MENU

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


  
Accueil
  
Citations par auteurs
  
Citations par thèmes
  
Citations sur la musique
  
Chanson française
  
Nouveautés

  

 

 

 

 

 

 

CITATIONS

 

Aujourd'hui, il se vend peut-être énormément de disques, mais pas beaucoup de musique. (Bob Mould, Hüsker Dü)


Aujourd’hui, les jeunes qui font de la musique, ils choisissent de faire une carrière donc ils sont lisses, ils sont propres, ça déborde pas. Aujourd’hui, on demande aux « artistes » de se tenir à carreau parce que si ça marche, c’est beaucoup d’argent. Faut fermer sa bouche, prendre son oseille et voilà. Et surtout, il y a de moins en moins d’artistes et de plus en plus de produits. La problématique, elle est là. (Bernie Bonvoisin, Trust, Marianne, 2014)


Aujourd'hui, si vous décidez de vouloir être dans un groupe, c'est plutôt devenu quelque chose du genre : « Oh, génial, on va te trouver un styliste, un avocat et un manager, et voyons ce qu'on peut faire. C'est une pompe à fric opportune pour toi, gamin » (Flea, Red Hot Chili Peppers, SiriusXM, mai 2016).


Avant j’écrivais sur ma vie, sur les gens que je côtoyais, mais maintenant je ne sais plus. J’aimerais parler de politique, mais est-ce vraiment mon rôle ? Je ne suis peut être pas assez intelligente. J’ai l’impression d’être plus coincée par le showbiz que mes amies d’enfance par leurs maris et leurs mômes. (Michelle Shocked, 1988)


Avant, les gens fermaient les yeux et écoutaient de la musique. Aujourd’hui, il y a beaucoup d’images qui vont avec la musique. Beaucoup de musiques sont de la merde. C’est commercial, et les images essaient toutes de vendre le disque (Neil Young).


Avant, les types qui dirigeaient les compagnies discographiques étaient peut être des escrocs, mais au moins ils aimaient la musique;  maintenant j’ai honte de le dire, ils ne l’écoutent plus. (Doctor John, 1984)


Avec 10 millions en poche pour tourner une vidéo, je prendrais un million pour faire la vidéo et je mettrais dans ma poche les 9 millions restants… Mais ça aurait l’air d’un clip qui a coûté 10 millions de dollars parce que je ferais en sorte qu’il soit classe. Je suis un vrai businessman. (Fieldy, Korn)


C’est LE jour [Live Aid] où j’ai été fier d’appartenir au ‘music business’, ce qui est rarement le cas la plupart du temps ! C’était fabuleux, les artistes présents avaient oublié toute idée de compétition.
(John Deacon, Queen)


C’est normal, les groupes qui vendent des milliers de disques ont toujours cherché à  hurler plus fort que ceux qui en vendent des millions. (Paul Stanley, Kiss, 1987)


Ce qui se passe, c’est que les petits labels veulent devenir plus gros. Mais plus gros ne veut pas dire meilleur (Josh Homme, Queens of the Stone Age).


Cette vie n'est pas fun tous les jours, il ne faut pas se leurrer. Parfois tu te retrouves dans des villes formidables comme tu as toujours rêvé de voir -comme Paris- et tu as tellement de promos et de trucs à faire que tu ne vois rien. Et parfois c'est l'inverse, tu te retrouves dans un bled paumé ou tu n'as rien à faire ni a voir et tu t'ennuies en attendant de faire ton concert ou de changer de ville.
(Dave, Sum 41)


Dans l’art, il faut être novateur et en avance si possible. Dans le show-bizz, il faut être juste de son temps, ce qui est une difficulté supplémentaire (Guesh Patti, Longueur d’Ondes, 1987).


Dans les années 70 il se passait, ce qui s’est passé dans les années 80 avec le rock français : il y avait un tas de groupes aussi bons que Téléphone dans chaque ville, mais le show-biz a misé sur Téléphone, et voilà ! À chaque époque, c’est pareil : on prend un groupe qui représente bien le moment, on le matraque en radio et hop, on passe à la caisse !  (André Bernard Blanc, allias BB Brutus, ex-Ergo Sum, Vapeur Mauve n°3, 2008).


Des gens de la profession nous ont conseillé de réenregistrer l’album parce qu’il n’était pas assez formaté pour la diffusion médiatique… Nous avons pris cela comme un compliment ! (Lab°, à propos de l’album Müs, Longueur d’Ondes, 2005).


I really sing songs that move me. I’m not in show business, I’m in the communications business. That’s what it’s about for me. (Ritchie Havens)


Il faudrait arrêter de confondre ce qui vend et ce qui est bien. (Bob Dylan, 2006)


Il faut développer de plus en plus l’autoproduction. D’abord, ça motivera les gens pour monter des studios, et puis ça fera réfléchir les grosses maisons de disques ! (Gamine, Longueur d’Ondes, 1984).


Il faut montrer aux maisons de disques qu’un artiste peut aussi bien exister sans disque, sans matraquage radio ou magazines à la mode. Il suffit simplement de proposer quelque chose d'humain aux gens, qui sorte du cadre du show business (William Sheller).


Il y a quatre grosses majors du disque à l’heure actuelle. Bientôt trois. Nous allons souffrir de cette concentration, car les philanthropes n’existent pas chez ces Big Ones… C’est la rentabilité avant tout, et donc la facilité immédiate en matière de musique. (Jonathan Davis, Korn)


Il y a une phrase que je déteste dans le milieu que je fréquente c’est : « Les gens ne vont pas comprendre ». C’est atroce, je ne veux pas niveler vers le bas. Les gens comprennent tout. Comme vous, comme moi. On comprend tout, mais pas de la même façon (Philippe Katerine, Longueur d’Ondes, 2007).


Ils voulaient m'emmener jouer Peter Pan à Broadway, je leur ai dit non moi c'est Charles Manson ! (Iggy Pop, à propos des maisons de disques, Gimme Danger de Jim Jarmusch, 2016).


J’ai été dépossédé de mon argent comme Dieu sait combien d’autres, des musiciens célèbres et des inconnus. Le business de la musique est sale. La musique n’est pas un business. La vente de la musique, c’est là où les voleurs prospèrent. L’artiste est occupé à créer et loue les services des gens du business pour le représenter auprès du public qui achète. C’est ici que le fossé se creuse entre l’art et le commerce et devient déloyal. J’étais trop occupé à écrire, jouer et survivre, comme l’étaient et le sont tellement d’autres. Si j’avais été davantage un homme d’affaires, ça ne me serait peut-être pas arrivé. Mais Joni Mitchell, John Sebastian, Jerry Jeff Walker et Ric Danko ont vécu la même chose, pour n’en nommer que quelques-uns que je connais personnellement. Les gestionnaires de maisons de disques ne sont pas tous des voleurs. Mais il y en a trop qui agissent ainsi (Vince Martin, ex-The Tarriers, 2009).


J’ai eu ma première désillusion dès que j’ai signé sur une major… Je me suis rendu compte que les gens du business musical, sont complètement différents de ce qu’ils sont dans la réalité. C’est vraiment difficile de composer avec ça (Ben Harper, 2013).


J’avais eu deux albums classés directement numéro 1 aux USA, joué dans les plus grands stades, battu plusieurs records... Il était temps pour moi d’arrêter et de faire le point. Sinon, j’allais devenir un produit. J’allais produire à la chaîne et devenir ennuyeux à mourir (Elton John, 1976).


J’en veux plus aux proxénètes qu’aux prostitués. (Nicola Sirkis, à propos de la Star Academy)


Je faisais de la musique depuis six mois ! J’avais l’impression de commettre une escroquerie. Quand le mec de la maison de disque m’a fait un gros chèque, j’étais paniqué. À qui allais-je devoir reverser l’argent ? (Tonton David, à propos de son tube « Peuples du Monde » (1990), La Story du rap français : 30 ans de succès, CStar, juin 2017).


Je pense que la crise du disque vient aussi de l’éloignement émotionnel que le CD a apporté. C’est un produit, finalement, merdique. C’est un peu le 78 tours du numérique, la VHS du son. Ça a toujours été moins bon que le vinyle (Jean-Michel Jarre, 2004).


Je prends du recul. J’examine le mécanisme de l’industrie musicale. Cela reste un gros tas de merde à mes yeux. MTV, la presse, les labels, tous sont liés. Tout le monde se connaît, se congratule, puis se crache dessus par derrière. (Krist Novoselic, Nirvana)


Je suis issu d'un milieu ouvrier, j'ai vécu jusqu'à vingt ans dans un HLM, chez mes parents. Mon premier disque, je l'ai fait il y a onze ans. Après, j'ai ramé pendant plus de trois ans à la recherche du succès pour sortir de la dèche. Une seule fois, j'ai fléchi, sensible aux directeurs artistiques qui te répètent sans cesse qu'avant de pouvoir imposer ta véritable image, il faut d'abord faire du tube commercial. Mais heureusement je me suis rapidement ressaisi ! (Michel Jonasz, 1977).


Je suis un peu marginal dans le monde du show-business, par le fait, par exemple, de ne pas chanter dans un univers où on ne connaît que la chanson de trois minutes ! S’il n’y a pas de paroles, c’est qu’il y a une erreur de mixage (Jean-Michel Jarre, Keyboards, 1993).


Je suis une prostituée de luxe, mais le jour, pas la nuit (Serge Gainsbourg).


Je trouve inquiétant que les plus grosses firmes de disques soient les mêmes qui vendent les lecteurs de cassettes et les tourne-disques. Aujourd’hui, la tendance est à se passer de musiciens. Pourquoi prendre un batteur puisqu’il y a des boîtes à  rythmes ? Si ça continue les disques se feront avec des machines à  écrire. (Keith Richards, The Rolling Stones, 1990)


La musique devient un luxe. Les disques se vendent dans des magasins de fringues, parce que ça fait chic (Christophe Miossec).


La musique est souvent victime d’un complot de vieux hommes, gros dégoûtant, qui enregistrent de mauvais disques, qui prennent tous la direction des décharges publiques. L’argent dépensé au nom de la pop music m’inquiète, pour des chansons, des vidéos et des groupes nuls, c’est criminel. Ça ne devrait pas exister. Je veux faire de la musique pour ceux qui  en ont besoin, pas pour les auditeurs oisifs. Nous ne sommes pas une vulgaire distraction, mais un centre d’attraction. (Brett Anderson, Suede, 1993)


Le show-biz il faut s’en servir ! Tu ne peux pas y échapper si tu veux être connu. Mais j'ai jamais bossé pour être célèbre. J'm’en fous. Le jour où ça ne marchera plus, je laisserai tomber. J'irai pas me forcer à chercher des tubes ! (Renaud, 1977).


Les engagements sont les pires choses du business de la musique. Ils sont très ennuyeux (Neil Young).


Les gamins d’aujourd’hui me semblent plus conscients de l’aspect business du métier. Ça fait une paye que je n’ai pas vu d’hôtel démoli comme dans le temps. (Joe Cocker, 1989)


Les Majors s'écroulent sous nos yeux. Elles ont chassé au fil du temps l'imprévu de leurs murs. Leur credo était la création sous contrôle, formatée, bien rangée. Elles ont amalgamé support et musique sous le nom générique de produit, transformant les directeurs artistiques en comptables, les artistes en marques et le public en client. J'ai aimé, je l'avoue, jouer avec elles du temps de leur superbe, profiter de leurs largesses en échange de ma singularité qui leur servait d'alibi culturel. Aujourd'hui que l'argent n'est plus là, les Majors cherchent encore à donner le change comme si de rien n'était. Je pense, en les voyant, à Vittorio Gassmann, dans Le fanfaron, ce type qui la ramène bruyamment en voiture de sport, au klaxon compulsif, toujours à chercher l'épate, à séduire et dont la vie est vide de sens (Kent Cokenstock, 2009).


Les ventes d'albums ne veulent pas dire grand chose. Pour nous, la pression c'est d'imaginer un gamin de 15 ans de Cincinnati acheter notre album et ne pas penser qu'il a perdu son argent de poche (Chris Martin, Coldplay). 


Les ventes de disque n’ont d’effet que sur la confiance en soi. (David Bowie)


L'industrie de la musique n'a plus rien à voir avec ce qu'elle était avant. On n'aura plus jamais de stars comme dans les années 90 (Mika).


Notre motivation a toujours été notre passion pour le métal extrême. Nous n'avons jamais retourné nos vestes pour devenir un groupe commercial. (Slutifer)


Nous, c’est un peu comme Plastic Bertrand. On sait à peine chanter, y'a une grosse production derrière qui nous tient. C’est bien ficelé, malhonnête comme tout. Y'avait pas encore d’album qu’il y avait une promo de dingue (Stupeflip, Longueur d’Ondes, 2003).


Nous faisons beaucoup d’actions de charité, mais ce n’est pas notre business à plein temps. Notre busines, c’est de faire de la musique. (Brian May, Queen)


Nous ne savons pas trop ce que les gens peuvent dire de nous quand nous sommes sur la route. Nous fonçons, simplement. C’est la plus grande sensation que je puisse connaître : aller de concert en concert. On ne s’écoute même pas à la radio. Quand je l’allume, j’entends des trucs comme STYX ou JOURNEY, et je l’éteins tout de suite. Ceci n’est pas du rock’n’roll, c’est du show business. (Angus Young)


Nous ne sommes pas un pop band commercial. C'est terrible, certains de ces groupes n'ont que deux morceaux valable sur tout un album ! Le pire, c'est qu'ils vendent bien parce que les deux morceaux en question sont des hits singles. Chez nous, ce n'est pas possible : deux mauvais morceaux sur un album d'Iron Maiden et les fans se plaignent. C'est ça la différence entre de la daube commerciale et de la vraie musique. (Steve Harris, Iron Maiden, 1992)


Nous on est tombé dans un mouvement, le mouvement punk, dans un espace vierge où les majors prenaient le temps de « développer » les artistes. On pouvait faire un ou deux albums sans que ce soit un succès commercial et en faire un troisième malgré tout, développer des carrières. Aujourd’hui, vous arrivez, vous avez un mois pour installer votre titre, sinon tu dégages. (Marianne, 2014)


Nous sommes parmi les derniers à avoir émergé avant Internet et le téléchargement. Il faut donc être réaliste : nous ne vendrons plus jamais autant de disques. (Noel Gallagher, Oasis, 2005)


Nous sommes près à payer l'essentiel du pressage de 1000 copies de notre album, et l'intégralité des coûts d'enregistrement. Nous voulons seulement être sur votre label. Pensez-vous pouvoir, s'il vous plaît, nous répondre d'aller nous faire foutre, ou aucun intérêt, afin que nous arrêtions de perdre du fric en vous envoyant d'autres maquettes ? Merci. Nirvana.


Nous voulons être créatifs, ne penser qu’à notre musique. On ne veut pas qu’on nous parle de business, d’argent, d’agenda ou de deadlines. (Travis Barker, Blink-182)


On dirait que la musique devient de plus en plus périssable. Peut être que des gens en font leur business : créer de la musique pour cinq minutes, comme n’importe quel produit jetable. Je m’estime heureux de ne pas avoir à  vivre de la musique de cette façon, mais j’en connais d’autres qui y sont proprement condamnés. (Mark Knopfler, Dire Straits, 1982)


On fait de la communication à des fins artistiques. Tout ce qu’on fait autour du disque, c’est de la création, pas de la promotion. (Daft Punk)


On n'a pas créé un système de transaction entre les gens qui aiment la musique et les gens qui créent la musique. La transaction se passe entre Volkswagen et la Silicon Valley. Le reste de l'humanité n'a pas un mot à dire. Que vous achetiez ou téléchargiez de la musique, ils s'en moquent, et bien entendu, ils se moquent de moi et de tous les créateurs de musique. Je ne me plains pas, j'ai bien gagné ma vie. Je plains les jeunes qui écrivent des morceaux aujourd'hui, qui font des albums et qui aimeraient en vivre, mais qui galèrent parce que leurs droits d'auteur leur sont volés par ces salauds. J'espère que les jeunes sauront s'organiser pour faire valoir leurs droits et se battre, sinon la musique va mourir. Il n'y aura plus rien à acheter parce que plus personne ne voudra travailler dans cette industrie (Roger Waters, mars 2016).


On peut chanter en échange de rien, d’une discussion, d’un verre ou d’un sourire (La Rue Kétanou, Longueur d’Ondes, 2002).


On rejette totalement l’opportunisme du Show-biz, le hit à  tout prix. Et s’il faut le décrocher en s’accaparant une chanson, en la ruinant pour lui coller le son de la semaine comme on refile une MST, juste pour le blé, nous préférons l’obscurité à  ces produits pourris. (Stan Cullimore, The Housemartins, 1986)


Pour les nouveaux groupes, je pense qu’une major est l’endroit le plus sûr. Les labels indépendants sont ceux qui s’en tirent à bon compte. Beaucoup sont des amateurs qui arnaquent les jeunes groupes et profitent des gens qui ne seraient pas signés par une major (Jack White, The  White Stripes).


Pour une bonne partie des gens de l’industrie du disque, plus ils en prennent, plus ils en veulent. (Guy Berryman, Coldplay)


Pourquoi crois-tu qu'on emploie le terme de « show-business » ? Aujourd'hui la chanson est une machine à faire de l'argent. Le star-system, c'est effroyable (Catherine Ribeiro, 1977).


Quand j'étais jeune, je ne pouvais pas savoir comment fonctionnait le business de la musique. Je critiquais les Butthole Surfers de faire payer 15 dollars les billets de leurs concerts. Maintenant, évidemment, je comprends ça bien mieux. (Kurt Cobain, Nirvana)


Quand ma maison de disques me demande pour des problèmes de piratage de CD, je leur réponds : " Écoutez, moi je suis musicien. On existait avant le CD, on existera après. Dans les pays les plus pauvres, la musique remplace le pain, foutez-moi la paix ". (Jean-Louis Aubert)


Quand Slash a sorti son premier album avec Snakepit, j'ai du lui dire : « Tu vas bousiller ta carrière ». J'ai été viré. (Doug Goldstein, manager de GN'R, 2001)


Un artiste devrait toujours avoir le droit de décider ce qu’il veut voir sortir et ce qu’il préfère garder caché. Après tout, c’est son nom qui est en jeu. Je déteste voir, lorsqu’un artiste meurt, sortir tous ces fonds de tiroir qui n’auraient jamais vu le jour de son vivant. C’est un peu déterrer ses os dans un cimetière. Pour ma part je prends particulièrement soin de ne plus laisser derrière moi des choses dont je ne suis pas satisfait. (John Fogerty, ex, Creedence Clearwater Revival, 1985)

 

 

 

 

 

 

 

 

Accueil - Citations par auteurs - Citations par thèmes - Citations sur la musique - Nouveautés - Contact