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Alain Bashung


Alain Bashung, de son vrai nom Alain Baschung, né le 1er décembre 1947 et mort le 14 mars 2009 à Paris, est un auteur-compositeur-interprète et comédien français. Il est devenu une figure importante de la chanson et du rock français à partir du début des années 1980 et a influencé un grand nombre de chanteurs de la nouvelle scène française.

Biographie d'Alain Bashung

Site officiel

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CITATIONS

 

Boris Bergman a reçu le « Prix Robert », ça t’a fait plaisir ? Oui, mais ce qui est émouvant, c’est que son prix ressemble à un phallus, et celui que j’ai eu aux Victoires de la Musique ressemble à une paire de couilles, alors on va faire une photo montage du tout. C’est une très bonne année (Longueur d’Ondes, 1987).


C'est beau de fabriquer sur scène une émotion, de faire partager du sacré, du spirituel, du charnel.


C'était marrant, les premières bricoles en musique. Je ne connaissais tellement rien que ma première guitare, une Lucky 7, je l'ai branchée directement sur le secteur et elle a explosé. Je ne savais pas qu'il fallait un ampli. (Nouvel Obs, 24/10/02)


C'était quitte ou double : rester chez moi à tourner en rond ou aller dans une voie beaucoup plus difficile où il fallait une énergie incroyable.


Cela ne me réussit pas du tout de garder constamment la tête froide car ça me pousse à intérioriser mes émotions et au bout d’un moment, je peux craquer. Je préfère une petite colère de temps en temps plutôt que d’imploser et d’avoir très mal (Longueur d’Ondes, 1996).


Dans la Bible, on ne parle pas de plaisir charnel. Peut-être que si on l’avait fait, on n’aurait pas besoin du porno (Longueur d’Ondes, 2007).


En France, les gens viennent pour la musique et restent pour les textes.


J'ai crevé l'oreiller - J'ai dû rêver trop fort. (Vertige de l'amour)


J’ai été enfant de chœur, je tenais le bouquin, je servais le pinard et je le goûtais. Mais je me souviens surtout de la violence du curé et de la méchanceté de certaines bigotes qui passaient leur semaine à créer des intrigues (Longueur d’Ondes, 1996).


J'ai très peur du bonheur béat, je ne sais pas ce que c'est et je ne suis pas fait pour ça, peut-être. (1989)


J'aimerais qu'un jour Ferré me téléphone de là-haut pour me dire: ''ça va p'tit gars ? Tu sais, j'aime bien ta dernière chanson.''


J'évite de trop me frotter à des gens qui n'ont pas la chance d'être enthousiastes de manière innocente. Il m'est arrivé de couper ainsi une communication avec des gens que j'appréciais. (...) Je ne peux pas discuter avec des gens qui ne parlent que de robinets et jamais d'eau potable. Alors, je me casse et je reviens quand j'ai fait le plein.


Je fume pour oublier que tu bois. (1979)


Je me tue à te dire qu'on ne va pas mourir... (Mes bras)


Je rencontre parfois des gens qu'on appelle, entre guillemets, des « futurologues » ou des gens qui gambergent sur la façon dont on va vivre dans les années à  venir et ils ont des réponses. Ils t'apprennent que des problèmes comme la faim dans le monde peuvent être réglés en pratique et pas seulement en théorie. Alors que ça semble complètement impossible si tu passes par le filtre idéologique des choses ou par les institutions gouvernementales. (1986)


Je suis certain que quand on fait bien l'amour, il y a tous les dieux qui applaudissent. (1994)


Je trouve qu'on est frileux, qu'on a perdu le sens de l'instinct, qu'on a du mal à être fou, on est plus trop mal et puis en même temps, on est mal, on a rien dans la tête qui nous tire vers quelque chose. Il nous manque cette espèce de petit bout de spiritualité qui serait formidable maintenant, pas la spiritualité pipeau mais quelque chose que tu trouves en toi qui te fais avancer. Mais comment dire ça, ce n'est pas évident parce qu'on  peut se tromper, et puis les mots sont casse-gueule, le meilleur truc c'est l'action. (1991)


L'affection que m'envoyaient les gens, j'avais l'impression que ça pouvait me guérir de tous les maux. C'est d'une telle force qu'on se dit : je suis immortel maintenant.


Marcher sur l'eau, Éviter les péages, Jamais souffrir, Juste faire hennir, Les chevaux du plaisir. (Osez Joséphine)


Nous sommes là pour montrer aux gens que tous leurs rêves peuvent exister, pas pour leur dicter une façon de penser ou de ressentir. (Le Figaro, 10/03)


Si je porte des lunettes noires sur scène, ça n'est pas pour jouer au vieux rocker. C'est que je ne veux pas être distrait par tout ce qui se passe autour de moi. Sans ces lunettes, j'ai l'impression d'être tout nu au beau milieu d'une épicerie, avec des miroirs au plafond. (Télérama, 21/11/03)


Un tournage, c'est comme une succession de coïts interrompus.

A PROPOS D'ALAIN BASHUNG

Certains journalistes de ce que j’appelais « le triangle des bermudas », c’est-à-dire, des gens de chez Télérama, Libé et Les Inrocks, m’ont un peu « chahuté ». Pour eux, j’étais l’auteur qui avait fait les vilaines chansons de Bashung. Pour les intégristes de Bashung, sa vie commence à partir de Play blessures. Mais comme j’ai fait l’album Novice en 1989 (7 chansons en tout), ils sont bien emmerdés d’avouer que c’est le même homme qui a écrit « Gaby Oh ! Gaby ! » et « Vertige de l’amour » (Boris Bergman).


Il a marché sur mes plates-bandes et y a fait pousser des fleurs (Christophe, à propos de la reprise des « Mots Bleus » par Alain Bashung).


Je n'ai jamais écrit AVEC Bashung, j'ai écrit POUR Bashung (Boris Bergman).


Play Blessures a presque changé ma vie. (Daniel Darc)


Pour moi, Bashung est le meilleur chanteur français. C’est un mythe (Daniel Darc, Les Inrockuptibles, 2008).

 

 

 

 

 

 

 

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