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CITATIONS

 

À cause de la crise, je ne peux plus acheter autant de diamants qu’avant. (50 Cent, 2009)


À chaque crise, à chaque cause son porte parole et Sting avec sa gueule d’ange viendra nous parler des pluies acides. C’est très généreux de leur part d’assurer des concerts de soutien, mais si toutes ces rocks stars offraient les royalties des ventes de leurs disques de platine au lieu d’un simple concert, là ce serait une vraie bonne action. Tracy Chapman a vendu sept millions de disques grâce au concert pour Mandela et sa tournée Amnesty, pourquoi n’a-t-elle pas versé cette montagne de pognon aux causes qu’elle défendait ? (Michelle Shocked, 1989)


À l'époque de Definitely Maybe, j'étais plus inspiré pour écrire des chansons. Pourquoi ? Tout simplement parce que je n'avais pas d'argent. Maintenant je suis moins crédible que lorsque j'avais 20 ans. (Noel Gallagher, Oasis, 2004)


À l’époque, nous jouions de la musique pour le plaisir. Aujourd’hui, personne ne prend une guitare à moins qu’il ne soit payé pour le faire (Leonard Cohen).


Arrête d'aller voir ta grand-mère pour qu'elle te donne des sous et tu verras qu'elle t'en donnera encore plus. (Didier Super)


Au tout début, on a emprunté de l’argent à la banque du coin de la rue, pour acheter notre premier matériel, et aujourd’hui, ils viennent de déménager et on rachète l’immeuble de la banque ! (Dave Stewart, Eurythmics, 1986).


Aujourd’hui j’ai de l’argent. Et l’argent sert à quoi, sinon à acheter sa liberté ? Y a-t-il une chose plus intéressante dans la vie que de prendre son baluchon et de faire le tour du monde ? (Manu Chao)


Avec 10 millions en poche pour tourner une vidéo, je prendrais un million pour faire la vidéo et je mettrais dans ma poche les 9 millions restants… Mais ça aurait l’air d’un clip qui a coûté 10 millions de dollars parce que je ferais en sorte qu’il soit classe. Je suis un vrai businessman. (Fieldy, Korn)


Avec l'opéra, comme dans tout art de scène, pour être très demandé et bien payé vous devez bien sûr être bon, mais vous devez aussi être célèbre. Ce sont deux choses différentes (Luciano Pavarotti).


Avec mon fric, je m’achète des montres, des DVD, des voitures. Le propre du beauf, quoi ! (Joeystarr)


Beaucoup de gens dans les médias et des gens de la vie de tous les jours ne sont pas vraiment à la recherche de la vérité. Ils sont à la recherche de quelque chose de pire que cela : l’argent. Les médias sont le genre d’endroit où la vérité ne gagne pas parce que ce n’est pas drôle. La vérité n’est pas drôle (Jack White, The  White Stripes).


Better to burn out than to fade away. Mieux vaut flamber que s'étioler. (Neil Young, repris par Kurt Cobain dans sa dernière lettre)


Ça coûte un paquet d’argent d’avoir l’air vulgaire. (Dolly Parton, 1989)


Ça coûte une fortune d'avoir l'air si sale (Bono, U2).


C'est le dollar qui dicte la musique que j'écris. (Chuck Berry)


C’est normal, les groupes qui vendent des milliers de disques ont toujours cherché à  hurler plus fort que ceux qui en vendent des millions. (Paul Stanley, Kiss, 1987)


C’est quelqu’un d’authentique pour qui il n’y a que le plaisir qui est son élément moteur. Elle n’a jamais eu de plan de carrière. L’argent ne compte pas pour elle (Claude Wild, manager de Véronique Sanson).


Ce que Spotify me paie n’est même pas assez pour payer les musiciens qui jouent avec moi ou les gens qui travaillent sur les disques. Ça ne fonctionne pas (Beck).


Ce qui me scandalise aujourd'hui, c'est que les véritables créateurs de la musique n'en vivent pas. Les relais du monde commercial (maisons de disques, distributeurs, ndr) détournent l'esprit de la musique, qui n'est plus faite pour les gens mais pour faire du fric. Cette recherche du profit est un problème de société. Or la musique n'appartient à personne, elle passe d'un individu à un autre. Certains s'en servent comme d'un bien matériel. Maintenant, dans la pub, on voit un bluesman jouer du dobro pour faire la pub d'un fromage. Cette exploitation de la musique m'agace. C'est comme les vedettes de variété qui mettent des blacks sur leur plateau de télé parce que ça fait authentique. Avant, on en riait. Aujourd'hui, ça m'énerve. (Bill Deraime)


Cette tournée va nous coûter des millions ? Et alors ? Les millions, nous les avons. (Gene Simmons, Kiss)


Continue à jouer, on est payés ! (Vieux dicton requin)


Continuez à me haïr vous me rendez riche ! (Justin Bieber).


Dans le milieu de la musique, si vous avez du succès et donc de l'argent, vous êtes la victime idéale : vos millions font vivre tant de gens... Quand on n'a rien, personne ne veut vous connaître (Iggy Pop, Télérama, 2016).


Dans les années 60, on pensait pouvoir changer le monde. Dans les années 70, comme on n’arrivait pas à changer le monde, on espérait encore pouvoir se changer soi-même. Dans les années 80, réalisant qu’on ne parviendrait pas à se changer soi-même, on s’est dit : « Faisons du fric ! » (Joni Mitchell, 1988)


Dans les années 80, on pouvait faire n’importe quoi. Je suis parti comme ça une semaine à Tokyo pour faire une pochette d’album. Tout ça générait tellement de fric… (Alain Chamfort, Longueur d’Ondes, 2006).


De toute façon, je ne peux pas qualifier de fortune l'argent que j'ai. J'ai des maisons, c'est tout. (Johnny Hallyday)


En dessous de la 14e Rue, on pouvait vraiment vivre pour presque rien. Il y avait même une certaine fierté dans l’idée qu’il n’y avait aucune visée commerciale dans ce que nous faisions. L’argent n’était en rien un signe de réussite, seul l’intérêt artistique comptait. C’est d’ailleurs ce qui a tout détruit, à New York en particulier, dès que l’argent à commencé à pointer son nez. Lydia Lunch est la première à avoir senti le vent tourner. Elle avait débuté très jeune, adolescente, en 1974, et en 1980, elle est partie. Pour elle, c’était déjà fini (Thurston Moore, ex-Sonic Youth, Télérama, 2015).


Faut pas jouer les riches quand on n’a pas le sou. (Jacques Brel)


Finalement, c’est facile de vivre de sa musique en France, si tu aimes vraiment cette vie-là et si tu t’en donnes la peine. Tout dépend de ce que tu appelles « vivre décemment » ; pour nous, c’est juste manger (Sloy, Longueur d’Ondes, 1995).


George a écrit « Taxman » et je joue de la guitare dessus. Il l’a écrit en colère en découvrant ce que l’agent des impôts faisait. Il ne savait pas avant cela ce qui pouvait arriver à votre argent (Paul McCartney).


Il arrive un stade où ça n'a plus tellement d'importance le nombre de zéros qui  se trouvent à la fin de ton compte en banque (Chris Martin, Coldplay). 


Il n’y a pas de honte à faire de la pub, ça aide à payer les réparations du toit de la maison (Johnny Hallyday).


Il n'y a rien de messianique dans ce que je fais. Je déplore juste la naissance et l'omniprésence d'un sentiment nouveau : l'absolue nécessité d'avoir de l'argent. En 1968, la révolte est passée par les idées, la prochaine passera par le ventre et là ce sera terrible. (Bernie Bonvoisin)


J’ai acheté une nouvelle maison, mais je n’ai pas encore eu le temps d’y vivre vraiment à cause de notre tournée. Un jour, quelqu’un m’a demandé mon adresse et j’ai été obligé de consulter ma femme pour qu’elle me la donne, car je ne la connaissais pas, c’est pour vous dire ! Sinon je me suis fait un petit plaisir en « customisant » à fond ma bagnole. Aujourd’hui, elle est tellement magnifique qu’il faut des lunettes de soleil pour l’admirer. Sinon sa beauté vous aveugle ! (Chester Bennington, Linkin Park)


J’ai bien entendu que vous m’offrez un million de dollars pour un concert, j’ai bien compris, c’est pour moi, mais qu’est-ce-que vous offrez à Elvis alors ? (Le colonel Parker, 1975)


J'ai claqué beaucoup d'argent dans l'alcool, les filles et les voitures de sport - le reste, je l'ai gaspillé. (George Best, joueur de football dans les années 60 et 70, surnommé "le cinquième Beatles")


J’ai laissé tomber des groupes qui me prenaient pour un pauvre crétin, et maintenant me voilà, je suis un trou du cul riche et célèbre. (Axl Rose, Guns n’ Roses, 1989)


J’ai l’impression que beaucoup de gens sont borderlove. La société veut absolument éliminer toutes nos aspérités et faire de nous des robots avec pour seule mission d’être rentables en fonctionnant uniquement sur la notion de profit et de rentabilité. Je ne suis pas sûre que ce soit représentatif de l’être humain. (Buzy)


J'ai retourné ma veste le jour où je me suis aperçu qu'elle était doublée de vison. (Serge Gainsbourg)


J’ai toujours 25 000 dollars sur moi au cas où…  (50 Cent, 2009)


J’ai une chance énorme dans ma vie par rapport au futur, c’est que je n’ai pas de problèmes économiques. J’ai une immense liberté pour pouvoir me mettre dans n’importe quel projet sans avoir un problème économique. Je n’ai pas besoin de courir après l’argent. (Manu Chao)


J'aimerais bien vivre d'amour et d'eau fraîche, mais je ne trouve pas d'eau fraîche ! (Renaud, 1977).


J'aurais pu écrire pour Johnny et prendre la caillasse, mais je ne fais pas ma carrière en fonction de mon compte en banque (Jean-Louis Murat, Télérama, 2014).


Jamais je ne poserai nue pour de l’argent. Je trouve cela ignoble.  J’irais brûler en enfer pour une chose pareille. La seconde chose qui m’empêche, c’est l’idée que ma famille puisse tomber sur ces photos. Si mon pépé m’avait vu étaler tout ça... (Muriel Moreno, Niagara, 1990)


J'essaie d'initier mon épouse au shopping tantra pour qu'elle puisse faire les magasins pendant cinq heures sans rien acheter ! (Sting).


Je crois qu'ils ont tous ressenti que j'avais rattaché tout le reste de ma carrière à The Dark Side of the Moon, ce qui n'est pas entièrement faux. Mais je me lève encore, parfois, frustré à l'idée du fait qu'ils gagnèrent des millions à l'insu de tous, contrairement à nombre de personnes qui travaillèrent avec eux sur cet enregistrement (Alan Parsons, ingénieur du son des Pink Floyd, qui n’était payé que 35 £ par semaine pour son travail).


Je culpabilise d’être riche, comme si je ne méritais pas d’avoir cet argent, même si je travaille très dur. Cela doit être à cause de mon éducation. (Madonna)


Je déplore que beaucoup d’artistes veulent gagner de l’argent avant une simple envie d’exprimer quelque chose. Que reste-t-il de l’époque Radiohead et Noir Désir ? Pas la contestation en tout cas, chacun reste dans sa bulle (Bernard Lenoir, 2012).


Je fais le plus de boulot donc c'est normal que je gagne le plus d'argent, en plus je suis le plus beau. (Noel Gallagher, Oasis)


Je joue au Texas Hold’em sur mon Blackberry. J’ai amassé une fortune. J’ai presque 30 millions de dollars. C’est irréel (Chris Cornell, Soundgarden, Audioslave).


Je leur coûte beaucoup de fric à cause de tout ce que je casse sur mon passage : les clubs, les hôtels, les filles mineures... (Slash, Guns N’Roses)


Je me sens l’âme d’un Robin des Bois. Je préfère voir l’argent dans ma poche parce que je sais quoi en faire… Je jure devant Dieu que si  l’on me donne tout l’argent du monde, je n’achèterais ni arme nucléaire ni satellite, je le dépenserais certainement dans ces produits illégaux mais rien qui puisse nuire à  autrui. (Al Jourgensen, Ministry, 1992)


Je ne me suis jamais acheté de maison ni d’appartement parce que j’ai toujours mis mon argent dans le matériel de scène, dans les choses que je prépare professionnellement, donc évidemment le côté vie privée en prend un sérieux coup. Il faudra que je m’en occupe parce que je me suis aperçu d’une chose que j’ignorais qui est que la vie privée est quelque chose de très important qu’il faut soigner, parce que la vie professionnelle en dépend en grande partie (Michel Polnareff, 1971).


Je ne veux pas que les autres croient que j’impose mes compositions pour gagner plus d’argent. Alors tout le monde signe et touche des droits d’auteur. Je n’aimerais pas que Cure finisse comme The Jam, qui se sont séparés parce que leur leader, Paul Weller, voulait rafler tout le pactole en ne chantant que ses chansons. Je serais vraiment mal à l’aise si je gagnais énormément et les autres presque rien. Vous me voyez leur payer des coups au pub parce qu’ils n’ont pas un rond ? (Robert Smith, The Cure)


Je pense que j'avais trop d'argent pour pouvoir vivre heureux et paisiblement. Des milliers de pounds, c'est trop pour une personne à gérer comme ça, d'un coup. Je n'ai pas mérité ça. (Peter Green, Fleetwood Mac)


Je pense que l’idée américaine de l’égalité des chances n’a manifestement pas été réalisée. Ce qui est pire, c’est que toute les études qui ont été faites sur la partage des richesses dans la société, ces quinze dernières années, montrent que la classe moyenne devient de plus en plus petite et que les gens sont de plus en plus éloignés les uns des autres. C’est quelque chose qui n’a pas encore provoqué d’émeutes, mais ça a débouché sur des espoirs, des attentes et des possibilités diminuées. (Bruce Springsteen, 1995)


Je préfère mourir de faim en chantant cette musique que d'être riche et chanter autre chose. (Gene Vincent)


Je prends toutes mes décisions à pile ou face. Les pièces de monnaie ne mentent jamais. (KD Lang, 1993)


Je suis fier de mon héritage Pistols et je viens relever les compteurs. (John Lydon, The Sex Pistols, à la reformation des Pistols en 1996)


Je suis malade de voir des rocks stars s’enrichir en se complaisant dans leurs caprices d’adolescent, disparaître avec leur argent, le foutre dans le nez, ou dans leurs bagnoles ou tout ce que vous voulez, et ne rien faire de constructif, ne rien faire de bien. (Peter Garrett, Midnight Oil, 1988)


Je suis un paysan. Ce n’est pas d’argent que je vis. Même s’ils ne m’avaient jamais donné un penny, j’aurais pu vivre. Mais je fais de la musique et, s’il y a de l’argent à gagner dans la musique, il n’y a pas de raison que je n’en gagne pas. (Bob Marley)


« Je t’aime moi non plus » a fait ma fortune. Mais je ne l’ai pas provoqué. Je l’ai faite parce que je la trouvais belle et la plus érotique qui soit (Serge Gainsbourg).


Je veux de l'argent simplement pour être riche. (John Lennon)


Je veux faire plus d'argent, plus de musique, manger des Big Mac et boire des bières. (Kid Rock)


L’argent ça ne se mange pas. Et j’en ai plus que je n’ai jamais rêvé en avoir dans mon adolescence. Je n’irais pas jusqu’à dire que je ne sais pas quoi en foutre, parce que c’est dur à faire avaler à ceux qui n’ont rien, mais bon, pour moi, ça va. (Renaud)


L'argent ça va, ça vient mais quand ça vient, ça va. (Les Neg’ Marrons)


L'argent est fait pour être dépensé sans compter... sur les autres. (Pierre Perret)


L'argent et la télé sont deux fléaux de la société actuelle. Il n'y a plus de dialogue (Brigitte Bardot).


L’argent ne fait pas le bonheur. C’est même à se demander pourquoi les riches y tiennent tant (Serge Gainsbourg).


L'argent ne fait pas le bonheur de ceux qui n'en ont pas (Boris Vian).


L’argent n’a jamais été le moteur. Et le fait que je n’ai jamais été fortuné en est la preuve. Je me rappelle que nous avions reçu une avance de 500 dollars chacun à la signature du contrat. Depuis, honnêtement, je ne me souviens pas d’avoir reçu d’autres paiements. Je leur ai téléphoné, leur ai écrit, j’ai appuyé sur tous les boutons, mais je n’ai jamais reçu de réponse notable. Je n’ai jamais reçu aucune somme d’Elektra Records sur la vente de Tear down the Walls. Incroyable mais vrai, et j’ai manqué d’argent pour obtenir une aide légale (Vince Martin, ex-The Tarriers, 2009).


L'argent ne fait pas le bonheur, mais ça aide bien pour faire les commissions. (Renaud Séchan)


L'argent ne parle pas : il ment (Bob Dylan).


L’argent ne peut pas acheter la vie. (Bob Marley, à son fils Ziggy)


L’argent ne pourra pas m’acheter d’amour. (The Beatles)


L'argent ne vous paiera pas le bonheur, mais il en paiera la recherche.


L’art est un don de soi, que ce soit Mozart, Hendrix ou Schubert. Mais il faut bien bouffer. Grâce à Ange, j’ai pu me payer une ferme, mais j’ai dû la retaper. Je me souviens des années 70, période où la musique devait être gratuite… Je m’étais fait insulter par une  fille, « Vous êtes des salauds ! La musique devrait être gratuite ! ». Je lui ai répondu que, quand elle allait chez le boucher, il ne lui donnait pas de steaks gratuitement (Christian Décamps, Ange, Vapeur Mauve n°1, 2007).


La cocaïne, c'est la façon qu'a Dieu de nous montrer qu'on a trop d'argent (Sting).


La crise ne m'atteint pas trop car je ne suis pas très matérialiste. Je ne possède rien, ni maison ni voiture, et comme je suis artiste, je suis habitué à ne pas avoir d'argent ! (Sin Fang Bous, dans le magazine MAGIC de février 2009)


La fortune vient en dormant, mais pas en dormant seule (Caroline Otero).


La planète a moins de vingt cinq ans à  vivre à l’allure où elle va, mais ce n’est que pour que Sting se fasse du fric avec ça. (John Lydon, Public Image Limited, 1989)


La réalité c’est qu’au début de ma carrière j’étais pauvre. Un jour, j’ai même volé toutes les ampoules d’une station de métro de New York. Enfin j’en ai quand même laissé deux pour que les gens ne tombent pas dans les escaliers. (Alan Vega, 2009)


La société de consommation m’effraie car elle est partout. Elle empêche de penser et oblitère tout débat. C’est pire que l’intégrisme religieux (Yann Tiersen, Longueur d’Ondes, 2009).


L’être humain est exceptionnel et ce qui m’inquiète, c’est que les gens sont convaincus du contraire. Quand tu n’as pas de maison, pas d’argent, pas d’éducation, pas d’avenir, ça fait de toi un perdant. Je me demande pourquoi il y a tant de crimes dans la rue, alors qu’on dépense cinq milliards de dollars pour une station dans l’espace ! Pendant ce temps, les gamins sont dans la rue, affamés et ça ne m’amuse pas du tout (Tom Petty, 1991).


Le Diable contrôle l’argent. Si tu veux t’enrichir, il te faut donc faire un marché avec le Diable parce que c’est lui qui actionne les planches à billets. C’est lui le boss dans l’usine. Et il n’a aucune charité, c’est pourquoi certains possèdent et d’autres non. Si Dieu seul gouvernait, il n’y aurait nul besoin de suer au travail. (Bob Marley)


Le jour où on vendra 10 millions d'albums comme Limp Bizkit ou Linkin Park, ce sera le signe qu'on sera vraiment devenu à chier. (Jack White, The White Stripes)


Le piano, comme l'argent, n'est agréable qu'à celui qui en touche (Erik Satie).


Le pire défaut et la plus grande des qualités des américains, c’est qu’ils feront n’importe quoi pour gagner de l’argent. La plus grande qualité et le pire défaut des français, par exemple, c’est qu’ils ne feront pas n’importe quoi pour gagner la même somme. D’où nos petits quiproquos. (Huey Lewis, 1988)


Le plus difficile dans la chanson ? Arriver à se faire payer (Jacques Dutronc).


Le succès, c'est avoir à s'inquiéter de tout, sauf de l'argent (Johnny Cash).


Les banques sont cool, vous mettez de l’argent dedans. Ça devrait être vaguement sexy, mais ça ne l’est pas (Josh Homme, Queens of the Stone Age).


Les États-Unis ? Rien à branler. Tout ce qui m'importe, c'est que ces gens-là achètent nos disques. (Noel Gallagher, Oasis, 1995)


Les gens sont responsables de la façon dont ils se traitent eux-mêmes. Bien sûr, on peut critiquer le gouvernement qui n’aide pas les pauvres, ceux qui n’ont pas de maison, pas de ressources, mais si les gens élevaient leurs enfants différemment, s’ils ne les laissaient pas s’abrutir devant la télé, peut être les choses changeraient elles. Le problème est à l’intérieur de la tête de chacun. On mélange tout, les valeurs spirituelles et l’argent et si tu n’as pas d’argent tu n’es rien, tu n’as aucune valeur. C’est la grande confusion. (Jeffrey Lee Pierce, Gun Club, 1990)


Les nouveaux artistes qui sortent sont très matérialistes et pas tellement engagés dans la communication (Patti Smith).


Les premiers temps tout ce que je voulais c'était gagner ma vie dans un domaine où j'excellais. Mais comme il n'y avait pas de vrai marché pour la masturbation, je me suis rabattu sur mon talent à jouer de la basse. (Les Claypool, Primus)


Les royalties des Clash sont suffisantes pour en vivre, mais il y a de bonnes et de mauvaises années. En général, les gens calculent leurs dépensent en fonction de leurs rentrées d’argent. Malheureusement d’une année sur l’autre, on ne sait jamais combien d’argent on va gagner. C’est un étrange mode de vie. (Joe Strummer, The Clash, 2002)


L’opinion pensait que les hippies étaient de dangereux communistes parce qu’ils rejetaient l’idée même de gagner de l’argent. Mais ce n’est pas ça. Ce que nous refusions, c’est l’inégalité insupportable entre ceux du fond et ceux qui sont tout en haut. (Calvin Russell, 1993)


Lorsque nous étions numéro un avec le premier album, nous avons décidé de verser l’intégralité de nos royalties sud-africaines à  Amnesty International. Lorsque j’ai reçu ce chèque d’Afrique du Sud, je me suis dit qu’il était plus intelligent de le reverser à  Amnesty : je ne voulais pas de ce blé, il me choquait. Mais tout cela n’est pas très important, je ne veux pas en faire un cheval de bataille politique. Pourtant, l’Afrique du Sud est peut être l’unique pays au monde où le racisme est posé en loi fondamentale et c’est insupportable. (Mark Knopfler, Dire Straits, 1983)


Ma plus grosse fortune ne se mesure pas à un billet de banque. Ma plus grosse fortune c’est les idées que j’ai dans ma tête. Ma Rolls on pourra la détruire mais ce que j’ai dans ma tête, on ne pourra pas me l’enlever (Michel Polnareff, 1971).


Maintenant je suis riche mais l’argent ne m’intéresse plus comme avant. Ma nourriture préférée reste malgré tout le pop-corn, c’est-à-dire ce que je mangeais quand je n’avais plus de fric. Et je suis une grande consommatrice de chewing-gums, une vraie vache ruminante ! Quand leur prix augmente, je râle comme quand je n’avais pas suffisamment d’argent pour m’en acheter ! (Madonna)


Maintenant, nous pouvons aller en Europe, et passer à la télé, avec les Doors, et faire un beau succès. Mais ceux qui gouvernent ce pays ne veulent pas de ça. Le jazz est toujours dominé par les Noirs. Au début, il y avait le blues et le rythme & blues, puis les Blancs ont mis la main dessus, et ce fut le rock. Le rock n’a pas commencé à Liverpool avec les Beatles. Tous ces cheveux longs et ces trucs sont venus plus tard. Mais ce sont les Blancs qui ont fait du fric avec (Lee Morgan, 1970).


Manchester était le berceau du capitalisme, mais, à la fin des années soixante-dix, elle était devenue son tombeau (Richard Boon, manager des Buzzcocks).


Mes parents n’avaient pas vraiment réfléchi à ma participation à cette pochette. Ils savaient qui était Nirvana, mais ils n’étaient pas vraiment au courant de ce qui se passait sur la scène grunge. Mon père était à l’École d’Art à l’époque et ça arrivait souvent qu’un ami ou l’autre demande un coup de main pour une réalisation. Le photographe Kirk Weddle a appelé mon père en lui disant « tu serais d’accord de te faire un peu d’argent aujourd’hui en lançant ton fils dans une piscine ? ». Il a dit oui. Ils m’ont lancé, il a fait les photos, ils m’ont récupéré, ont reçu 200 dollars et sont partis manger des tacos. Rien d’exceptionnel en somme… (Spencer Elden, le bébé photographié sur la pochette de l’album Nevermind de Nirvana, 2015).


Michael (Jackson) rapporte plus mort que vivant... (Joe Jackson)


Mon premier cachet, ce n’était même pas un cachet, plutôt un comprimé. (Serge Gainsbourg)


Money ! Get away ! Argent ! Va t-en ! (Pink Floyd, Money)


Ne conquiers pas le monde si tu dois y perdre ton âme car la sagesse vaut mieux que l'or et l'argent. (Bob Marley)


Non, je ne suis pas radin, je paye toujours ma tournée quand vient mon tour. Je fais attention à  mes sous. Il y a une différence. (Jimmy Page, ex Led Zeppelin, 1988)


Nous avons désormais une cause commune : votre argent. (John Lydon, The Sex Pistols, à la reformation des Pistols en 1996)


Nous avons été contactés, mais par des gens aux principes bizarres : « On vous fait une fleur en vous signant, alors on ne peut pas en plus vous donner de l’argent » (Métal Urbain, 1977).


Nous ne savons pas combien d’argent nous gagnons en ce moment. Ce n’est pas important. Pas pour nous tout au moins. Nous savons que nous en avons assez pour nous payer une belle bagnole si l’envie nous en prend, pour que nos épouses nous rejoignent à New York pour un week end.  Nous ne sommes plus dans le besoin. (Klaus Meine, Scorpions, 1984)


Nous sommes devenus les esclaves de la consommation. Les petits groupes français fournissent, fournissent, fournissent des musiques pour la pub. Dans les années 60, Ford avait acheté Light my Fire aux Doors. Jim Morrison était à Paris. Quand il est rentré à Los Angeles, il a fait rendre le pognon et a interdit l'utilisation de la chanson. Je suis très admiratif de ça. Maintenant, même les Stones vendent Satisfaction pour faire la pub d'une bagnole ou d'un parfum ou d'une crème solaire. C'est la fin des haricots (Jean-Louis Murat, Télérama, 2014).


On a basculé dans un nouveau monde, dans des choses consommables, des produits. Ce qui était important avant, c’était ce qu’on était ; aujourd’hui c’est ce qu’on a. Peu importe ce que tu fais, on s’en bat les couilles mais faut que ce soit rentable. On est tombé dans la culture du néant, dans la néantissitude, dans les machines à rien, les gens qu’ont rien à vendre. « Star » d’un coup, c’est devenu une insulte. A partir du moment où les majors se sont mises à la botte des médias, ça a changé un rapport de force, on est rentré dans une autre vista du truc. Aujourd’hui, ce qui compte c’est d’être connu, de faire de l’oseille. S’impliquer dans les choses, c’est prendre des risques, de vendre moins de DVD, moins de CD… (Bernie Bonvoisin, Trust, Marianne, 2014)


On a soudain beaucoup d'argent. Je me suis dit : « Ok, dorénavant je vais faire tout ce que j'ai toujours voulu faire ». Donc je me suis acheté un scooter et un appart (Pete Doherty, The Independent, novembre 2014).


On avait pris l’engagement les uns envers les autres de ne jouer que pour le plaisir, ou par nécessité d’exprimer ce qu’on avait à dire. Quand on a commencé à jouer pour pouvoir se payer des voitures ou des piscines, on s’est arrêté instantanément (Rodrigo Amarante, Los Hermanos, Les Inrockuptibles n°948, janvier 2014).


On dit que c’est la scène qui va rapporter de l’argent [aux artistes] maintenant... Oui, mais sauf pour quelqu’un qui est infirme, faut pas déconner quoi ! (Laurent Voulzy)


On dit toujours que je suis un porc capitaliste. Je crois que c'est vrai. Mais... c'est bon pour mon jeu de batteur ! (Keith Moon, The Who).


On est fini depuis longtemps, mais on continue pour l'argent. (Liam Gallagher, Oasis, 2006)


On est pauvres, envoyez vos dons !!! (Haine Brigade)


On manque de sous pour la recherche contre le cancer. Heureusement qu'on en a pour les centrales nucléaires (Pierre Perret).


On n’a jamais prétendu qu’on ne voulait pas d’argent ! Mais si on avait été riches , peut-être que nous ne jouerions pas du rock (Stinky Toys, 1977).


On ne faisait pas de la musique pour gagner de l’argent, mais pour exprimer des idées. (Alexa, Haine Brigade)


On peut chanter en échange de rien, d’une discussion, d’un verre ou d’un sourire (La Rue Kétanou, Longueur d’Ondes, 2002).


On veut plaire à tout le monde et devenir vite riche. On veut être millionnaires. J'ai un plan pour acheter la Tasmanie vous comprenez... (Angus Young)


Personne ne gagne de l'argent en vendant des disques. Dès que vous enregistrez un album, vos droits d'auteurs sont directement volés par la Silicon Valley. Tout le fruit de votre travail est liquidé par les Pandora et Spotify de ce monde, qui n'ont d'autres intérêts que de vendre du détergent, des Volkswagen ou n'importe quoi d'autre (Roger Waters, mars 2016).


Peu importe combien d’argent vous avez, il y a seulement deux genres de personnes : il y a les gens sauvés et les gens perdus (Bob Dylan).


Plein de gens ne connaissent rien à la musique mais achètent des disques. Plein de gens qui s'y connaissent en musique n'ont pas de quoi s'acheter les disques. (Marc Bolan, T-Rex)


Pourquoi crois-tu qu'on emploie le terme de « show-business » ? Aujourd'hui la chanson est une machine à faire de l'argent. Le star-system, c'est effroyable (Catherine Ribeiro, 1977).


Pourquoi j'écris des chansons ? C'est déjà pour gagner ma vie. Je suis chanteur.  (Mano Solo)


Pourquoi l'argent n'aurait-il pas d'odeur, lui qui peut tout avoir ? (Erik Satie).


— Pouvez-vous nous chanter quelque chose ?
— L’argent d’abord !
(The Beatles)


Prochaine station l’espoir, quoi qu’il arrive. Se résigner, c’est mettre un pied dans la tombe. Le système est une grosse farce. On parle de démocratie, mais quelle démocratie ? C’est la dictature de l’argent. On en a ou pas. Il y a quelque chose qui n’est pas démocratique dans la répartition de l’argent. C’est le capitalisme qui commande, le cannibalisme du - pognon. C’est à celui qui va bouffer l’autre. Dans ses règles profondes, le capitalisme n’envisage même pas le commerce juste. C’est le profit uniquement. C’est une certaine dictature de ce point de vue. (Manu Chao, août 2009)
 


Quand on fait payer l’eau, pourquoi ne pas envisager une taxe sur l’air. Comme ça les pauvres seraient voués à  mourir. (Gary Clail, 1993)


Quand un gosse noir ou latino peint son nom sur un mur de son quartier, c’est parce que c’est le seul moyen qu’il a de dire qu’il existe, qu’il vit là, et ce graffiti, c’est la seule gloire qu’il aura jamais, il ne sera jamais aussi célèbre que sur ce mur. Quand tu enlèves ça du mur, que tu le colles sur une toile et que tu la vends 10 000 dollars, ça n’a plus aucun sens. (Madonna, 1984)


Que représente pour vous le succès de « Poupée de cire, poupée de son » ? 45 millions (Serge Gainsbourg).


Quelqu'un m'a dit : « mais les Beatles était anti-matérialistes ». C'est un énorme mythe. John et moi nous avions l'habitude de nous asseoir et de nous dire « allez, on écrit une piscine » (Paul McCartney).


Qu'est-ce que l'argent ? Un homme a réussi s'il se lève le matin, se couche le soir et entre les deux a fait ce qu'il voulait faire (Bob Dylan).


— Que réponds-tu à tous ceux qui veulent une reformation des Clash ?
— J'ai finalement compris ce qui m'écœurait tant là-dedans. C'était qu'un type puisse filer cinq millions de dollars aux Clash pour se réunir ou faire une tournée. Je joue pas à ce jeu-là. Ça me révolte parce que tu perds le respect du public. Sans public, pas de musique. La musique, c'est de la communication, ça ne vaut rien par soi-même. Il y a trois jour, je me suis réveillé en pensant : 'Rien à foutre - s'il faut qu'on le fasse, alors on se reformera et on n'acceptera pas le moindre dollar, de personne !' Donc ça n'arrivera pas. Si j'ai un truc à dire à ces types avec leurs millions de dollars, c'est d'aller les claquer aux courses, parce que nous, on n'en veut pas. (Joe Strummer, The Clash)


Recevez-vous aujourd’hui des revenus sur la vente des rééditions de l’album enregistré avec Fred Neil, Tear Down The Walls, paru en 1964 et du vôtre : If the Jasmine Don't Get You ... the Bay Breeze Will de 1969 ? Ha ha ha ! Et ha ! Peut-être un jour si je peux me payer un avocat (Vince Martin, ex-The Tarriers, 2009).

En aucun cas je ne souhaiterais que les gens cessent d’acheter ces pièces de musique. Elles ont été écrites de ma vie pour d’autres vies. Que ces disques soient écoutés et appréciés est un salaire en soi. Ça me déprimerait de savoir que personne ne les écoute. L’argent est une chose, mais la musique est plus importante. Et quelle chance j’ai d’avoir autant d’amis à tant d’endroits différents. Mon verre est toujours à moitié plein, jamais à moitié vide (Vince Martin, ex-The Tarriers, 2009).


Si je dois dix centimes au fisc, on vient me les saisir. Un jour, les huissiers ont même emporté mes blousons (Johnny Hallyday).


Si je pouvais gagner plus d’argent, ça m’irait aussi. J’aimerais posséder un hélicoptère. D’autres musiciens possèdent un hélicoptère : ce n’est pas mon cas, j’en suis inquiet (Baxter Dury, Les Inrockuptibles n°979, septembre 2014).


Si on pouvait envisager le travail sans l’argent, ça serait certainement moins pénible. C’est l’argent qui rend le travail si laid. Je n’aurais aucun problème à  faire ce que je fais si l’argent n’entrait pas en ligne de compte. J’aimerais jouer mes chansons pour des gens dans des salles où l’on ne fasse pas payer. Maintenant je fais payer les gens et je n’aime pas ça. Parce que c’est mon boulot. Et que par nature on déteste son boulot. (John Mellencamp, 1989)


Si vous aviez un budget illimité pour un spectacle, qu’est-ce que cela donnerait ? Ça serait l’exécution de Jean-Michel Jarre par des lasers devant tout Paris et diffusée par satellite dans le monde entier ! (Les Satellites, Longueur d’Ondes, 1991).


Sortez acheter l'album les mecs, parce qu'il faut que je fasse construire un autre parking pour l'hélicoptère. (Noel Gallagher, Oasis)


Suite à des hivers d'étude des rues j'ai conclu que le crime ne paie pas, le taf non plus ! (Oxmo Puccino).


Tant que je gagne assez d'argent pour pouvoir me payer de la bière, tout va bien. (Zakk Wylde, Ozzy Osbourne)


Tous les scientifiques sont en train de dire que ce qui fait la matière, c’est plus son vide que la matière elle-même. Cette vision moins matérialiste du monde me plaît beaucoup. Dans le système occidental, il faut posséder tout ce qui bouge. Je crois qu’on peut être fort sans posséder. (Jean-Louis Aubert, ex-Téléphone, 1992)


Tout a complètement changé maintenant. Je me suis acheté une maison ! Maintenant je peux sortir et m'acheter des meubles. Quand je vais au supermarché, je peux prendre du beurre et du fromage sans m'inquiéter de savoir si je gagne assez (...) C'est pas parce que tu as un peu de fric que tu es un vendu. Je serais un vendu si maintenant je me mettais à voter pour le Parti Républicain en sachant qu'il s'occupe des riches. Mais je vote toujours à gauche. (Krist Novoselic, Nirvana)


Toutes les vidéos que nous avons faites sont réalisées de la même manière, dans le même esprit. Simplement quand un groupe débute, la vidéo coûte 50 000 dollars. Après, s’il devient Disque d’Or, ça passe à 100 000 dollars. On pouvait faire cette vidéo pour 50 000 dollars donc, mais, parce qu’on est devenus « platine », on nous l’a budgétée à 500 000 dollars ! (Travis Barker, Blink-182)


Tu sais que Mick Jagger te hait ? Ah ! ah ! Très drôle ! Bien sûr qu'il me hait ! Il me méprise. Et c'est ma grande victoire. Ça me réjouit vraiment. En fait, je lui rends vraiment la vie difficile, lui tout son blé et son train de vie à la con... Et un petit rat comme moi lui empoisonne l'existence. C'est amusant, non ? (Johnny Rotten, Sex Pistols, 1978).


Une rock star cupide ? J'ai agi et vécu comme une rock star pendant des années, j'adorais ça et je me suis vraiment éclaté, mais cette époque est révolue (Lars Ulrich, Metallica).


Vingt mille dollars, Ok, pour beaucoup de gens c’est une grosse somme, mais pour moi, c’est tout ce que j’ai gagné en Europe en 1976. Et je paie des impôts dessus. (Mick Jagger, The Rolling Stones, 1982)


Vous ne commencez pas à jouer de la guitare en pensant que vous allez mener une organisation qui générera peut-être des millions (Keith Richards).


(Whay's The Story) Morning Glory ? a couté 80 000 livres. On est loin des sommes dépensées par certains artistes pour des disques qui ne se vendent pas. (Noel Gallagher, 1996)

 

 

 

 

 

 

 

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