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Arno


Arno, de son vrai nom Arnaud Charles Ernest Hintjens, est un chanteur et acteur belge, né le 21 mai 1949 à Ostende. Parfait trilingue, il a d'abord surtout chanté en anglais avant de privilégier le français avec aussi quelques chansons en néerlandais.

Biographie d'Arno

Site officiel

MySpace

 

CITATIONS

 

À la Ernest Van Glabbeke School à Ostende j'étais bien, j'avais des copains, puis je suis allé à l'Athénée, en « ville ». Et le bégaiement est arrivé à l'Athénée, peut-être parce que j'étais différent de tous ces fils de bourgeois bien coiffés avec une ligne au milieu. Je m'en fous maintenant quand je bégaie, faut me prendre comme je suis. J'ai découvert qu'il y a beaucoup de gens qui bégaient, même les plus grands génies, ils bégaient. Je ne dis pas que je suis un grand génie mais un petit peu (rires) (1992).


Après ma première petite amie Pierrette, j'ai rencontré une Française qui était jeune fille au pair en Angleterre, elle portait une mini-jupe (...) On s'est écrit et à 18 ans, je suis allé la voir à Sceaux près de Paris, et j'ai fait l'amour avec elle. Et j'ai eu des problèmes parce que la peau de mon zizi n'était pas assez longue, pas assez élastique. Après des années, cela s'adapte hein. Mon docteur, il m'a dit que la peau de mon zizi, c'est comme un schlurf, la trompe d'un olifant (1985).


J’aime bien Dutronc, la Mano Negra ; j’ai aussi découvert un groupe formidable : Rage Against the Machine. Je ne reste pas coincé dans un style, je suis ouvert comme une vieille pute (Longueur d’Ondes, 1993).


Je fais l’amour avec mon public, je jouis pendant deux heures. C’est pour ça que je suis encore en vie (février 2016).


Je ne fais pas de la musique, je jouis ! Ça peut durer une heure trente ou deux heures (Longueur d’Ondes, 1988).


Je ne suis pas Johnny Hallyday qui est chaque mois avec une autre femme dans Paris Match. Je pense que je montre déjà tout sur une scène ou sur un disque, c'est assez. Mon truc privé, c'est à moi et à personne d'autre. Avec les femmes, je fais ça dans un lit et c'est privé (1990).


Je ne vais jamais travailler avec des musiciens qui ont les mêmes goûts musicaux que moi, par exemple. Je suis un vampire...Quand j'ai fondé TC-Matic, j'ai pris un batteur qui était fou de Jethro Tull et de Focus, un bassiste branché disco et soul music et un clavier qui aimait Can et Yes. Le guitariste, lui, était fou de Jimi Hendrix...Et tu sais ce que je leur ai dit ? « On va essayer de jouer dans le style de James Brown ! »


Je suis un flop-star (1992).


La musique du delta du Mississipi est unique, complète. Elle a du souffle, elle sent la terre, la liberté, la sensualité. La slide guitar diffuse la mélancolie ou la gaieté. Le reste, c'est du business de coiffeuse.


La première fois que j'ai entendu « One Night With You » de Presley, j'ai eu... J'étais dans un état comme ça, comme la première fois que tu jouis, est-ce que tu comprends ? C'est quoi ça ? Et cela m'a frappé pour le reste de ma vie.


Le Blues c'est la base... Si j'ai enregistré un album de reprises de blues en 1991 sous le nom de Charles et les Lulus, c'est pour rendre hommage à ces gars. Pareil pour Charles and the White Trash European Blues Connection en 1998. Un besoin permanent de revenir aux sources. Sinon, aucun intérêt de se réveiller le matin. Le cuisinier doit commencer par éplucher les patates. Pour faire Arno, il a fallu le blues. Sans ça, je ne suis pas en face de toi. Tu comprends ?


Même le plus grand des machos est attiré par sa mère. Il y a des choses qu'on ne confie qu'à sa mère, c'est bizarre. La première odeur de femme est celle de sa mère.


Mon fils, il écoute du hip-hop et pourtant, il connaît Nougaro… Moi, je connais pas ! (Longueur d’Ondes, 2000).


Mon père était branché musique, parce qu'il a vécu pendant la guerre en Angleterre, chez les Spitfires, et il m'a apporté la musique anglo-saxonne, le jazz, le blues. Ma mère écoutait le côté francophone, à cause de ma grand-mère qui était une chanteuse dans les cinémas muets dans le temps. Ma mère et sa soeur viennent de la génération post-war, le truc Juliette Gréco, Jean Cocteau et l'existentialisme. Elle était très anarchiste dans sa tête, et je me souviens encore de ma mère comme d'un skinhead, et dans le temps, c'était quelque chose. Elle avait un peu la tête comme Zizi Jeanmaire, la danseuse.


On m'a expliqué que Caussimon était un mec comme moi, un clochard de luxe. Il parle de l'Ostende des années 50. À cette époque, Maurice Chevalier ou Bécaud venaient roder leur spectacle au casino avant de le jouer à Paris. Ostende est une ville au public critique, une ville artistique. Magritte y avait une maison, Einstein y venait en vacances. J'ai grandi à Ostende qui était alors une ville bilingue. Dans les bistrots de la rue Longue, on demandait « une chope », pas « een pintje », aux garçons qui venaient souvent de Bruxelles.


Quand je me vois à la télé, je me dis: « C'est quoi ça ce mec ? »


Quand les bonbons parlent, le cerveau bande.

 

 

 

 

 

 

 

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