Ce
qui m’ennuie le plus, dans le fait d’être un sex-symbol, ce sont les
journalistes qui me demandent ce que j’en pense ! J’ai toujours été
persuadé que les principaux ingrédients du rock étaient le sexe, la présence
sur scène, et une musique plein d’énergie... Le sexe et l’énergie, c’est de
cela qu’il s’agit. (Deborah Harry, 1979)
Chaud,
fou et excitant, le punk est une histoire d’explosion, la première véritable
expression du détachement. (Debbie Harry)
J’ai appris la guitare lentement en autodidacte parce que déjà à
l’école, j’avais horreur des cours (Chris Stein, 2013).
Je
ne faisais pas encore partie de Blondie lorsque j’ai vu Television au CBGB.
C’était génial de voir à quel point ils jouaient mal. J’ai compris qu’il y
avait de l’espoir pour moi en tant que musicien. (Gary Valentine)
Les femmes vont être les nouveaux Elvis. C’est la seule issue pour le rock’n’roll. Les seules personnes qui peuvent exprimer quelque chose de nouveau dans le rock sont les filles et les gays.
(Debbie Harry,
1981)
Les
Sex Pistols étaient particulièrement brillants. Ils me faisaient penser à
Beethoven. Ils avaient ce côté grandiose. (Debbie Harry)
Punk Bunny in Stilettos !
Vieillir
n’est pas une chose facile, mais heureusement pour moi, j’ai une bonne
philosophie. Je me suis toujours dit : « N’arrive pas à cet âge où tu
commences à penser j’aurais dû faire ceci ou cela ». J’ai toujours eu ce
point de vue et je le respecterai rigoureusement. Vieillir est dangereux et
effrayant parce que votre corps se détériore et vous perdez de la puissance,
alors cela dépend si vous avez de la chance. J’ai toujours été en bonne santé,
alors je suis plutôt chanceuse. (Deborah Harry, 1993)
J’adore Richard Hell, j’adore
Blondie, elle essaye de faire du Shangri-Las en 77, rien que cette idée-là me
fascine, elle n’y réussit pas mais ce n’est pas grave, j’aime bien quand même
(Patrick Eudeline, Asphalt Jungle, 1977).
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