Ce
qui m’ennuie le plus, dans le fait d’être un sex-symbol, ce sont les
journalistes qui me demandent ce que j’en pense ! J’ai toujours été
persuadé que les principaux ingrédients du rock étaient le sexe, la présence
sur scène, et une musique plein d’énergie... Le sexe et l’énergie, c’est de
cela qu’il s’agit. (1979)
Chaud,
fou et excitant, le punk est une histoire d’explosion, la première véritable
expression du détachement.
Les
drogues n’étaient pas notre truc au début, à aucun d’entre nous, les Ramones et
Richard Hell inclus. D’abord, on était trop fauché ! Et puis, on ne
voulait pas de ça, on avait ce gimmick volontariste : Hey, on est des
punks, pas des effondrés, une bière ou deux… ou dix, d’accord, mais pas de ça
chez nous. (1989)
Les femmes vont être les nouveaux Elvis. C’est la seule issue pour le rock’n’roll. Les seules personnes qui peuvent exprimer quelque chose de nouveau dans le rock sont les filles et les gays.
(1981)
Les
Sex Pistols étaient particulièrement brillants. Ils me faisaient penser à
Beethoven. Ils avaient ce côté grandiose.
Vieillir
n’est pas une chose facile, mais heureusement pour moi, j’ai une bonne
philosophie. Je me suis toujours dit : « N’arrive pas à cet âge où tu
commences à penser j’aurais dû faire ceci ou cela ». J’ai toujours eu ce
point de vue et je le respecterai rigoureusement. Vieillir est dangereux et
effrayant parce que votre corps se détériore et vous perdez de la puissance,
alors cela dépend si vous avez de la chance. J’ai toujours été en bonne santé,
alors je suis plutôt chanceuse. (1993)
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