C’est
facile de ne ressentir aucune pression lorsque tout est du bonus. 4.000
personnes qui viennent nous applaudir, c’est quatre fois plus que ce que l’on
mérite ! (Will Butler)
C’est
vraiment dur d’écrire une chanson quand tu n’as pas le temps de t’asseoir et
d’avoir l’esprit clair. (Jeremy Gara)
Certains
groupes se satisfont de leur succès, de leurs millions d’albums vendus et
voient ça comme un business. Pour nous, c’est toute notre vie. C’est excitant
de tenter de la mener le plus loin possible, en empruntant des chemins
originaux. (Jeremy Gara)
Funeral est beaucoup moins autobiographique que certains le
croient. On ne raconte pas notre vie dans les chansons et on ne l'a pas fait que
pour nous ! (Win, 2005)
Il
ne faut jamais croire quelqu’un qui dit ne ressembler en rien à sa mère !
(Régine Chassagne, 2004)
Je
n’ai jamais aimé Björk ! (Régine Chassagne, 2003)
La
musique est ce qui occupe le plus nos vies. Aucun de nous n’envisage de passer
ses journées à glander à la maison. (Jeremy Gara)
Les
funérailles ne sont pas forcément tristes. Les enterrements sont parfois
l'occasion de voir des gens de la famille que l'on ne voit jamais !
Les
Talking Heads sont vraiment importants à nos yeux ; David Byrne a été l’un des
premiers à saluer notre travail. (Jeremy Gara)
Notre
musique en trois mots ? Car, crash, rainbow.
On
aurait pu faire un Funeral 2 si on avait voulu. Mais ça nous aurait ennuyé
d'être si routiniers. La musique ne fonctionne pas comme ça, selon nous.
(The Guardian)
Si
on ne rêve pas, on ne peut pas être déçu ! (Will Butler)
Tous ceux qui arrivent avec un double album doivent s’arracher
leur propre cul. Qui a 45 minutes en 2013 pour écouter un album simple ? À quel point ces gens sont arrogants
pour penser que vous avez 1h30 pour écouter un putain de disque ? (Noel
Gallagher, à propos d’Arcade Fire et son album Reflektor, 2013).
|