait les prédictions de Nostradamus sur le Shah d’Iran et on se demandait chaque jour si la fin du monde était proche. Quand on prend des drogues hallucinogènes et qu’on plane le plus gros du temps, ça finit par modifier la façon dont l’esprit fonctionne. La drogue nous donnait des visions paranoïaques. (Hugh Cornwell, The Stranglers)


On ne s’y mettait pas avant d’avoir fumé dix joints. Il y avait de la coke plein la console et les enceintes. On avait l’habitude d’en prendre en tournée, mais je ne recommande pas d’enregistrer un disque dans ces conditions. (Steve Diggle, Les Buzzcocks)


On se pointait à l’hôpital avec des tonnes de drogue. On était tous complètement à la masse. Iggy Pop n’allait pas bien, c’est tout ce qu’on savait. Alors on lui apportait des drogues pour qu’il se requinque, on se disait que ça avait dû lui manquer (David Bowie, 2000).


Opium ! Poison de rêve Fumée qui monte au ciel C'est toi qui nous élève Aux paradis artificiels. (Jacques Dutronc, Opium)


Oui j'ai eu une addiction à la drogue. C'est la différence entre la classe moyenne et la classe qui travaille. La classe moyenne expérimente les drogues alors que ceux qui travaillent tombent dedans (Noel Gallagher, Oasis).


Parler de drogue, c'est toujours mieux que de parler de Sarkozy (Daniel Darc, Libération, 2008).


Pendant des années, on pensait toujours que j’étais perpétuellement sous acide. Mais je n’y ai jamais touché de ma vie. Ce que les autres musiciens percevaient comme un état de défonce permanente n’était en réalité que celui d’un mec tout à fait normal, ordinaire. Il y a quinze ans déjà, je n’étais pas fichu d’être branché. Alors aujourd’hui… (Chris Rea, 1989)


Prendre de la drogue est une perte de temps. Les drogues détruisent la mémoire, le respect qu’on peut avoir de soi… Je ne vais pas en dire plus. C’est personnel, mais mon expérience de la drogue est globalement négative… (Kurt Cobain, Nirvana, 1992)


Prendre de la drogue occasionnellement, en se surveillant, je ne vois pas de problème avec ça. Mais, si vous le faites tout le temps, vous ne devenez rien de bon. C’est basé sur mon expérience, sachez-le, et pas sur une simple opinion puritaine. Drogué, vous pouvez continuer à être créatif, mais alors vous prenez de plus en plus de temps, un temps interminable, pour le devenir. (Mick Jagger, The Rolling Stones)


Prendre des drogues n'est pas pire que de prendre le thé, d'ailleurs certains ministres sont des junkies notoires. (Noel Gallagher, Oasis)


Quand j'ai écrit Tellement je t'aime, j'avais fumé un gros pétard juste avant. (Faudel)


Quand je fume de l’herbe, je me sens trop déconnecté de la réalité et je deviens très paresseux. L’alcool me procure des sensations autrement plus agréables et autrement plus fortes. (Liam Gallagher, Oasis, 1995)


Quand je plante une aiguille dans ma veine, Après je vous le dit les choses ne sont plus vraiment les mêmes. (The Velvet Underground)


Quand je rencontre de jeunes musiciens et qu’ils se détruisent parce qu’ils ont lu trop de biographies rock’n’roll, ça me rend triste. Il y a d’autres façons de faire – vous n’êtes pas obligé d’être accro à l’héroïne pour écrire une bonne chanson (Dave Grohl, Foo Fighters).


Quand je survole les alpes, à bord de mon jet privé, je pense à toutes ces montagnes de coke que j’ai sniffée pendant des années. (Elton John)


Quand les gens prennent des drogues, il y a automatiquement danger, et danger de mort ; c’est comme rouler très vite en voiture… Je n’ai jamais changé de position sur cette question… Personnellement, je ne prends pas de drogue, je l’ai fait quand j’étais plus jeune, comme les autres, à titre d’expérience, mais… Je crois que si j’avais dix-sept ans aujourd’hui, je ne serais pas attirée par des drogues… Il me semble que ça n’est plus très à la mode ! (Chrissie Hynde, The Pretenders, 1984)


Quand me suis-je shooté pour la dernière fois ? Je serais un menteur si je ne disais pas que, jusqu’à mon dernier jour, je serai mal à l’aise de répondre à une telle question (Pete Doherty).


Quand tu fumes de l’herbe, cela te révèle tel que tu es. Toute la perversité que tu caches t’est révélée. C’est pourquoi les politiciens ne fument jamais, ils cachent beaucoup trop leur vraie nature, la révéler serait les tuer, ils ne supporteraient pas. (Bob Marley, 1978)


Qu’est-ce que tu penses de Bruce Springsteen ? Il me fait l’effet d’un mec qui se défonce à rien. C’est les pires (Coluche).


Que tu le veuilles ou non, un camé est quelqu'un qui attend sans arrêt son livreur (Keith Richards, Life, 2010).


Quitter Stills était très compliqué parce qu’il ne voulait pas. Et puis ce n’était pas un type très calme non plus. Il y avait beaucoup de violence qui était générée par tous ces produits qui changent votre comportement, votre manière de vivre et votre façon de réagir aux choses (Véronique Sanson, Un jour un destin, France 2, 2016).


Sex, drugs and rock n'roll... enlevez la drogue et vous aurez plus de temps pour les deux autres. (Steven Tyler, Aerosmith)


Sex, drugs and Rock’n roll ? Oui, mais plus les trois en même temps ! Par contre, quand tu as la vingtaine dans un groupe de rock, tu essaies tout ! C’est comme être dans un magasin de bonbons quand t’es gamin. Tu sais plus où donner de la tête ! (Brian Molko, Placebo)


Si de nos jours, chanter l’apologie de la drogue suffit à passer pour révolté, alors ça ne m’intéresse pas. (Jarvis Cocker, Pulp, 1994)


Si jamais tu as l'intention de débouler sur une scène déguisé en gorille pour surprendre quelqu'un, vérifie auparavant que la personne concernée n'est pas tellement imbibée d'acide qu'elle sera incapable de faire la différence entre un type déguisé et un vrai gorille.
- Elton John - Le type sous acide, c'était Iggy Pop.


Si je n'arrête pas la drogue, surtout l'héroïne et le crack, il est fort probable que je meure, perde tout mon argent, devienne fou, ou passe ma vie dans une clinique spécialisée. (Pete Doherty, Babyshambles)


Si je veux de la drogue je n'ai pas besoin de faire un concert pour en obtenir. Je fais un concert quand je me sens mal parce que j'ai besoin de jouer. Il n'y a pas de drogue au monde qui puisse tenir la comparaison avec le fait de jouer de la musique (Pete Doherty).


Si malheureusement ma fille se droguait je saurais quoi faire. Je m'assurerais qu'elle ait accès aux meilleures drogues possibles et je les prendrais avec elle (Robbie Williams). 


Si nous avons eu du mal à venir à bout de Draw the Line, c'est à cause des montagnes de coke que nous devions gravir avec nos sacs à dos plein d'héro et de Tuinal. Et quand les produits l'emportent sur la musique, tu te dis que la fameuse ligne a dû être franchie (Steven Tyler, Aerosmith, Est-ce que ce bruit dans ma tête te dérange ?, 2011).


Si vous prenez des drogues, soyez honnêtes, portez un kaftan ou alors une cloche autour du cou… J’ai fumé tellement de pétards que je suis surpris de ne pas être transformé en buisson. (Joe Strummer, The Clash, 1984)


Sous acide, on allait dans les parcs pour parler aux arbres. Ils gagnaient souvent la conversation. (Lemmy Kilmister, Motörhead)


Tes profs te disent : fume pas de l'herbe ou tu seras junkie. Tu fumes et tu ne le deviens pas. Alors tu essayes l'héroïne. Il y a une monstrueuse différence entre l'herbe et l'héroïne ; tu peux pas dire que les deux sont des drogues. (Flea, Red Hot Chili Peppers)


Tout le monde vous tend des béquilles. Partout, à chaque instant, il se trouvait quelqu’un pour me proposer une ligne de cocaïne. Mais aussi, c’est très facile de voir ces pièges et de refuser cette cocaïne qu’on vous propose. Je ne crois pas être coincé, ou rabat-joie. C’est juste que… je n’en veux plus. (Sting, 1985)


Tout va bien ! Je suis défoncé ! (Phil Taylor, premier batteur de Motörhead, criant nu la nuit dans la rue)


Toute la drogue du monde ne nous sauvera pas de nous-même (Marilyn Manson).


Tricky m'a proposé qu'on fasse des trucs ensemble, et je lui ai dis : "Pas de souci, si tu as la came, j'ai la lame de rasoir et le miroir." Mais il parlait de musique malheureusement. (Noel Gallagher, Oasis, 1995) 


Un jour, j'ai pris de l'acide lors d'une virée en bateau entre l'Angleterre et la Belgique. J'ai fini par tourner en rond persuadé que des dinosaures miniatures mordaient les chevilles des passagers. C'était vraiment dingue. Je ne suis descendu de mon trip qu'au bout de 12 heures (Dave Grohl, Foo Fighters, 2007).


Un jour, notre Manager frappa violemment à la porte et se mit à hurler : Keith ! Ron ! la POLICE est là ! C'était la panique, on a donc balancé tout ce qui trainait dans les chiottes. Lorsque la porte s'ouvrit, c'était Steward Copeland et Sting qui passaient nous rendre une petite visite. (Keith Richards, The Rolling Stones)


Vous savez quoi ? Axl Rose perd ses cheveux. La bonne blague. Voilà ce qui arrive lorsqu’on mélange l’héroïne et le Prozac. (Courtney Love, Hole, 1993)


Voyez-vous, je crois que la drogue nous a donné de bonnes choses, vraiment, et si vous ne le pensez pas, faites-moi plaisir : rentrez chez vous ce soir, regroupez tous vos albums, vos cassettes, vos cds, et brûlez le tout. Parce que ces musiciens qui ont accouché de toute cette grandiose musique qui a valorisé vos vies tout au long de votre existence.... étaient complètement défoncés. (James Maynard Keenan, A Perfect Circle)

 

 

 

 

 

 

 

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